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c'est une de ces nuits, pleines de spiritualité, que j'ai décidé de prendre avec moi mon appareil photo, pour immortaliser la matinée fraiche de ma cité, il faisait frais et l'invité de l'année commençait déjà à faire ses adieux.
j'ai veillé toute la nuit après les tarawih, l'heure avançait dans cette nuit magique, où quelque chose me disait que je ferai mieux de prendre avec moi mon appareil en partant à la mosquée ... ca faisait déjà un moment, que je m'étais décidé à jouer à l'apprenti photographe, depuis que j'ai encore une foi était charmé par les nuances de couleurs bleu de ma précieuse ville, qui se découvre vêtue de son plus bel accoutrement à cette heure si matinale.
un ami que j'ai rencontré en quittant la mosquée après la prière, s’est proposé de m'accompagner pour figer quelques instants magiques, les dérober au temps qui coule inexorablement..., avant qu'il ne fasse qu'un souvenir de cette nuit magique, me voilà donc armé de cet appareil magique...
à la sortie de la mosquée, au milieu de la cité ...
mon compagnon (qui était aussi présent à Setif lors des adieu à Tati) me rappelait que selon les écrits et la descriptions du prophète (salla allahou 3aleihi oua sallém) le soleil durant cette fameuse nuit du 9adre, serait complétement visible à l'oeil nu.
on prend la sorti de la ville, le calme qui y régnait ne faisait qu'ajouter de l'effet à cette quête du soleil levant, ces endroits habituellement grouillant de vie reposaient tout comme ceux qui les occupaient durant ces journées chaudes du ramadan, pas un bruit ne venait briser la quiétude sacré dans laquelle nous nous trouvions, complétement coupés du reste du monde, le temps semblait suspendu et le ciel régalait mes yeux de ses nappes colorées, mesk ellil abreuvait mon odorant de son essence délicate et derrière les derniers immeubles, où mon regard était orienté, n'écoutant presque plus mon ami, j'entrevis la timide lueur du soleil qui venait nous souhaiter la bonne journée...
(photos prises à quelques minutes d'intervalle)
j'ai veillé toute la nuit après les tarawih, l'heure avançait dans cette nuit magique, où quelque chose me disait que je ferai mieux de prendre avec moi mon appareil en partant à la mosquée ... ca faisait déjà un moment, que je m'étais décidé à jouer à l'apprenti photographe, depuis que j'ai encore une foi était charmé par les nuances de couleurs bleu de ma précieuse ville, qui se découvre vêtue de son plus bel accoutrement à cette heure si matinale.
un ami que j'ai rencontré en quittant la mosquée après la prière, s’est proposé de m'accompagner pour figer quelques instants magiques, les dérober au temps qui coule inexorablement..., avant qu'il ne fasse qu'un souvenir de cette nuit magique, me voilà donc armé de cet appareil magique...
à la sortie de la mosquée, au milieu de la cité ...
mon compagnon (qui était aussi présent à Setif lors des adieu à Tati) me rappelait que selon les écrits et la descriptions du prophète (salla allahou 3aleihi oua sallém) le soleil durant cette fameuse nuit du 9adre, serait complétement visible à l'oeil nu.
on prend la sorti de la ville, le calme qui y régnait ne faisait qu'ajouter de l'effet à cette quête du soleil levant, ces endroits habituellement grouillant de vie reposaient tout comme ceux qui les occupaient durant ces journées chaudes du ramadan, pas un bruit ne venait briser la quiétude sacré dans laquelle nous nous trouvions, complétement coupés du reste du monde, le temps semblait suspendu et le ciel régalait mes yeux de ses nappes colorées, mesk ellil abreuvait mon odorant de son essence délicate et derrière les derniers immeubles, où mon regard était orienté, n'écoutant presque plus mon ami, j'entrevis la timide lueur du soleil qui venait nous souhaiter la bonne journée...
(photos prises à quelques minutes d'intervalle)
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