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Femmes d'Alger de Kamel Dehane
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3:30... la brave femme dit: on (les femmes?, les écrivains? les Algériens ou bien les Algérois?) ne dit jamais JE.
si quelqu'un a compris ce qu'elle voulait dire par là, qu'il se donne l’obligeance de m’expliquer.La Réalité est la Perception, la Perception est Subjective
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3:30... la brave femme dit: on (les femmes?, les écrivains? les Algériens ou bien les Algérois?) ne dit jamais JE.
si quelqu'un a compris ce qu'elle voulait dire par là, qu'il se donne l’obligeance de m’expliquer.
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non c'est pas grave risk...elle le faisaient inconsciemment ,une façon de parler de soi sans le faire vraiment ...souvent les grands meres quand elle racontent leur enfance ou leur jeunesse ,elle disent kouna ,hna ,kan hadak el wekt ....plutot que kount
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évidement ,que les femmes étaient dominées par les hommes mais je ne pense pas que ce soit à l'origine de cette pudeur
c'est une question d'éducation , et je ne crois pas que ça concerne uniquement les femmes ,nos alleux étaient plus discrets ,plus réservés ,il y'avait hormet edar ,le respects , les hommes comme les femmes devaient faire preuve de patience et se plaindre ouvertement ne faisait pas partie de leur éducationDernière modification par sammy, 19 février 2014, 16h46.
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@Sammy: oui cela je le conçois, certains vivent toujours de cette façon, la horma. mais de là à ne plus utiliser de pronoms personnelles, ne plus dire JE mais nous.
comme parler de "ils" quand on parle de sa femme ou d'une membre de la famille ayant atteint la puberté. ca aussi ca se fait, ca renvoi à Ahl el beit, nass eddar, Houma.La Réalité est la Perception, la Perception est Subjective
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