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Je t'écris ces quelques lignes pour te dire que toutes les tatas d'Algérie se portent bien. Y compris celles d'In Salah qui ont fait un marathon sur le sable pour gueuler leur colère contre le gaz de schiste. La tata de Remchi te salue bien. Elle attend la réouverture des frontières pour rendre visite à sa tata d'Oujda. Et il n'y a pas qu'elle qui attend que ça bouge du côté de «Zoudj beghal». La terre généreuse de l'Oranie attend ses anciens travailleurs qui la chouchoutaient jadis et qui ont été chassés en 1975. Les entrepreneurs attendent aussi cette main-d'oeuvre qualifiée qui manque terriblement.
On me dit à chaque fois que la réouverture inondera le pays de kif. Quelle blague ! Les quantités énormes qui rentrent se passent bien de... formalités de douane et de fiches de police !
Tu me parlais dans ta dernière missive de Siham Bidet. Non, elle s'appelle Siham Lavabo. Les Américains ont eu leur Katarina, les Japonais leur tsunami et les Libyens leur Bernard Henri-Otan et le séisme de tata Aldjia s’appelle Sihem Lavabo, il est à l’échelle 12 sur l’échelle du béguin à répétition de tonton Lekhmissi !
Enfin, bonne fête à toutes les tatas. Dommage qu'il n'y ait pas de fête internationale de l'homme. Au moins, la ghaïta et le t'bal feront baisser l'agressivité de nos tontons mais, souffle-t-on à l'APN, il faut tabasser sa femme pour aller au paradis. Et si tu en as quatre, laquelle cogner ?
Moi, je connais un autre paradis : tu épouses une, une seule que tu aimes. Et tu la dorlotes au lieu de lui donner des coups ! Mais peut-être que c'est trop compliqué pour ces... dépités !
Par Maâmar Farah
On me dit à chaque fois que la réouverture inondera le pays de kif. Quelle blague ! Les quantités énormes qui rentrent se passent bien de... formalités de douane et de fiches de police !
Tu me parlais dans ta dernière missive de Siham Bidet. Non, elle s'appelle Siham Lavabo. Les Américains ont eu leur Katarina, les Japonais leur tsunami et les Libyens leur Bernard Henri-Otan et le séisme de tata Aldjia s’appelle Sihem Lavabo, il est à l’échelle 12 sur l’échelle du béguin à répétition de tonton Lekhmissi !
Enfin, bonne fête à toutes les tatas. Dommage qu'il n'y ait pas de fête internationale de l'homme. Au moins, la ghaïta et le t'bal feront baisser l'agressivité de nos tontons mais, souffle-t-on à l'APN, il faut tabasser sa femme pour aller au paradis. Et si tu en as quatre, laquelle cogner ?
Moi, je connais un autre paradis : tu épouses une, une seule que tu aimes. Et tu la dorlotes au lieu de lui donner des coups ! Mais peut-être que c'est trop compliqué pour ces... dépités !
Par Maâmar Farah