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Projection du film Wadjda à Oran

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  • #16
    parceque la seule fois ou j'ai étaiqs au cinema a oran c'etait pour le concert de baaziz lol
    j y etais aussi ..... encoore .... darouha fel collisée ..

    Dernière modification par Calou, 01 décembre 2016, 14h12.

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    • #17
      Shamss, wah, curieuse et je l'assume non, sérieusement, j'avais envie de y aller et Evi m'a fait peur avec son thanks.....

      Sinon c'est moi qui vous invite aujourd'hui et je vous laisse choisir l'endroit

      Evii: chich, trouhi?
      Dernière modification par Asmaa31, 01 décembre 2016, 14h17.

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      • #18
        oh merci asoumti pour l'invitation! mais aujourdh'ui on recoit des invités et je dois préparé un bon menu pour le dinner!

        sinon c'est une bonne idée on organise un truc pour les oranais ?! why not!


        ccalou tani?!!oeilfermé et gaada diwane de bechar tu y etais aussi?
        Un pied dans le superficiel et l'autre dans le Din

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        • #19
          j'y étais .. pas .. par contre je les ai vu a taghit durant le moussem annuel .

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          • #20
            hihihi ana roht la la la, y'avait une trés bonne ambniance
            Un pied dans le superficiel et l'autre dans le Din

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            • #21
              sinon c'est une bonne idée on organise un truc pour les oranais ?! why not!
              Pas la peine!! mayjouch hadouk :22:

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              • #22
                chkoun hadouk?
                Un pied dans le superficiel et l'autre dans le Din

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                • #23
                  hadouk el nass ... el jnouns ...

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                  • #24
                    Le film est très bien fait. Le jeu des actrices est excellent.
                    Il a été entièrement tourné à Riyadh. Coproduction germano-saoudienne.

                    La trame est simple: une petite fille à l'esprit plutôt libre, qui fait tout pour s'offrir une bicyclette dans le but avoué de faire la course avec son jeune ami, cela dans un pays où l'on n'accepte pas que les filles fassent du vélo. C'est le prétexte pris par la réalisatrice du film pour montrer certaines facettes de la société saoudienne, notamment la place des femmes dans cette société, le formatage de jeunes filles à l'école, à la maison et dehors pour qu'elles deviennent des femmes soumises, les rapports hommes-femmes. Le tout, sans "militance féministe ostentatoire" ni satire sociale appuyée, mais en montrant simplement des pratiques courantes, des flashes de rapports de tous les jours entre mari et femme, élèves filles-enseignantes-directrice, garçons et filles...

                    En bref, le film vaut le déplacement et mérite amplement d'être recommandé.
                    "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

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                    • #25
                      je l ai vu il y a quelques temps de cela, une ode à la liberté....
                      j ai beaucoup aimé la gamine dans ce rôle

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                      • #26
                        Elissar,
                        Peut-être que je me trompe, peut-être que non... J'aurai la réponse après l'avoir vu...
                        Cette relation entre le coran qui libère (elle apprend des versets pour avoir un prix et de quoi acheter une bicyclette) et le wahabisme (toutes les contraintes idéologiques et sociales qui l'empêchent d'arriver à son but) est suggérée par la bande-annonce du film. Cette relation, même non invoquée dans l'histoire du film, peut représenter pour le spectateur, ou du moins les cinéphiles, une des clés d'interprétation des idées du réalisateur par rapport aux défis auxquels sont confrontées les femmes dans la société saoudienne.

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                        • #27
                          A mon avis, le film est authentiquement révolutionnaire parce qu'il ne se revendique pas superficiellement comme tel: le film ne dénonce pas, il se contente de montrer des séquences de la vie d’une petite fille à la maison, à l’école, dans la rue, avec sa mère, son père, ses camarades de l’école, son jeune ami, etc. Le résultat est édifiant, plus fort que de longs développements sur ce qu’est la société saoudienne. Par exemple, dans le salon de la famille de Wadjda, il y a une planche sur laquelle est dessiné l'arbre généalogique du père. Sur la dernière branche, figure le nom du père et rien en dessous parce qu'il n'a pas de descendance mâle. La mère trouve Wadjda en contemplation devant la planche, elle lui dit: "Il est beau l'arbre généalogique de ton père... Tu ne figure pas dessus parce que tu n'es pas un garçon." C'est dit calmement, comme une évidence, sans un soupçon de récrimination. Plus tard, Wadjda griffonne son nom sur un bout de papier et l’attache avec une épingle sur l’arbre généalogique sous le nom de son père. Elle va retrouver ce papier un peu chiffonné, déposé sur une table à coté de la planche; on comprend que c’est la mère qui l’a enlevé. Wadjda le prend puis le redépose «simplement» sur la table, sans exprimer aucun sentiment.

                          Pour ce qui est du concours de récitation du Coran, ce n’est en fait qu’un prétexte pour, comme je l’ai dit, montrer des facettes de certains microcosmes de la société saoudienne. A travers ce concours, je n’ai perçu aucun prosélytisme wahabite sous quelque forme que ce soit. Il se trouve seulement que tout autre type de concours dans une école de filles en Arabie Saoudite n’aurait pas été crédible.
                          "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

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