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LE CAIRE (AFP) - Une Egyptienne a obtenu le divorce de son époux qui lui imposait l'usage intempestif d'un déodorant d'intérieur à l'essence d'aloès, rapporte dimanche la presse.
Le tribunal des affaires conjugales de Mahdi, une banlieue résidentielle du Caire, a accordé ce divorce à Souad qui a affirmé, certificats médicaux à l'appui, que ce déodorant lui déclenchait une allergie aux bronches.
"J'aime mon mari, et ne souhaite pas le quitter, mais il ne veut pas arrêter d'utiliser ce déodorant dont il dit que l'odeur lui est familière depuis sa petite enfance", a expliqué Souad aux juges.
Le tribunal s'est finalement rangé à son argument d'autant que l'époux, un Soudanais prénommé Hussein, a refusé par trois fois de répondre à une convocation pour plaider son cas.
LE CAIRE (AFP) - Une Egyptienne a obtenu le divorce de son époux qui lui imposait l'usage intempestif d'un déodorant d'intérieur à l'essence d'aloès, rapporte dimanche la presse.
Le tribunal des affaires conjugales de Mahdi, une banlieue résidentielle du Caire, a accordé ce divorce à Souad qui a affirmé, certificats médicaux à l'appui, que ce déodorant lui déclenchait une allergie aux bronches.
"J'aime mon mari, et ne souhaite pas le quitter, mais il ne veut pas arrêter d'utiliser ce déodorant dont il dit que l'odeur lui est familière depuis sa petite enfance", a expliqué Souad aux juges.
Le tribunal s'est finalement rangé à son argument d'autant que l'époux, un Soudanais prénommé Hussein, a refusé par trois fois de répondre à une convocation pour plaider son cas.
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