Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Le bien qui fait mal, Dans l’internet.

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Le bien qui fait mal, Dans l’internet.

    Le bien qui fait mal,
    Dans l’internet.

    Deviens d’abord une belle femme
    Et surement toi et moi un jour en se verra
    Si vous gardez toujours envers moi la même flamme
    Et que ton cœur jamais envers moi ne changera
    Alors ce jour-là ma belle, je saurais réjouirai ton âme
    Ton corps dans mes bras, ton cœur tremblera

    Je ferrais de toi une reine
    Sur le blanc soie, tu dormiras
    Une vie en rose, connaîtra ton âme
    Et chaque nuit ton cœur me dictera
    Avec des mots en or, un infini poème
    À l’écrire que toi, personne ne pourra

    Ce jour-là, j’accepterai ton, je t’aime
    Et dans ton cœur le mien, tu le sentiras
    Alors ce jour-là se multiplie ton charme
    Malgré vieux, mon cœur pour toi jeune restera
    Ce jour-là, tu te surnommeras madame
    Et moi peut-être, je serais le vieux « papa »

    Rien que les larmes de la joie
    Dans tes nuits que tu verseras
    D’amour, tu rassasieras ta faim
    Et à ces fruits, sûrement, tu goûteras
    Tu auras chaud, en hiver froid
    Et je ferais la fraicheur quand l’été viendra
    Le bonheur règnera sous notre toit
    Même dans une modeste maison ça ne fait rien
    Tu seras ma reine et je serais ton roi
    Même si mon cœur saigne, tu le guériras
    Tu seras là, et moi pour toi
    Quand la vie un jour, nous blessera

    Mais aujourd’hui ma belle, tu es encore jeune
    Devant toi, une belle vie, saisis-là
    Tu es au printemps moi à l’automne
    Survis d'abord a ton hiver, et a l’été tu verras
    Les princes charmants viendront en chaînes
    Quand ton jardin d’Eden fleurira
    Ils sont faits rien que pour les reines
    Demain, ma belle, reine, tu serras

    Elle m’a dit qu’elle m’aime
    Et pour moi, elle laisse tout tomber
    Je lui dis sèche d’abord tes larmes
    Les larmes d’une fleur, son tellement sacrée
    Ce soir, c’est ton cœur qui me réclame
    Peut-être demain tu changeras d’avis
    Un prince charmant, avec un rose emblème
    Quand vos yeux, se croisent, tu oublieras mon gris

    Car, les cœurs changent, entre matin et soir
    C’est les vents qui commandent, pas le voilier
    Même si l’amour, est le maitre abord
    Dans son océan, j’ai peur, tu seras naufragé
    Si tu triche en amour, tu goûteras mille morts
    Et les blessures, du cœur, c’est pour toute une vie

    Tu sais peut-être ce n’est que de l’admiration
    Regarde-moi, tu vois que je me fane
    Pour te rendre heureuse m’a trahit le temps
    Je suis vieux vois-tu, et toi encore jeune
    Laisse-toi ma belle, guidé par la raison
    L’amour tu sais, fine est sa lame
    Si elle coupe, elle ne fait pas de cadeau
    Et douloureux, sont les blessures de l’âme

    Elle m’a dit, s’il te plaît dis moi monsieur
    Qu’est-ce qu’il t’attire chez une femme
    Le corps ou bien la couleur des yeux
    Qu’elle parties du corps monsieur te flamme
    Je veux savoir et connaitre ton fond
    Car, je crois que mon cœur vous aime

    Je lui dis va doucement ma belle
    Pour te rependre, il me faut des mots
    Dis-moi ou je peux trouver, consones et voyelles
    Et mes mots pour ton cœur, seront harmonieux
    Ma plume est usée, triste, elle écrit très mal
    Et toi ma belle, tu veux la perfection

    Qu’elle genre d’amour, tu veux que je te parle
    De celui qui peut être saisi avec de l’argent
    Celui-ci, tu sais, il fait tellement mal
    N’approche pas surtout, brûlant est son feu
    De douleur, tu sais, couleras tes larmes
    Et au plaisir de l’amour, tu n’auras aucun goût

    Ou bien celui qui est pur, que l’âme le réclame
    Celui-ci, il ne connaît pas la trahison
    C’est celui-là que j’offre moi à ma femme
    Et c’est pour ça, elle et moi on est heureux
    Même si des fois on a le cœur en panne
    Je peux malgré ça, le voir a travers ses yeux

    J’aime avant tout, la beauté du cœur
    Le bon caractère, et la légèreté de l’âme
    J’aime l’intelligence, elle donne charme au corps
    Même si le corps, attire avec son charme
    Qu’elle soit brune ou qu'elle soit blonde
    Ou une charmante femme de couleur
    Qu’elle soit maigre ou avec des lipides ronde
    Ou invalide, un membres ou tout le corps
    Belle elle restera même avec les rides
    La femme qui choisira mon cœur
    Pour moi ils sont tous les même
    Petite taille fine, ou bien grande
    La beauté du cœur, vaut mille flammes
    Et toi ma jolie fleur va voir le monde
    N’oublie pas mes mots, fait d’eux un emblème
    Tu reviendras c’est sure, car, la terre est ronde
    Peut-être ce jour-là, j'accepterais ton, je t'aime
    Et sache que l’amour n’est pas a vendre

    Et toi mon cœur écoute, je te parle
    Méfier-toi de la tentation
    Du passé, tu gardes toujours les séquelles
    Tu souffres encore, le mal de la trahison
    Tu ne pourras l’aimer faible sont tes ailes
    Et tu pourras la perdre dans les horizons
    Oublie ce miel doux, content-toi du sel
    Les larmes, peut-être éteignant ton feu
    Et sache que là-haut, tout là-haut au ciel
    Il y a celui qui lit les cœurs "Dieu"

    Ce n’est qu’une jeune fille au cœur rebelle
    Que j’ai croisé dans le net, un jour
    J’ai changé quelques mots bref avec elle
    Et elle insiste que je lui parle que d’amour
    Je lui donné pourtant quelque conseil
    C'est pour son grand cœur sincère et pur
    J’espère qu’elle suivra a la lettre mes conseils
    Et un jour, surement, sonnera a sa porte le bonheur
    Ce jour-là peut-être , je serais au ciel
    Et elle, surement heureuse entouré de fleurs
    Ceci est une histoire réelle
    Que j'ai aimé la partager avec vous
Chargement...
X