Que le Québec ait un immense besoin de chair à canon francophone pour assouvir diverses arrières pensées stratégiques est une chose. Mais que leurs agents de l’immigration ne cessent, depuis des années, de sillonner les routes de France à la recherche de pigeons auxquels ils racontent n’importe quoi (comme on va le voir) il est grand temps de réagir...
IMMIGRER AU QUEBEC : LE COTE OBSCUR DE LA FARCE
Aucun doute : Le Québec est l’endroit du monde où il est le plus facile d’immigrer. En 2004, il fut meme question d’offrir purement et simplement le visa de résident permanent aux étudiants étrangers ayant fait une partie de leurs études aux Québec. C’est dire ! Comparé aux politiques d’immigration restrictives en vigueur dans tous les autres pays du monde, le Québec fait définitivement figure de brave fille pas farouche pour un sou.
Seulement voilà… Faut-il se jeter corps et âme dans pareils bras si chaleureusement ouverts ? N’y a-t-il pas anguille sous roche ?
Laissons aux agents des services de l’immigration du Québec à Paris le soin de continuer à dépeindre cet Eden où le lait et le miel coulent à flots. Ces bons apôtres font cela très bien : Avec 45.000 immigrants qui tombent chaque année dans leurs filets et qui dépensent chacun des milliers de dollars pour s’installer, faites le calcul ! Sans compter qu’après le lobby de l’immigration, il faut affronter le lobby des formations (payantes) puisque le Québec se moque des diplômes, des références et des expériences acquises hors de son auguste territoire. Tant qu’à presser le citron, autant le faire jusqu’à la dernière goutte !
Que le Québec ait un immense besoin de chair à canon francophone pour assouvir diverses arrières pensées stratégiques est une chose. Mais que leurs agents de l’immigration ne cessent, depuis des années, de sillonner les routes de France* à la recherche de pigeons auxquels ils racontent n’importe quoi (comme on va le voir) il est grand temps de réagir...
* Leurs "séances d’information", continuelles et gratuites (ben voyons !), peuvent être consultées ici :
http://www.immigration-quebec.gouv.q.../biq/paris/sea...
Nous allons donc présenter la face cachée du Québec, afin que les candidats francophones à l’immigration puissent enfin être en mesure de peser le pour et le contre. Dans un souci d’impartialité - pour ne pas dire de raffinement - nous citerons majoritairement des auteurs québécois faisant autorité, et publiés par des médias québécois. La plupart de ces citations sont extraites d’études scientifiques dont les sources sont toujours mentionnées.
Qu’on veuille quitter la France est compréhensible. Le tout est de savoir où poser ses bagages afin de ne pas échouer dans un endroit pire encore, et éviter ainsi de commettre la même erreur que tant d’autres ont déjà commise.
Mais d’abord, sept petits conseils pour ceux qui sont sur le point de partir, ou déjà sur place :
1. Le visa permanent obtenu par le biais d’une Délégation Générale du Québec n’oblige absolument pas à résider au Québec. On peut parfaitement ne jamais y mettre les pieds et aller s’établir ailleurs, à Vancouver, Toronto ou Calgary (innocents exemples cités au hasard). La citoyenneté canadienne sera accordée exactement de la même façon, en déposant une demande après trois ans de résidence. Autre détail important : Une fois arrivé dans une autre province canadienne, ne vous présentez pas comme québécois, mais bien comme français. Vous serez beaucoup mieux accueilli. Les Québécois sont en effet très mal vus dans le reste du Canada.
2. Le racisme anti-français n’existe qu’au Québec, pas dans les autres provinces. Pourquoi ? Parce que les québécois considèrent souvent les français comme arrogants, prétentieux et donneurs de leçons, ce qui n’est pas toujours faux. Cela dit, les français installés au Québec ne sont pas en reste : Ils considèrent le plus souvent les québécois comme incultes, superficiels et ultra-matérialistes, ce qui n’est pas faux non plus.
3. Bien que le processus d’immigration soit autrement plus complexe et sélectif que ne l’est celui du Québec, deux autres destinations méritent d’être étudiées : Les États-Unis et l’Australie. Signalons aussi que la Suisse vient d’ouvrir ses portes à l’immigration en provenance de quelques pays de la CEE, dont la France. Il n’est donc plus du tout indispensable d’être très fortuné pour aller s’y établir.
4. Les provinces canadiennes intéressantes pour les immigrants sont toutes situées à l’ouest du Québec (une bonne pratique de l’anglais est indispensable). Les provinces situées à l’est du Québec, oubliez-les.
5. Si vous êtes envoyé au Québec par le gouvernement français pour un poste de fonctionnaire expatrié ou si vous êtes détaché d’une grande entreprise vers l’une de ses filiales (L’Oréal, Axa, Alcatel et consorts), alors vous ne devriez pas avoir trop de problèmes car un logement et un emploi sont supposés vous attendre. En revanche, si vous émigrez de votre propre initiative, avec ou sans votre famille, vous ne tarderez pas à comprendre que le Québec n’a strictement rien à vous offrir, surtout si vous êtes un « maudit français », comme on vous appellera ici (mais jamais en face).
6. Nous recommandons fortement la lecture du livre intitulé (ironiquement) « Bienvenue au Québec » (Gérard Quoilin, Éditions l’Harmattan, 1998). Remarquez le piège à rats sur la couverture ! Parfait symbole en effet... Notez que la date de parution de ce livre est instructive car elle démontre que l’arnaque ne date pas d’hier et que tous les gouvernements du Québec, quelle que soit leur orientation politique, ont eu recours au bétail francophone et à ses devises.
7. Dans la même veine que le livre que nous venons de citer, nous recommandons aussi la visite des sites suivants :
a) Pour ceux qui veulent quitter le Québec :
http://www.quitterlequebec.com/
b) Un témoignage instructif :
http://www.gabuzomeu.com/quebec/arti...3?id_article=1...
c) Vidéo de Français arnaqués :
http://www.dailymotion.com/video/x2w...-cachee-de-lim...
d) Un autre excellent site qui en dit long :
http://quebecattention.********.com/
En route maintenant pour le coté obscur du Québec, vu par des québécois eux-mêmes.
Accrochez-vous…
1. Bien-etre - Santé - Médecine
Selon Immigration Québec :
"La société québécoise a fait des choix fondamentaux axés sur le développement de la personne. Ses services de santé, d’éducation et de sécurité sociale évolués garantissent le bien-être de toute sa population" (cliquez ici)
La réalité :
« Les erreurs médicales tuent plus de 2000 personnes chaque année au Québec, soit l’équivalent de cinq écrasements de Boeing 747 »
Source : Congrès de l’Association des Hôpitaux du Québec (mai 2002)
« Au Québec, 14 % des enfants de 12 ans auraient déjà pensé à se suicider et 6 % auraient déjà tenté de s’enlever la vie »
Source : Direction de la Santé Publique de la Montérégie (juin 2001)
« Le Québec a franchi l’an dernier le cap des 80.000 naissances, mais près de 70.000 enfants se retrouvent chaque année en sérieuses difficultés »
Source : Journal 24 Heures (12 juin 2007), d’après rapport de la DPJ (Direction de la Protection de la Jeunesse)
« Des patients meurent, faute de places aux soins intensifs »
Source : Emission Enjeux (Radio Canada, 24 avril 2007)
« Chaque jour au Québec, cinq personnes se suicident et 250 autres tentent de le faire »
Source : Le Journal du Barreau (15 avril 2001)
« 180.000 enfants du Québec sont contraints d’utiliser le Ritalin » (Note : Le Ritalin est un antidépresseur pour enfants)
Source : http://sites.rapidus.net/jeancbou/r...
« Rapidement, dès la garderie, les jeunes mâles sont ratatinés psychologiquement par des intervenantes qui voient dans la virilité normale des garçons de la graine de violeurs, d’agresseurs et de tueurs en série. Et on est tout surpris ensuite de constater la montée du phénomène des gangs de rue chez nos adolescents mâles dégoûtés d’un système scolaire qui na pas respecté les particularités de la masculinité et qui a été incapable de leur proposer des modèles masculins respectables »
Source : Jean-Pierre Gagnon, Le Bulletin Régional (3 septembre 2006)
« Chez les jeunes hommes, le Québec enregistre le taux de suicide le plus élevé au monde » (soit 31 suicides pour 100.000 habitants)
Source : www.agoravox.fr/article.php3... (2006)
« Selon les résultats de l’enquête de Santé Québec, par chaque 100 000 Québécois ou Québécoises, 850 disent avoir fait une tentative de suicide au cours de l’année. Cela correspond à plus de 40 000 individus »
Source : Dr Richard Boyer (Association des Médecins Psychiatres du Québec, 2006)
« C’est parmi les immigrants arrivés depuis au moins 10 ans que la perception d’un mauvais état de santé atteint un sommet »
Source : ESCC (Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes, 2000-2001)
« Les troubles mentaux tels que la phobie, l’anxiété et la dépression nerveuse sont en nette progression à Montréal et près d’une personne sur 5 en souffre quotidiennement »
Source : Direction de la santé publique de Montréal (enquête auprès de 4700 personnes)
« Le Dr. Pierre Audet-Lapointe et Mme Nicole Magnan, demandent au gouvernement du Québec de tenir un débat public, en commission d’enquête parlementaire, sur l’état alarmant de la lutte contre le cancer au Québec »
Source : Coalition Priorité Cancer au Québec (12 avril 2006)
« Au Québec, le pourcentage de toxicomanes du jeu (joueurs compulsifs) est de 5%. C’est le taux le plus élevé du Canada et probablement de tout les pays occidentaux »
Source : Sondage Léger Marketing (2001), commentaires du Dr Jean Leblond (2005)
« 42 % des Québécois considèrent que le suicide est un geste acceptable »
Source : Sondage Léger Marketing (septembre 2006)
Statistiques suicide :
Moyenne au Canada : 9 suicides pour 100 000 habitants
Moyenne au Québec seul : 20 suicides pour 100.000 habitants
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Suicide
Ratio de médecins pour 100.000 habitants :
Montréal = 120 ; Toronto = 144 ; Vancouver = 172
Source : Institut Canadien d’Information sur la Santé
2. Pauvreté
Selon Immigration Québec :
"Le Québec offre une économie diversifiée, dynamique, moderne et ouverte sur le monde" (cliquez ici)
La réalité :
« Le nombre systématiquement plus élevé de chômeurs, d’assistés sociaux, et de ménages locataires au Québec est un indice clair du fait que le niveau de vie en général y est moins élevé que dans les autres provinces »
Source : Institut Économique de Montréal (Mai 2006)
IMMIGRER AU QUEBEC : LE COTE OBSCUR DE LA FARCE
Aucun doute : Le Québec est l’endroit du monde où il est le plus facile d’immigrer. En 2004, il fut meme question d’offrir purement et simplement le visa de résident permanent aux étudiants étrangers ayant fait une partie de leurs études aux Québec. C’est dire ! Comparé aux politiques d’immigration restrictives en vigueur dans tous les autres pays du monde, le Québec fait définitivement figure de brave fille pas farouche pour un sou.
Seulement voilà… Faut-il se jeter corps et âme dans pareils bras si chaleureusement ouverts ? N’y a-t-il pas anguille sous roche ?
Laissons aux agents des services de l’immigration du Québec à Paris le soin de continuer à dépeindre cet Eden où le lait et le miel coulent à flots. Ces bons apôtres font cela très bien : Avec 45.000 immigrants qui tombent chaque année dans leurs filets et qui dépensent chacun des milliers de dollars pour s’installer, faites le calcul ! Sans compter qu’après le lobby de l’immigration, il faut affronter le lobby des formations (payantes) puisque le Québec se moque des diplômes, des références et des expériences acquises hors de son auguste territoire. Tant qu’à presser le citron, autant le faire jusqu’à la dernière goutte !
Que le Québec ait un immense besoin de chair à canon francophone pour assouvir diverses arrières pensées stratégiques est une chose. Mais que leurs agents de l’immigration ne cessent, depuis des années, de sillonner les routes de France* à la recherche de pigeons auxquels ils racontent n’importe quoi (comme on va le voir) il est grand temps de réagir...
* Leurs "séances d’information", continuelles et gratuites (ben voyons !), peuvent être consultées ici :
http://www.immigration-quebec.gouv.q.../biq/paris/sea...
Nous allons donc présenter la face cachée du Québec, afin que les candidats francophones à l’immigration puissent enfin être en mesure de peser le pour et le contre. Dans un souci d’impartialité - pour ne pas dire de raffinement - nous citerons majoritairement des auteurs québécois faisant autorité, et publiés par des médias québécois. La plupart de ces citations sont extraites d’études scientifiques dont les sources sont toujours mentionnées.
Qu’on veuille quitter la France est compréhensible. Le tout est de savoir où poser ses bagages afin de ne pas échouer dans un endroit pire encore, et éviter ainsi de commettre la même erreur que tant d’autres ont déjà commise.
Mais d’abord, sept petits conseils pour ceux qui sont sur le point de partir, ou déjà sur place :
1. Le visa permanent obtenu par le biais d’une Délégation Générale du Québec n’oblige absolument pas à résider au Québec. On peut parfaitement ne jamais y mettre les pieds et aller s’établir ailleurs, à Vancouver, Toronto ou Calgary (innocents exemples cités au hasard). La citoyenneté canadienne sera accordée exactement de la même façon, en déposant une demande après trois ans de résidence. Autre détail important : Une fois arrivé dans une autre province canadienne, ne vous présentez pas comme québécois, mais bien comme français. Vous serez beaucoup mieux accueilli. Les Québécois sont en effet très mal vus dans le reste du Canada.
2. Le racisme anti-français n’existe qu’au Québec, pas dans les autres provinces. Pourquoi ? Parce que les québécois considèrent souvent les français comme arrogants, prétentieux et donneurs de leçons, ce qui n’est pas toujours faux. Cela dit, les français installés au Québec ne sont pas en reste : Ils considèrent le plus souvent les québécois comme incultes, superficiels et ultra-matérialistes, ce qui n’est pas faux non plus.
3. Bien que le processus d’immigration soit autrement plus complexe et sélectif que ne l’est celui du Québec, deux autres destinations méritent d’être étudiées : Les États-Unis et l’Australie. Signalons aussi que la Suisse vient d’ouvrir ses portes à l’immigration en provenance de quelques pays de la CEE, dont la France. Il n’est donc plus du tout indispensable d’être très fortuné pour aller s’y établir.
4. Les provinces canadiennes intéressantes pour les immigrants sont toutes situées à l’ouest du Québec (une bonne pratique de l’anglais est indispensable). Les provinces situées à l’est du Québec, oubliez-les.
5. Si vous êtes envoyé au Québec par le gouvernement français pour un poste de fonctionnaire expatrié ou si vous êtes détaché d’une grande entreprise vers l’une de ses filiales (L’Oréal, Axa, Alcatel et consorts), alors vous ne devriez pas avoir trop de problèmes car un logement et un emploi sont supposés vous attendre. En revanche, si vous émigrez de votre propre initiative, avec ou sans votre famille, vous ne tarderez pas à comprendre que le Québec n’a strictement rien à vous offrir, surtout si vous êtes un « maudit français », comme on vous appellera ici (mais jamais en face).
6. Nous recommandons fortement la lecture du livre intitulé (ironiquement) « Bienvenue au Québec » (Gérard Quoilin, Éditions l’Harmattan, 1998). Remarquez le piège à rats sur la couverture ! Parfait symbole en effet... Notez que la date de parution de ce livre est instructive car elle démontre que l’arnaque ne date pas d’hier et que tous les gouvernements du Québec, quelle que soit leur orientation politique, ont eu recours au bétail francophone et à ses devises.
7. Dans la même veine que le livre que nous venons de citer, nous recommandons aussi la visite des sites suivants :
a) Pour ceux qui veulent quitter le Québec :
http://www.quitterlequebec.com/
b) Un témoignage instructif :
http://www.gabuzomeu.com/quebec/arti...3?id_article=1...
c) Vidéo de Français arnaqués :
http://www.dailymotion.com/video/x2w...-cachee-de-lim...
d) Un autre excellent site qui en dit long :
http://quebecattention.********.com/
En route maintenant pour le coté obscur du Québec, vu par des québécois eux-mêmes.
Accrochez-vous…
1. Bien-etre - Santé - Médecine
Selon Immigration Québec :
"La société québécoise a fait des choix fondamentaux axés sur le développement de la personne. Ses services de santé, d’éducation et de sécurité sociale évolués garantissent le bien-être de toute sa population" (cliquez ici)
La réalité :
« Les erreurs médicales tuent plus de 2000 personnes chaque année au Québec, soit l’équivalent de cinq écrasements de Boeing 747 »
Source : Congrès de l’Association des Hôpitaux du Québec (mai 2002)
« Au Québec, 14 % des enfants de 12 ans auraient déjà pensé à se suicider et 6 % auraient déjà tenté de s’enlever la vie »
Source : Direction de la Santé Publique de la Montérégie (juin 2001)
« Le Québec a franchi l’an dernier le cap des 80.000 naissances, mais près de 70.000 enfants se retrouvent chaque année en sérieuses difficultés »
Source : Journal 24 Heures (12 juin 2007), d’après rapport de la DPJ (Direction de la Protection de la Jeunesse)
« Des patients meurent, faute de places aux soins intensifs »
Source : Emission Enjeux (Radio Canada, 24 avril 2007)
« Chaque jour au Québec, cinq personnes se suicident et 250 autres tentent de le faire »
Source : Le Journal du Barreau (15 avril 2001)
« 180.000 enfants du Québec sont contraints d’utiliser le Ritalin » (Note : Le Ritalin est un antidépresseur pour enfants)
Source : http://sites.rapidus.net/jeancbou/r...
« Rapidement, dès la garderie, les jeunes mâles sont ratatinés psychologiquement par des intervenantes qui voient dans la virilité normale des garçons de la graine de violeurs, d’agresseurs et de tueurs en série. Et on est tout surpris ensuite de constater la montée du phénomène des gangs de rue chez nos adolescents mâles dégoûtés d’un système scolaire qui na pas respecté les particularités de la masculinité et qui a été incapable de leur proposer des modèles masculins respectables »
Source : Jean-Pierre Gagnon, Le Bulletin Régional (3 septembre 2006)
« Chez les jeunes hommes, le Québec enregistre le taux de suicide le plus élevé au monde » (soit 31 suicides pour 100.000 habitants)
Source : www.agoravox.fr/article.php3... (2006)
« Selon les résultats de l’enquête de Santé Québec, par chaque 100 000 Québécois ou Québécoises, 850 disent avoir fait une tentative de suicide au cours de l’année. Cela correspond à plus de 40 000 individus »
Source : Dr Richard Boyer (Association des Médecins Psychiatres du Québec, 2006)
« C’est parmi les immigrants arrivés depuis au moins 10 ans que la perception d’un mauvais état de santé atteint un sommet »
Source : ESCC (Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes, 2000-2001)
« Les troubles mentaux tels que la phobie, l’anxiété et la dépression nerveuse sont en nette progression à Montréal et près d’une personne sur 5 en souffre quotidiennement »
Source : Direction de la santé publique de Montréal (enquête auprès de 4700 personnes)
« Le Dr. Pierre Audet-Lapointe et Mme Nicole Magnan, demandent au gouvernement du Québec de tenir un débat public, en commission d’enquête parlementaire, sur l’état alarmant de la lutte contre le cancer au Québec »
Source : Coalition Priorité Cancer au Québec (12 avril 2006)
« Au Québec, le pourcentage de toxicomanes du jeu (joueurs compulsifs) est de 5%. C’est le taux le plus élevé du Canada et probablement de tout les pays occidentaux »
Source : Sondage Léger Marketing (2001), commentaires du Dr Jean Leblond (2005)
« 42 % des Québécois considèrent que le suicide est un geste acceptable »
Source : Sondage Léger Marketing (septembre 2006)
Statistiques suicide :
Moyenne au Canada : 9 suicides pour 100 000 habitants
Moyenne au Québec seul : 20 suicides pour 100.000 habitants
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Suicide
Ratio de médecins pour 100.000 habitants :
Montréal = 120 ; Toronto = 144 ; Vancouver = 172
Source : Institut Canadien d’Information sur la Santé
2. Pauvreté
Selon Immigration Québec :
"Le Québec offre une économie diversifiée, dynamique, moderne et ouverte sur le monde" (cliquez ici)
La réalité :
« Le nombre systématiquement plus élevé de chômeurs, d’assistés sociaux, et de ménages locataires au Québec est un indice clair du fait que le niveau de vie en général y est moins élevé que dans les autres provinces »
Source : Institut Économique de Montréal (Mai 2006)
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