Le Point.fr - Publié le 28/03/2014 Jean-François Delmas résumé AFP
Marcel Guillot, 93 ans, surnommé "Papy Marcel", a été condamné vendredi par la cour d'assises de la Marne à Reims à dix ans de réclusion pour avoir tué une octogénaire par dépit amoureux, en 2011. Jugé depuis mercredi pour "meurtre sur personne vulnérable", crime passible de la réclusion perpétuelle, Marcel Guillot a été finalement reconnu coupable de "coups mortels sur personne vulnérable avec préméditation". "Les jurés ont émis un doute sur sa conscience et sa volonté exacte de tuer au moment des faits", a expliqué Patrice Bresciani, le président de la cour.
Conduit par des agents pénitentiaires à quelques mètres du président en raison de sa surdité, Marcel Guillot est resté impassible, le regard vide, à l'énoncé de sa peine. "Je ne suis pas un assassin, je l'aimais bien, Nicole. Je ne l'ai pas tapée, elle avait juste les os fragiles", avait-il tenté de se défendre avant que les jurés ne se retirent pour délibérer.
Marcel Guillot, 93 ans, surnommé "Papy Marcel", a été condamné vendredi par la cour d'assises de la Marne à Reims à dix ans de réclusion pour avoir tué une octogénaire par dépit amoureux, en 2011. Jugé depuis mercredi pour "meurtre sur personne vulnérable", crime passible de la réclusion perpétuelle, Marcel Guillot a été finalement reconnu coupable de "coups mortels sur personne vulnérable avec préméditation". "Les jurés ont émis un doute sur sa conscience et sa volonté exacte de tuer au moment des faits", a expliqué Patrice Bresciani, le président de la cour.
Conduit par des agents pénitentiaires à quelques mètres du président en raison de sa surdité, Marcel Guillot est resté impassible, le regard vide, à l'énoncé de sa peine. "Je ne suis pas un assassin, je l'aimais bien, Nicole. Je ne l'ai pas tapée, elle avait juste les os fragiles", avait-il tenté de se défendre avant que les jurés ne se retirent pour délibérer.
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