Bonjour à tous,
Du cran, pourquoi ? Parce que tout à coup, à l'approche d'une échéance qui me demande que j'en ai et bien je sens que mon courage s'envole.
La situation : Une personne de ma connaissance d'aussi loin que remontent mes souvenirs viens me chercher dans quelques minutes.
Cette personne que je connais intimement est quelqu'un que je qualifierais de peu recommandable.
C'est une femme manipulatrice comme il en existe malhereusement beaucoup, qui a semé autour d'elle la désolation pour des intérêts sans autre valeur que l'apparence de la réussite (et encore), mythomane (elle ne se rend même plus compte de ses mensonges et ne cherche même plus à les rendre crédibles), infidèle, égoïste, sans foi ni loi autre que son plaisir qui sans cesse pourtant lui échappe et le comble c'est qu'elle a le chic pour se faire passer pour une victime ou pour soudoyer autrui avec des plaisirs futiles et superficiels...
C'est une femme sûrement très malheureuse ce qui m'a à ce jour interdit de la blesser malgré tout ce que je connais et ai eu à subir d'elle... Je n'ai même jamais osé lui parler de tout ce que je sais d'elle de peur de la blesser sachant qu'elle ne serait même pas capable de comprendre le mal qu'elle a pu faire à autrui (ses maris, ses enfants, ses soeurs dont elle n'hésite pas à charmer les maris...) et ô combien la fréquenter est un danger et une souffrance perverse.
Aussi j'ai décidé que je devais la sortir de ma vie au moins jusqu'à ce qu'elle vide le sac de m**** qu'elle traine avec elle et dont elle se décharge sur autrui, et décide de faire face à ce qui la fait souffrir et fait d'elle un monstre sans coeur. Je veux bien lui pardonner quand elle saura se rendre compte de ses méfaits et au moins s'en excuser... Ce qui serait une telle innovation que je doute fortement qu'elle puisse un jour y parvenir. Et ce qui ne réparerais rien des dégâts multiples qu'elle a causé et des vies qu'elle a brisé mais qui est la seule étape possible vers autre chose pour elle et ceux qui ont du la subir et qui on encore à son endroit des scrupules alors qu'elle même n'en a aucun envers autrui (ni envers ses enfants qu'elle a rendu complice contre leurs pères de ses infidélités, imaginez leur déchirement, ni envers ses maris qu'elle a rendu fous puis jeté quand elle en avait trouvé un autre...).
Et bien malgré tout ça, malgré toute la lucidité que je peut avoir sur ce qu'elle est, ses faiblesses, sa fragilité mais surtout, surtout son immense égoïsme et son mépris total de tout ce qui ne lui est pas directement utile ou valorisant sa personne, maintenant que ma décision est prise, l'heure approchant je me dégonfle.
Je la connais par coeur et je sais comment elle va retourner la situation à son avantage, comment elle va balayer toutes mes paroles d'un soupir de dégoût et d'un regard méprisant et hautain (je reste très polie, je m'épate!), comment je ne vais pas réussir à dire l'essentiel et comment je vais rentrer chez moi pleine d'un sentiment de culpabilité à me jeter par la fenêtre en me disant que c'est moi le monstre sans coeur qui ai voulu faire une vérité dont les contours essentiels m'échapperont encore pour rien, wallou, aucun résultat concret, aucune avancée satisfaisante, juste encore un peu de vent remué.
Après, si j'arrive déjà à passer la première étape, viendra le moment de la propagande... Le téléphone arabe (de fabrication française pour celui là) va se mettre à fonctionner, et toutes nos connaissances communes seront bientôt informées que j'aurais encore commis je ne sais quel crime contre cette femme sainte. Petit à petit au fil des jours, des semaines ou des mois selon l'ampleur du phénomène, viendront à mes oreilles de tous mes proches et des membres de ma famille dont je suis éloignés les bruits qui coureront sur mon compte et sur mes dernières forfaitures.
Si j'y arrive, ce sera l'épreuve de force qui va commencer. Si je réussis à m'exprimer pour la première fois à près de 30 ans, il faudra encore resister aux pressions, à l'isolement et à la désinformation de mes proches. Et surtout la garder hors de ma vie, sans rémission sauf abdication de son pouvoir sur ma vie et celle de tous ceux qu'elle fait inlassablement souffrir, sans vergogne aucune dés le premier verre de wiskhy de la journée.
J'espère que j'aurai le courage. Je ne sais même pas s'il le faut. J'ai l'impression que tout est inutile. Est-ce que je me dégonfle ? Ai-je tort ?
Voilà, plus que 10 minutes...
Du cran, pourquoi ? Parce que tout à coup, à l'approche d'une échéance qui me demande que j'en ai et bien je sens que mon courage s'envole.
La situation : Une personne de ma connaissance d'aussi loin que remontent mes souvenirs viens me chercher dans quelques minutes.
Cette personne que je connais intimement est quelqu'un que je qualifierais de peu recommandable.
C'est une femme manipulatrice comme il en existe malhereusement beaucoup, qui a semé autour d'elle la désolation pour des intérêts sans autre valeur que l'apparence de la réussite (et encore), mythomane (elle ne se rend même plus compte de ses mensonges et ne cherche même plus à les rendre crédibles), infidèle, égoïste, sans foi ni loi autre que son plaisir qui sans cesse pourtant lui échappe et le comble c'est qu'elle a le chic pour se faire passer pour une victime ou pour soudoyer autrui avec des plaisirs futiles et superficiels...
C'est une femme sûrement très malheureuse ce qui m'a à ce jour interdit de la blesser malgré tout ce que je connais et ai eu à subir d'elle... Je n'ai même jamais osé lui parler de tout ce que je sais d'elle de peur de la blesser sachant qu'elle ne serait même pas capable de comprendre le mal qu'elle a pu faire à autrui (ses maris, ses enfants, ses soeurs dont elle n'hésite pas à charmer les maris...) et ô combien la fréquenter est un danger et une souffrance perverse.
Aussi j'ai décidé que je devais la sortir de ma vie au moins jusqu'à ce qu'elle vide le sac de m**** qu'elle traine avec elle et dont elle se décharge sur autrui, et décide de faire face à ce qui la fait souffrir et fait d'elle un monstre sans coeur. Je veux bien lui pardonner quand elle saura se rendre compte de ses méfaits et au moins s'en excuser... Ce qui serait une telle innovation que je doute fortement qu'elle puisse un jour y parvenir. Et ce qui ne réparerais rien des dégâts multiples qu'elle a causé et des vies qu'elle a brisé mais qui est la seule étape possible vers autre chose pour elle et ceux qui ont du la subir et qui on encore à son endroit des scrupules alors qu'elle même n'en a aucun envers autrui (ni envers ses enfants qu'elle a rendu complice contre leurs pères de ses infidélités, imaginez leur déchirement, ni envers ses maris qu'elle a rendu fous puis jeté quand elle en avait trouvé un autre...).
Et bien malgré tout ça, malgré toute la lucidité que je peut avoir sur ce qu'elle est, ses faiblesses, sa fragilité mais surtout, surtout son immense égoïsme et son mépris total de tout ce qui ne lui est pas directement utile ou valorisant sa personne, maintenant que ma décision est prise, l'heure approchant je me dégonfle.
Je la connais par coeur et je sais comment elle va retourner la situation à son avantage, comment elle va balayer toutes mes paroles d'un soupir de dégoût et d'un regard méprisant et hautain (je reste très polie, je m'épate!), comment je ne vais pas réussir à dire l'essentiel et comment je vais rentrer chez moi pleine d'un sentiment de culpabilité à me jeter par la fenêtre en me disant que c'est moi le monstre sans coeur qui ai voulu faire une vérité dont les contours essentiels m'échapperont encore pour rien, wallou, aucun résultat concret, aucune avancée satisfaisante, juste encore un peu de vent remué.
Après, si j'arrive déjà à passer la première étape, viendra le moment de la propagande... Le téléphone arabe (de fabrication française pour celui là) va se mettre à fonctionner, et toutes nos connaissances communes seront bientôt informées que j'aurais encore commis je ne sais quel crime contre cette femme sainte. Petit à petit au fil des jours, des semaines ou des mois selon l'ampleur du phénomène, viendront à mes oreilles de tous mes proches et des membres de ma famille dont je suis éloignés les bruits qui coureront sur mon compte et sur mes dernières forfaitures.
Si j'y arrive, ce sera l'épreuve de force qui va commencer. Si je réussis à m'exprimer pour la première fois à près de 30 ans, il faudra encore resister aux pressions, à l'isolement et à la désinformation de mes proches. Et surtout la garder hors de ma vie, sans rémission sauf abdication de son pouvoir sur ma vie et celle de tous ceux qu'elle fait inlassablement souffrir, sans vergogne aucune dés le premier verre de wiskhy de la journée.
J'espère que j'aurai le courage. Je ne sais même pas s'il le faut. J'ai l'impression que tout est inutile. Est-ce que je me dégonfle ? Ai-je tort ?
Voilà, plus que 10 minutes...

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