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Trente ans de réclusion pour un franco-algérien

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  • Trente ans de réclusion pour un franco-algérien

    Ce Franco-Algérien comparaissait aux assises du Nord pour l'assassinat à coups de couteau d'une étudiante de 18 ans en 2002, près de Valenciennes.

    Trente ans de réclusion criminelle, assortie d'une peine de sûreté de 20 ans. La cour d'assises du Nord a condamné vendredi 22 septembre Tahar Bourahla pour le meurtre à coups de couteau d'une étudiante de 18 ans en 2002 près de Valenciennes. Plus tôt, le procureur avait requis la réclusion criminelle à perpétuité. "En tout état de cause, vous ne pourrez pas descendre en dessous de 30 ans de réclusion", avait affirmé à la fin de son réquisitoire l'avocat général Dominique Tailhardat, estimant le crime "inqualifiable", et "impardonnable".

    L'audience a été particulièrement tendue, l'accusé ayant vivement contesté le réquisitoire et la famille de la victime invectivant les journalistes et les policiers. Le jeune Franco-Algérien, qui a toujours clamé son innocence, s'est violemment emporté et a dû être maîtrisé par les quatre policiers qui l'entouraient.

    "C'est pas vrai, c'est pas vrai, je ne vous permets pas, c'est pas vrai", a hurlé Bourahla, 31 ans, depuis son box avant d'être sorti de la salle d'audience pendant une quinzaine de minutes.

    Mode opératoire

    Dans son réquisitoire, l'avocat général s'est appuyé sur les témoignages de plusieurs jeunes filles qui ont raconté comment elles avaient été les actrices involontaires d'un scénario qui, selon l'accusation, a été répété pour l'assassinat de Marianne.

    Etudiante à l'IUT de Valenciennes, Marianne Listoir avait disparu le 19 octobre 2002. Dix jours après son corps avait été retrouvé dans un fossé de Marly, près de Valenciennes. Tuée de nombreux coups de couteau, l'étudiante n'avait pas été violée. Tahar Bourahla avait été arrêté le 28 novembre 2002.
    D'autres jeunes filles, à la recherche de petits boulots, avaient été attirées par Bourahla dans l'ancien appartement d'une de ses amies ou sur le même chemin où le corps de la victime a été retrouvée. Plusieurs d'entre elles ont identifié formellement l'accusé lors de l'enquête ou à nouveau devant la cour.
    "Le mode opératoire est toujours le même. L'endroit est toujours le même. Le discours qui est tenu est toujours le même. Et il y a également le comportement après les faits", a expliqué le procureur.

    Par Le Nouvelobs

  • #2
    Bonsoir Morjane

    crois-tu qu'il soit oppurtun de debattre d'une decision de justice?

    Commentaire


    • #3
      quitte a etre pris pour un cinique je dirais que c'est un non événement : un fait divers comme des milliers d'autre..
      Quoique...une petite éxpression a attirée mon attention : Pourquoi insister sur le "fronco-algerien"??

      C'est rare de lire ou d'entendre a la télé : ce criminel fronco-portugais, ou franco polonais....quand il est maghrebin, on ne se prive pas de rappeler ses "origines" :22:

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      • #4
        quand il est maghrebin, on ne se prive pas de rappeler ses "origines"
        seulement quand il y a crime ou délit
        par contre zidane on dit bien le Français!

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