C'est LA question qu'on redoute le plus en entretien. Inutile de mentir, mieux vaut être honnête...
Dans un article publié sur son blog, Adam Grant, auteur et professeur à la Wharton School, revient sur deux études. En 2012, l’Academy of Management Journal a démontré que les recruteurs donnaient de meilleures évaluations des candidats qui se montraient tels qu’ils étaient. Dans une étude plus récente de la Harvard Business School, des chercheurs ont demandé à des étudiants de répondre à cette fameuse question lors d’entretiens écrits. Seulement 23% d’entre eux ont répondu par la négative, « je procrastine » ou « je suis dans l’excès ». Les 77% restant ont fait preuve de fausse modestie, « je suis trop gentil » ou « je suis trop exigeant en matière d’égalité ». Résultat, quand les recruteurs ont reçu les réponses, 30% d'entre eux étaient plus intéressés par embaucher des gens qui avaient avoué leurs faiblesses.
le figaro
Dans un article publié sur son blog, Adam Grant, auteur et professeur à la Wharton School, revient sur deux études. En 2012, l’Academy of Management Journal a démontré que les recruteurs donnaient de meilleures évaluations des candidats qui se montraient tels qu’ils étaient. Dans une étude plus récente de la Harvard Business School, des chercheurs ont demandé à des étudiants de répondre à cette fameuse question lors d’entretiens écrits. Seulement 23% d’entre eux ont répondu par la négative, « je procrastine » ou « je suis dans l’excès ». Les 77% restant ont fait preuve de fausse modestie, « je suis trop gentil » ou « je suis trop exigeant en matière d’égalité ». Résultat, quand les recruteurs ont reçu les réponses, 30% d'entre eux étaient plus intéressés par embaucher des gens qui avaient avoué leurs faiblesses.
le figaro
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