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Point de mir !
par El-Guellil
Le jour où le président de l'Apc deviendra maire, le jour où le maire sera maire élu et non maire sorti des urnes et des autres. Ce jour-là… Quoi, je fabule ? Ouah, car il y a une grande différence entre l'élu et le sorti des urnes. Le jour où un chef de daïra ne pourra plus mettre fin aux fonctions de celui qui a été choisi par les habitants électeurs, citoyens d'une ville, donc dek el youm, on pourra parler de la gestion de la cité.
Oui dek el youm, on pourra lui demander des comptes sur ce qu'il a fait durant son mandat, à part attendre son mandat. Car un maire, ya mon ami, ce n'est pas uniquement un gestionnaire du ramassage des ordures. Ce n'est pas un cantonnier en chef, étoilé par les fabricants de goudron et les entrepreneurs de trottoirs. Ni d'ailleurs un ravaleur de façades, accrocheur de drapeaux marqueurs de dates officielles. El mir ya mon ami n'est pas un peintre en bâtiment distributeur d'extraits de naissance. Ce n'est pas aussi un marieur de couples ni un liseur d'oraisons funèbres. El mir doit réfléchir à l'épanouissement et le développement économique et culturel d'une ville. El mir doit réfléchir aux meilleurs moyens à mettre en œuvre pour faciliter le travail des opérateurs créateurs de richesses et à la politique à mener pour drainer le maximum d'investisseurs dans sa ville. Il doit être créatif, imaginer des activités qui peuvent participer au rayonnement de sa ville pour attirer le maximum de visiteurs et faire travailler les commerces…
Montrez-moi un seul président d'Assemblé populaire communale qui a œuvré dans ce sens. Moins que ça, montrez-moi un seul président d'Apc qui a été à l'improviste visiter une école primaire pendant l'année scolaire. Oui vous avez raison, je fabule. Je crois que l'âge me joue des tours. … rav-âgé, El-Guellil chref !
par El-Guellil
Le Quotidien d'Oran
par El-Guellil
Le jour où le président de l'Apc deviendra maire, le jour où le maire sera maire élu et non maire sorti des urnes et des autres. Ce jour-là… Quoi, je fabule ? Ouah, car il y a une grande différence entre l'élu et le sorti des urnes. Le jour où un chef de daïra ne pourra plus mettre fin aux fonctions de celui qui a été choisi par les habitants électeurs, citoyens d'une ville, donc dek el youm, on pourra parler de la gestion de la cité.
Oui dek el youm, on pourra lui demander des comptes sur ce qu'il a fait durant son mandat, à part attendre son mandat. Car un maire, ya mon ami, ce n'est pas uniquement un gestionnaire du ramassage des ordures. Ce n'est pas un cantonnier en chef, étoilé par les fabricants de goudron et les entrepreneurs de trottoirs. Ni d'ailleurs un ravaleur de façades, accrocheur de drapeaux marqueurs de dates officielles. El mir ya mon ami n'est pas un peintre en bâtiment distributeur d'extraits de naissance. Ce n'est pas aussi un marieur de couples ni un liseur d'oraisons funèbres. El mir doit réfléchir à l'épanouissement et le développement économique et culturel d'une ville. El mir doit réfléchir aux meilleurs moyens à mettre en œuvre pour faciliter le travail des opérateurs créateurs de richesses et à la politique à mener pour drainer le maximum d'investisseurs dans sa ville. Il doit être créatif, imaginer des activités qui peuvent participer au rayonnement de sa ville pour attirer le maximum de visiteurs et faire travailler les commerces…
Montrez-moi un seul président d'Assemblé populaire communale qui a œuvré dans ce sens. Moins que ça, montrez-moi un seul président d'Apc qui a été à l'improviste visiter une école primaire pendant l'année scolaire. Oui vous avez raison, je fabule. Je crois que l'âge me joue des tours. … rav-âgé, El-Guellil chref !
par El-Guellil
Le Quotidien d'Oran
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