Au Kenya, il n’est plus question d’avoir le consentement de la première femme avant d’épouser d’autres femmes. Depuis jeudi, la polygamie est imposée par une loi votée au Parlement kenyan par des députés de la majorité et de l’opposition. La loi autorise les hommes à épouser autant de femmes qu’ils le désirent, sans avis préalable de la première femme.
Cette loi controversée votée par les députés kenyans formalise une loi coutumière vulgarisée dans le pays. Désormais, il y a la possibilité d’épouser autant de femmes qu’on le souhaite.
« Selon la loi coutumière, vous n’avez pas besoin de dire à votre épouse quand vous rentrez à la maison avec une deuxième ou une troisième femme. Toute femme que vous ramenez à la maison est votre femme. », explique Samuel Chepkong’a, président de la commission des affaires juridiques et légales du Parlement.
Même avant le vote de cette loi, basée sur le droit coutumier, la possibilité était donnée aux épouses de s’opposer à une décision de leur mari de prendre plusieurs femmes. Le vote de cette loi est un diktat des élus hommes de tous bords politiques qui ont parfaitement uni leur force sur cette close, pour avoir gain de cause face aux femmes.
« Quand vous épousez une femme africaine, elle doit savoir que la deuxième va suivre, puis la troisième (…). C’est l’Afrique », a insisté un député.
œil d’Afrique
Cette loi controversée votée par les députés kenyans formalise une loi coutumière vulgarisée dans le pays. Désormais, il y a la possibilité d’épouser autant de femmes qu’on le souhaite.
« Selon la loi coutumière, vous n’avez pas besoin de dire à votre épouse quand vous rentrez à la maison avec une deuxième ou une troisième femme. Toute femme que vous ramenez à la maison est votre femme. », explique Samuel Chepkong’a, président de la commission des affaires juridiques et légales du Parlement.
Même avant le vote de cette loi, basée sur le droit coutumier, la possibilité était donnée aux épouses de s’opposer à une décision de leur mari de prendre plusieurs femmes. Le vote de cette loi est un diktat des élus hommes de tous bords politiques qui ont parfaitement uni leur force sur cette close, pour avoir gain de cause face aux femmes.
« Quand vous épousez une femme africaine, elle doit savoir que la deuxième va suivre, puis la troisième (…). C’est l’Afrique », a insisté un député.
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