Bonsoir;
Douze mois sur douze, été comme hiver, je constate au même titre que tous les habitants, avec amertume qu'Alger ma ville natale ne cesse d'être tout le temps en travaux (réfection des trottoirs, tranchées par ci par là , restauration des façades des immeubles, réfection interminable des devantures des magasins, une circulation automobile etouffante etc...
Nous les Algérois , sommes-nous condamnés à vivre dans le désordre car s'en est un du fait qu'il ne finit pas , notre belle capitale jadis est-elle devenu un semblant de capitale : sale , désordonnée, agressive, clocharde, bidonvilisée ...
Comment nos gouvernants osent-ils fermer les yeux sur cette évidence maladive ; quand retrouverons -nous enfin cette belle capitale (enfin sans travaux ) comme elle l'a été depuis les années 1800 jusqu'à 1970 sans ces travaux , sans cette circulation automobile à vous couper le souffle, sans défauts sur les chaussées, escaliers , impasses à vous faire trébucher .
Douze mois sur douze, été comme hiver, je constate au même titre que tous les habitants, avec amertume qu'Alger ma ville natale ne cesse d'être tout le temps en travaux (réfection des trottoirs, tranchées par ci par là , restauration des façades des immeubles, réfection interminable des devantures des magasins, une circulation automobile etouffante etc...
Nous les Algérois , sommes-nous condamnés à vivre dans le désordre car s'en est un du fait qu'il ne finit pas , notre belle capitale jadis est-elle devenu un semblant de capitale : sale , désordonnée, agressive, clocharde, bidonvilisée ...
Comment nos gouvernants osent-ils fermer les yeux sur cette évidence maladive ; quand retrouverons -nous enfin cette belle capitale (enfin sans travaux ) comme elle l'a été depuis les années 1800 jusqu'à 1970 sans ces travaux , sans cette circulation automobile à vous couper le souffle, sans défauts sur les chaussées, escaliers , impasses à vous faire trébucher .
Commentaire