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Superbe le phare de Mosta!
Je suis passé dans cette vile il y a longtemps, c'était une belle ville, il y avait beaucoup de juifs dans des petites rues, ils y avaient des petites boutique ou ils vendaient de tout.
Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.
Citation :
Pres de chez moi aussi sur Mostaganem Le Phare de Ouillis un vrai havre de paix
J'adore Mosta, je vais de temps en temps pour une virée et passer par la pêcherie...Je suis d'Alger, actuellement j'habite Oran.
" C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attends jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)
Citation :
Rosier Belda vraiment sublime ton texte!
Yatik essa7a!
Tu pourais peut être le partager dans la rue des petites perles.
Merci Megane...Je vais le faire à l'occasion.
" C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attends jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)
384 Kg, jusqu'à 5 Kmh elle est instable et c'est là qu'on se retrouve par terre.
Merci Chouan...Belle moto en tout cas...tout jeune j'ai conduit un tas de genre de motos, putch, Halley davidson, Rumi etc...
" C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attends jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)
...Belle moto en tout cas...tout jeune j'ai conduit un tas de genre de motos, putch, Halley davidson, Rumi etc
Rare sont ceux qui connaissent le Rumi, tu ne dois pas être tout jeune, c'est une machine des années 50/60, j'ai eu l'occasion d'en piloter un d'usine sur le circuit de Mouscron en Belgique pendant les essais.
Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.
Citation :
...Rare sont ceux qui connaissent le Rumi, tu ne dois pas être tout jeune, c'est une machine des années 50/60, j'ai eu l'occasion d'en piloter un d'usine sur le circuit de Mouscron en Belgique pendant les essais.
Salut Chouan!
J'ai pas d'âge...mais tous les âges me vont à merveille!
" C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attends jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)
Alors en plus vous connaissez Mostaganem et Sa Pecherie et aussi la moto pour rosierbelda Je n'ai pas eu la chance de connaitre ces machines juste j'ai commencé sur une Jawa cz qui n’était pas toute jeune
Sinon revenons a nos petits coin de Paradis
Fontaine place de la république a Lyon une fraîcheur inouï le Soir
Alors en plus vous connaissez Mostaganem et Sa Pecherie et aussi la moto pour rosierbelda Je n'ai pas eu la chance de connaitre ces machines juste j'ai commencé sur une Jawa cz qui n’était pas toute jeune
Sinon revenons a nos petits coin de Paradis
Fontaine place de la république a Lyon une fraîcheur inouï le Soir
Très belle la fontaine...Il y tout juste 2 ou 3 mois que les gens de la mairie de Gdyel avaient terminés de construire une jolie fouara (jet d'eau) avec un jeu de lumiére superbe et que les enfants des quartiers environnant sont venus se baigner dedans ils ont finis par casser.
Pour la moto je ne fais plus et ce, depuis longtemps, je veux bien mais j'ai pas eu l'occasion d'en faire. Oui j'adore Mosta et de temps en temps je fais une virée, je suis à 80 kms de Mosta.
Encore fois je profite de votre hospitalité et vous proposé cette modeste image par l'écrit :
Un Ramadhan dans le fief des Hammadides.
‘Saldae’ l’antique, ‘Bougie’ la coloniale ‘Bgayet’ la berbere et la musulmane, celle, d’hier, ou dire ‘Bejaia’ celle d’aujourd’hui, toutes ne font qu’une dans l’âme profonde de ses habitants qui la trouve fantastique d’un passé glorieux, une ville parmi des plus ancienne d’Algerie.
J’ai eu la chance de passer quelques jours, que j’ai trouvés, d’ailleurs, très courts, dans cette ville splendide et ses environs immédiats sous les conseils d’un voisin, bejaoui, disponible et affable.
C’été, pendant les vacances d’été, début du mois de juillet 2010, un été chaux et sec, pas loin du centre ville du côte de la cité pépinière. Une semaine, bien pleine, de virées à pied et en voiture à travers la cité et ses environs.
J’été charmé par l’accueil et la gentillesse des habitants, de cette metropole, fière de l’histoire de leur Cité, et où la culture n’est, toujours, pas un vain mot. Chez les commerçants de tout genre l’accueil est chaleureux et désintéressé.
Le musé de la ville vous restitue l’histoire de toute les périodes de cette Métropole et sa région, de la période Romaine, aux Hammadides. L’époque de cette dynastie fut riche en savoir et, des personnalités étrangères venaient du pourtour méditerranéen pour appendre les sciences en tous genre.
Seule la légende de yemma Gouraya n’est pas répertoriée. Cela reste, peut être, du domaine de mythe ou récit propre aux populations anciennes de la région. N’empêche que toute personne en visite, pour un certain temps dans la région, ne manquerait pour rien au monde d’escalader cette sacrée colline.
Certains pour la baraka, allumer un cierge en l’honneur de la sainte patronne de la ville, et contempler, à l’occasion cette Cité splendide qui s’étend, tout en bas, au pied de cette montagne mythique, jusqu’à dans la vallée de la Soummam.
Effectivement, voir la ville, le port et la baie de ces hauteurs et un privilège, une vue, tout simplement, magnifique. Des falaises vertigineuses surplombent une mer turquoise qui vous donne une envie folle de tenter un plongeon de ces hauteurs. Plein de petites criques en forme de piscines qui vous fascinent et vous donne d’envie de descendre, sur le champ, faire une petite trempette.
Du côté des iguanes, dans les bois où sur la route, qui la traverse, menant, aussi, jusqu’aux bords des falaises, et ce, toujours sur les hauteurs, les singes magots spécimens très rares dans le monde. La nuit et à la lueur de vos phares de voiture, il est fort possible, qu’on fera une rencontre inattendue d’une laie en quête de nourriture avec ces petits et mignons marcassins, habillés d’une belle fourrure raillée de jaune.
Le soir, venir prendre l’air de ce côte là, vous renverse l’esprit, un calme réparateur, une fraicheur empreinte de senteur florale iodée, des étoiles dans leur plein éclat, une lune qui se rapproche de plus en plus pour, bien, vous regarder ; les lampadaires de la ville complète ce merveilleux décor.
A vos pied, tout à fait en bas des falaises, se dessine un tableau sublime, qu’on n’arriverait, certainement pas, à peindre avec tous ces mots qui agites, sensiblement, nos sens.
Un enchantement, que j’ai du revivre plusieurs soirs de suite, avec, toujours, ce un grand bonheur de me rassasier les yeux et l’esprit. J’ai eu, aussi, l’occasion d’aller sur le port au fin fond du grand môle, où on à une vue prenante sur la cité et ses hauteurs et où l’ombre allongé de Yemma Gouraya et toujours omniprésent.
Les anciennes murailles de la cité dont la plupart ont été détruite par le colonialisme où en ruines rappel les différentes portes de la cité de la dynastie où la science et la culture étaient le firmament du savoir.
Les immenses et superbes plages de Bgayet, qu’on peut voir des hauteurs de Yemma Gouraya, serpentent le long de l’Est de la ville. L’été les soirées sont animes de galas en tous genres. La journée les plages grouillent de monde, venu des wilayas limitrophes.
Le Ramadhan, c’est d’autres couleurs qui s’annoncent et prennent place et, rythme la vie des Bejaouis, le long du mois sacré du jeûne. Toute la journée et ce, jusqu’à l’approche du f’tour, le centre ville et les marchés couverts ou improvisés, celui du as’r sur les hauteur de la vieille cité et le plus populaire, grouillent un monde multicolore que bourdonnant.
Après le f’tour et sallate ataraouih prendre l’air, s’atabler sur la terrasse d’un café, prendre des glaces, rendre visite à des amis, des parents, aller voir un gala de chant ou, tout simplement, marché à travers les rues bien vivantes de couleur et de gaité, cela tente beaucoup de gens pour des sorties nocturnes.
Pour moi et mon gendre, notre hobby était d’aller écouter de la musique chaîbi tous les soirs du côté de la vieille ville ou la Casba. Une escapade à pied de quelque centaine de mètres qui nous permet de digérer et prendre l’air sur les hauteurs de la ville.
Deux estaminets, tout prés d’une mosquée, où feu Sadek El-Bejaoui avait l’habitude de venir, organisent des soirées chaaîbi gratuites, dans de minuscules places adjacentes, avec de jeunes chanteurs qui viennent égayer à tour de rôle ces soirées populaires et ce, jusqu'à une heure tardive.
Le café et le thé sont excellents de gout et de qualité, accompagnés de kalbelouz et g’taief c’est le nirvana du palier. Les discutions sans discontinus et les soirées, Malheureusement, bien courtes du fait de l’ambiance fraternelle qui fait courir, follement, le temps. Le retour, pour le s’hour, est fait à pas allongé et avec l’idée tenace et joyeuse de revenir le lendemain.
Rosier belda.
" C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attends jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)
Il y tout juste 2 ou 3 mois que les gens de la mairie de Gdyel avaient terminés de construire une jolie fouara (jet d'eau) avec un jeu de lumiére superbe et que les enfants des quartiers environnant sont venus se baigner dedans ils ont finis par casser.
Oui je connais j'ai assez sillonné les routes durant mes séjours et promis je dois venir en Octobre mais pas en Moto (ça se seras pour l’été prochain )
Car natif de Mosta je passerais te rendre visite tu m'a l'air d’être un livre d'histoire vivant une belle plume que je me voyais dans cette carte Postale
Merci de ce sublime partage
Et je continue avec des sites merveilleux ou j'aime me balader dans le Rhône Alpes..en Moto bien sur
Neo et Chouan merci pour ces beaux moments passé ensemble...J'ai toujours pensé que les gens qui aiment la nature et la pêche sont bien sensibles à quelque chose ?
Le pêcher mignon.
La passion du pêcheur et dans son couffin. Son espoir est au bout de sa ligne. Sa contrainte est l’attente qu’il géré avec philosophie pour devenir sa patience.
r.b
Dernière modification par rosierbelda, 01 août 2014, 21h42.
" C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attends jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)
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