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Le pet d'une patiente déclenche un feu pendant une opération chirurgicale

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  • #16
    J'essaie quand même d'imaginer la tête des médecins juste après. Ils ont dû être surpris quand même. Normalement, c'est un risque qu'ils auraient dû anticiper.
    Les chirurgiens ont l'habitude de se prendre des pêts en pleine tronche. C'est l'effet de l'anesthesie a cet endroit, et le relachement musculaire. Instinctivement, on retient les pêts en journee car on nous a appris que ce n'etait pas bien. Mais avec l'anesthesie, les muscles se relachent et on ne s'en rend pas compte evidemment. Le pire examen est la coloscopie...La nuit, on pête beaucoup plus lorsqu'on dort. Les gaz que l'on a essaye de retenir en journee ressortent avec la detente musculaire.

    De meme, on continue a peter plusieurs heures apres la mort avec les muscles qui se detentent et la difference de pression avec l'exterieur du corps.

    Vivement les pets dans le monde.

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    • #17
      la médecine a-t-elle négligé ce paramètre ?
      Ils ont oublié la variable pet-trop-chimique
      Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

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      • #18
        Bonsoir Amirou

        C'est totalement faux, il y a une densité de végétation nettement plus
        bien sur Mr le Scientifique oeilfermé


        C'est une étude scientifique des plus sérieuses qui va faire lâcher à plus d'un lecteur un énorme... éclat de rire. Une équipe scientifique britannique vient, en effet, de révéler qu'une espèce de dinosaures, les sauropodes, seraient à l'origine du réchauffement climatique. En cause ? L'émission dans l'atmosphère de leurs flatulences, lourdement chargées en méthane.
        La présence de microbes dans la flore intestinale
        Ces énormes animaux, comme le diplodocus par exemple (et dont le poids avoisinait les vingt tonnes) possédaient des microbes au sein de leur flore intestinale qui produisaient du méthane dans le processus de fermentation digestive de leur nourriture constituée de végétaux. « Un simple modèle mathématique laisse penser que les micro-organismes qui vivaient dans le système digestif de ces dinosaures sauropodes pourraient avoir produit suffisamment de méthane, un puissant gaz à effet de serre, pour avoir un impact important sur le climat de l'ère du Mésozoïque » (-250 millions à -65 millions d'années), explique Dave Wilkinson, de l'Université de Liverpool, et principal auteur de ces travaux parus dans la revue américaine Current Biology.

        Une source de méthane plus puissante que l'activité humaine
        « En fait, selon nos calculs, ces dinosaures pourraient avoir produit plus de méthane que toutes les sources modernes naturelles et provenant des activités humaines », souligne le chercheur. Ces physiologistes ont étudié le méthane produit par une variété d'animaux modernes. Ils en ont tiré des équations mathématiques permettant de prédire la production de ce gaz par les animaux en fonction de leur taille.
        Une production annuelle de 350 millions de méthane
        Ainsi, en prenant comme référence un dinosaure sauropode de masse moyenne d'environ vingt tonnes, et sachant qu'il en existait à l'époque des dizaines par kilomètre carré, les chercheurs ont calculé que ces animaux produisaient durant leur passage sur Terre quelque 520 millions de tonnes de méthane par an.

        Après la disparition des dinosaures et avant l'ère industrielle au XIXe siècle, les émissions de méthane étaient d'environ 200 millions de tonnes par an. En comparaison, les ruminants modernes produisent de 50 à 100 millions de tonnes de méthane par an.
        Taroua ddante" qui veut dire "Les enfants ont été emportés (par l'eau)" que cria une femme berbère qui faisait sa lessive au bord du fleuve quand les crues emportèrent ses enfants!

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