Des Algériens décédés bénéficient de pensions en euros
La Caisse nationale d’assurance vieillesse française (Cnav) chargée des pensions de retraite des Algériens ayant travaillé en France a envoyé aux autorités algériennes une liste de noms des retraités algériens pour une actualisation des fichiers.
Pour ce faire, les autorités algériennes sont tenues de vérifier l’exactitude des informations fournies par ces derniers et déceler ainsi les fausses déclarations en fournissant des certificats de vie des pensionnés surtout ceux âgés de plus de 75 ans.
Comme nous l'ont révélé des sources de l'ambassade de France en Algérie, les services de la Cnav ont demandé aux autorités algériennes de vérifier par des moyens appropriés si les personnes de la liste sont encore en vie, surtout après avoir décelé par le passé plus de 500 cas de fraudes avérées, dont des personnes décédées qui touchaient toujours leurs pensions de retraite.
Déjà par le passé la Cour des comptes française avait souligné des anomalies dans le versement des pensions à des retraités algériens car le risque de fraude au décès des pensionnés résidant à l’étranger doit faire l’objet d’une surveillance appropriée.
Selon la Direction de la Sécurité sociale le nombre de pensionnés du régime général en Algérie est supérieur à celui de l’ensemble des centenaires recensés dans tout le pays par les services de recensement car les ayants droit ne déclarent pas le décès du retraité pour continuer à toucher sa pension.
En effet, les résultats préliminaires des enquêtes menées par les consulats de France à Alger, Oran et Annaba ont révélé ces cas de fraudes et que les enfants et même les petits-enfants touchaient toujours la pension de retraite du père, qui, dès qu’il prend sa retraite en Algérie devient «immortel».
Selon les mêmes sources, les efforts déployés par les autorités françaises dans le contrôle des listes de bénéficiaires est de sévir contre les fraudeurs et ne signifie en aucun cas le réexamen des accords algéro-français de 1980 relatifs aux droits sociaux des Algériens ayant travaillés en France,
Echourouk
La Caisse nationale d’assurance vieillesse française (Cnav) chargée des pensions de retraite des Algériens ayant travaillé en France a envoyé aux autorités algériennes une liste de noms des retraités algériens pour une actualisation des fichiers.
Pour ce faire, les autorités algériennes sont tenues de vérifier l’exactitude des informations fournies par ces derniers et déceler ainsi les fausses déclarations en fournissant des certificats de vie des pensionnés surtout ceux âgés de plus de 75 ans.
Comme nous l'ont révélé des sources de l'ambassade de France en Algérie, les services de la Cnav ont demandé aux autorités algériennes de vérifier par des moyens appropriés si les personnes de la liste sont encore en vie, surtout après avoir décelé par le passé plus de 500 cas de fraudes avérées, dont des personnes décédées qui touchaient toujours leurs pensions de retraite.
Déjà par le passé la Cour des comptes française avait souligné des anomalies dans le versement des pensions à des retraités algériens car le risque de fraude au décès des pensionnés résidant à l’étranger doit faire l’objet d’une surveillance appropriée.
Selon la Direction de la Sécurité sociale le nombre de pensionnés du régime général en Algérie est supérieur à celui de l’ensemble des centenaires recensés dans tout le pays par les services de recensement car les ayants droit ne déclarent pas le décès du retraité pour continuer à toucher sa pension.
En effet, les résultats préliminaires des enquêtes menées par les consulats de France à Alger, Oran et Annaba ont révélé ces cas de fraudes et que les enfants et même les petits-enfants touchaient toujours la pension de retraite du père, qui, dès qu’il prend sa retraite en Algérie devient «immortel».
Selon les mêmes sources, les efforts déployés par les autorités françaises dans le contrôle des listes de bénéficiaires est de sévir contre les fraudeurs et ne signifie en aucun cas le réexamen des accords algéro-français de 1980 relatifs aux droits sociaux des Algériens ayant travaillés en France,
Echourouk
Commentaire