et oui sa existe vraiment je ne le croyais pas mais c'est impressionnant!!
Le monde musulman ne connaît pas en réalité une prolifération aussi excessive des sectes, comme c’est le cas des autres religions.
La clarté du texte coranique, son discours pertinent sur le sens de la vie, la voie du salut ici-bas et dans l’au-delà, son caractère exhaustif et authentique, tenant compte de l’équilibre nécessaire entre les besoins matériels et spirituels de l’homme, ont permis d’apporter une réponse suffisante aux attentes des musulmans. Le caractère sacré de la vie de la personne humaine souligné plusieurs fois dans le Coran et le hadith, faisant du meurtre et du suicide des crimes extrêmement graves assimilés au crime contre l’humanité, a beaucoup contribué à éviter aux musulmans les tragédies de suicides individuels et collectifs.
Cela n’exclut pas bien entendu l’existence de divergences doctrinales en Islam, lesquelles divergences ont donné lieu à des écoles de pensée, à des opinions doctrinales différentes ; il s’agit des doctrines ‘‘madahibs’’ qu’on ne peut pas assimiler à des sectes étant donné leur accord sur les fondements de la religion tels que l’unicité de Dieu, la véracité du Coran et de la mission du prophète Mohammed, les cinq piliers de l’Islam, la croyance aux anges, aux Livres, aux messagers, au jugement dernier, au paradis et à l’Enfer.
Les désaccords portent généralement, soit sur la nature du pouvoir politique, soit sur des questions accessoires relatives aux comportements et aux relations sociales ; les musulmans demeurent en revanche unanimes sur les principes essentiels de la foi et sur les pratiques cultuelles. Les Chiites (Jaâfarites et zaïdites), les khaouaredj, les mou’tazila étaient au départ des mouvements contestataires semblables aux partis d’opposition qui avaient leurs propres opinions sur les modalités et les conditions de l’exercice du pouvoir politique.
Leurs révoltes étaient motivées par le souci de se conformer aux enseignements du Coran et du hadith dans le cadre du devoir de lutte pour le bien et contre le mal. Bien qu’elles se fondent sur des doctrines propres qui les distinguent des doctrines majoritaires, ils n’étaient pas pour autant hostiles aux croyances dominantes de la communauté ; on ne peut donc les taxer d’hérétiques ni les intégrer dans la catégorie des déviations ou des sectes.
C’est pourquoi, à de rares exceptions près, il n’existe pas de sectes à proprement parler islamiques. Les sectes pseudo islamiques que l’on connaît actuellement sont pour la plupart le produit d’une invention ou d’une contagion étrangère.
Avant de passer à l’examen au cas par cas de ces sectes, jetons un coup d’œil sur ce qu’on appelle les confréries mystiques ou le ‘‘ taçaouf’’ (le soufisme).
Il faut rappeler que cette doctrine n’est pas d’origine islamique. N’ayant pas existé du temps du prophète Mohammed (s) ni des quatre califes successeurs ; elle tire son origine des philosophies grecques, hindouistes et persanes. Ces philosophies furent introduites dans le monde musulman par les nouveaux convertis.
Ibn al-Jaouzi affirme que le soufisme remonte à l’époque préislamique, tandis que le savant al-Bayrouni assure que le soufisme est une philosophie grecque, dérivée du mot grec ‘‘sophia’’ qui signifie sagesse.
Mis à part le dhikr (invocation) et la méditation qui sont des pratiques recommandées par le Coran, beaucoup de confréries ont versé dans les excès. Les unes prétendent communiquer avec les âmes qui leur donnent des informations sur le monde du mystère.
Alors qu’en réalité, les âmes en question ne sont rien d’autres que des djinns qui se font passer pour des personnes décédés et qui donnent des informations souvent fausses. Ce faisant, ils ont sombré dans la sorcellerie, le charlatanisme, le culte des saints.
Les autres ne font même pas cas des obligations cultuelles, croyant avoir atteint un niveau tel qu’ils en aient obtenu la dispense ainsi que le pardon de tous les péchés qu’ils ont commis ou à commettre. Selon eux, les actes extérieurs, que ce soit un péché ou une bonne action, n’ont aucune importance ; ce qui compte, disent-ils, c’est le cœur.
C’est exactement la théorie de Paul de Tarse. Leurs cœurs ‘‘ baignent dans l’amour d’Allah parce que parvenus à Sa connaissance’’. Pendant que leurs membres commettent des péchés, ‘‘ leurs cœurs sont en audience avec Dieu.’’
On attribue à certains cheikhs (maîtres) tel Abou Yazid al-Bastani des auto-glorifications du type :
‘‘ Gloire à moi, combien est grande ma grandeur’’ ‘‘ Je suis : il n’y a de dieu que moi, adorez-moi’’ ‘‘ J’ai traversé une mer, les prophètes s’étaient arrêtés à son rivage’’ ‘‘ Je suis monté au ciel et j’ai installé ma coupole à côté du Trône’’
a) La Tidjania a été créée à Fès vers 1790 par Ahmed Tidjani, né à Aïn Madhi (Algérie) en 1737.
Cette confrérie est bien enracinée en Afrique où elle jouit d’une popularité et d’une estime considérables. Le cheikh déclare avoir rencontré en réalité le Prophète Mohammed qui lui aurait remis un livre ‘‘jawhar al-maâni’’ (substance des sens) composé par le prophète lui-même et lui aurait indiqué une formule de prière (salat al-fateh) dont une seule invocation peut égaler plusieurs fois la lecture du Coran.
Tidjani croit avoir une place privilégiée auprès d’Allah que nul saint ne peut atteindre.
II déclare : « le maître de l’existence (Mohammed) m’a dit : ‘tu fais partie de ceux qui sont en sécurité ; tu es mon ami et celui qui t’aime est mon ami ; tes disciples sont mes disciples. Celui qui s’abreuve de ton wird (litanie ) sera exempt du feu’ »
Ses disciples soutiennent que le prophète aurait conservé une partie de la révélation jusqu’au moment ou apparut Tidjani auquel le prophète lui aurait confié ce secret dont ‘‘salat al-fateh’’.
La confrérie donne à ses adeptes des consignes étranges leur faisant interdiction de fréquenter les gens, de s’instruire, sous prétexte que cela formerait un voile qui les empêcherait d’atteindre l’enceinte divine. Préférant vivre dans l’isolement, les adeptes de la confrérie donnent l’impression de vivre dans une autre planète, ignorant totalement ce qui se passe autour d’eux.
En dépit des déviations attribuées à certaines confréries, on peut en effet constater que la tidjania est restée à l’abri de ces déviations.
Bien au contraire, la Tidjania a rendu d’énormes services à l’Islam en assurant sa défense et sa promotion durant la triste période coloniale. C’est grâce à Dieu, puis à cette confrérie que l’Islam s’est répandu en Afrique noire et c’est grâce à elle qu’il a pu survivre aux incessantes attaques coloniales.
Si certains cheikhs avaient, par contrainte ou par conviction, accepté de collaborer avec l’administration coloniale, ce n’était pas la cas de la plupart des chefs spirituels de la Tidjania. Il en est ainsi de Cheikh Hamahoullah, Cheikh Samouri Touré, Cheikh Foudi Abdallâh Doukouré et bien d’autres qui ont fait la prison et combattu le colonialisme pendant plusieurs décennies.
Hormis le cas de quelques dissidents victimes de manœuvres perfides, la confrérie Tidjania a mené un combat acharné contre le colonialisme, ne fut-ce qu’en sauvegardant l’identité islamique.
b) Parmi les sectes soutenues par le mouvement sioniste et les anglo-américains figurent à notre connaissance al-Qadianiya et al-Bahaï-ya ; la première fondée à Qadiane (Inde) par Mirza Ahmed Gholam en 1868 et la seconde à Shiraz (Iran) par Ali Mohamed Shirazi en 1844.
Ces deux sectes sont plantées comme un poignard dans le dos de l’Islam. Leur but consiste essentiellement à saper les fondements de l’Islam, à déformer ses enseignements, à changer et à pervertir les mœurs et les croyances des musulmans, et enfin à œuvrer pour la concrétisation des idéaux sionistes, notamment le retour des Juifs en Palestine afin d’accélérer l’avènement du gouvernement juif mondial.
Comme les Juifs, les deux sectes haïssent les musulmans et les chrétiens (catholiques et orthodoxes notamment), les deux croient à la crucifixion de Jésus, les deux ont des sièges à Haïfa ( Israël), croient à la transmigration des âmes, autorisent les boissons alcoolisées et la drogue, nient l’existence du châtiment de la tombe, considèrent le Jihad aboli, croient à la continuité de la prophétie et de la révélation après Mohammed (s), chacune des deux sectes prétend que son fondateur était le dernier messager qui recevait la révélation divine et chacune croit que son fondateur est le messie attendu.
La secte Bahaï-ya nie l’existence du Paradis et de l’Enfer, les miracles des prophètes, les djinns et les anges ; elle prône le communisme des biens et des femmes. La doctrine de la secte a été clairement exposée dans le discours de Ftaima bint Qazuini, surnommée Qurratu’l Aïn, qui proclama en public la légitimité du libertinage et du collectivisme sexuel ainsi que l’abrogation de la Charia : ‘‘le jeûne, la prière, la zakat et tout ce que Mohammed avait apporté sont nuls et de nul effet dès aujourd’hui. Notre protecteur al-Bab (la porte) va conquérir le monde, soumettre les hommes et unifier les religions de la planète de sorte qu’il ne restera qu’une seule religion : la nouvelle religion de la vérité et la nouvelle charia sont les siennes...Profitez de la vie, il n’y aura plus rien après la mort ; partagez entre vous les richesses et les femmes. Plus d’interdits désormais, ni de charges ni de privations.’’
Le monde musulman ne connaît pas en réalité une prolifération aussi excessive des sectes, comme c’est le cas des autres religions.
La clarté du texte coranique, son discours pertinent sur le sens de la vie, la voie du salut ici-bas et dans l’au-delà, son caractère exhaustif et authentique, tenant compte de l’équilibre nécessaire entre les besoins matériels et spirituels de l’homme, ont permis d’apporter une réponse suffisante aux attentes des musulmans. Le caractère sacré de la vie de la personne humaine souligné plusieurs fois dans le Coran et le hadith, faisant du meurtre et du suicide des crimes extrêmement graves assimilés au crime contre l’humanité, a beaucoup contribué à éviter aux musulmans les tragédies de suicides individuels et collectifs.
Cela n’exclut pas bien entendu l’existence de divergences doctrinales en Islam, lesquelles divergences ont donné lieu à des écoles de pensée, à des opinions doctrinales différentes ; il s’agit des doctrines ‘‘madahibs’’ qu’on ne peut pas assimiler à des sectes étant donné leur accord sur les fondements de la religion tels que l’unicité de Dieu, la véracité du Coran et de la mission du prophète Mohammed, les cinq piliers de l’Islam, la croyance aux anges, aux Livres, aux messagers, au jugement dernier, au paradis et à l’Enfer.
Les désaccords portent généralement, soit sur la nature du pouvoir politique, soit sur des questions accessoires relatives aux comportements et aux relations sociales ; les musulmans demeurent en revanche unanimes sur les principes essentiels de la foi et sur les pratiques cultuelles. Les Chiites (Jaâfarites et zaïdites), les khaouaredj, les mou’tazila étaient au départ des mouvements contestataires semblables aux partis d’opposition qui avaient leurs propres opinions sur les modalités et les conditions de l’exercice du pouvoir politique.
Leurs révoltes étaient motivées par le souci de se conformer aux enseignements du Coran et du hadith dans le cadre du devoir de lutte pour le bien et contre le mal. Bien qu’elles se fondent sur des doctrines propres qui les distinguent des doctrines majoritaires, ils n’étaient pas pour autant hostiles aux croyances dominantes de la communauté ; on ne peut donc les taxer d’hérétiques ni les intégrer dans la catégorie des déviations ou des sectes.
C’est pourquoi, à de rares exceptions près, il n’existe pas de sectes à proprement parler islamiques. Les sectes pseudo islamiques que l’on connaît actuellement sont pour la plupart le produit d’une invention ou d’une contagion étrangère.
Avant de passer à l’examen au cas par cas de ces sectes, jetons un coup d’œil sur ce qu’on appelle les confréries mystiques ou le ‘‘ taçaouf’’ (le soufisme).
Il faut rappeler que cette doctrine n’est pas d’origine islamique. N’ayant pas existé du temps du prophète Mohammed (s) ni des quatre califes successeurs ; elle tire son origine des philosophies grecques, hindouistes et persanes. Ces philosophies furent introduites dans le monde musulman par les nouveaux convertis.
Ibn al-Jaouzi affirme que le soufisme remonte à l’époque préislamique, tandis que le savant al-Bayrouni assure que le soufisme est une philosophie grecque, dérivée du mot grec ‘‘sophia’’ qui signifie sagesse.
Mis à part le dhikr (invocation) et la méditation qui sont des pratiques recommandées par le Coran, beaucoup de confréries ont versé dans les excès. Les unes prétendent communiquer avec les âmes qui leur donnent des informations sur le monde du mystère.
Alors qu’en réalité, les âmes en question ne sont rien d’autres que des djinns qui se font passer pour des personnes décédés et qui donnent des informations souvent fausses. Ce faisant, ils ont sombré dans la sorcellerie, le charlatanisme, le culte des saints.
Les autres ne font même pas cas des obligations cultuelles, croyant avoir atteint un niveau tel qu’ils en aient obtenu la dispense ainsi que le pardon de tous les péchés qu’ils ont commis ou à commettre. Selon eux, les actes extérieurs, que ce soit un péché ou une bonne action, n’ont aucune importance ; ce qui compte, disent-ils, c’est le cœur.
C’est exactement la théorie de Paul de Tarse. Leurs cœurs ‘‘ baignent dans l’amour d’Allah parce que parvenus à Sa connaissance’’. Pendant que leurs membres commettent des péchés, ‘‘ leurs cœurs sont en audience avec Dieu.’’
On attribue à certains cheikhs (maîtres) tel Abou Yazid al-Bastani des auto-glorifications du type :
‘‘ Gloire à moi, combien est grande ma grandeur’’ ‘‘ Je suis : il n’y a de dieu que moi, adorez-moi’’ ‘‘ J’ai traversé une mer, les prophètes s’étaient arrêtés à son rivage’’ ‘‘ Je suis monté au ciel et j’ai installé ma coupole à côté du Trône’’
a) La Tidjania a été créée à Fès vers 1790 par Ahmed Tidjani, né à Aïn Madhi (Algérie) en 1737.
Cette confrérie est bien enracinée en Afrique où elle jouit d’une popularité et d’une estime considérables. Le cheikh déclare avoir rencontré en réalité le Prophète Mohammed qui lui aurait remis un livre ‘‘jawhar al-maâni’’ (substance des sens) composé par le prophète lui-même et lui aurait indiqué une formule de prière (salat al-fateh) dont une seule invocation peut égaler plusieurs fois la lecture du Coran.
Tidjani croit avoir une place privilégiée auprès d’Allah que nul saint ne peut atteindre.
II déclare : « le maître de l’existence (Mohammed) m’a dit : ‘tu fais partie de ceux qui sont en sécurité ; tu es mon ami et celui qui t’aime est mon ami ; tes disciples sont mes disciples. Celui qui s’abreuve de ton wird (litanie ) sera exempt du feu’ »
Ses disciples soutiennent que le prophète aurait conservé une partie de la révélation jusqu’au moment ou apparut Tidjani auquel le prophète lui aurait confié ce secret dont ‘‘salat al-fateh’’.
La confrérie donne à ses adeptes des consignes étranges leur faisant interdiction de fréquenter les gens, de s’instruire, sous prétexte que cela formerait un voile qui les empêcherait d’atteindre l’enceinte divine. Préférant vivre dans l’isolement, les adeptes de la confrérie donnent l’impression de vivre dans une autre planète, ignorant totalement ce qui se passe autour d’eux.
En dépit des déviations attribuées à certaines confréries, on peut en effet constater que la tidjania est restée à l’abri de ces déviations.
Bien au contraire, la Tidjania a rendu d’énormes services à l’Islam en assurant sa défense et sa promotion durant la triste période coloniale. C’est grâce à Dieu, puis à cette confrérie que l’Islam s’est répandu en Afrique noire et c’est grâce à elle qu’il a pu survivre aux incessantes attaques coloniales.
Si certains cheikhs avaient, par contrainte ou par conviction, accepté de collaborer avec l’administration coloniale, ce n’était pas la cas de la plupart des chefs spirituels de la Tidjania. Il en est ainsi de Cheikh Hamahoullah, Cheikh Samouri Touré, Cheikh Foudi Abdallâh Doukouré et bien d’autres qui ont fait la prison et combattu le colonialisme pendant plusieurs décennies.
Hormis le cas de quelques dissidents victimes de manœuvres perfides, la confrérie Tidjania a mené un combat acharné contre le colonialisme, ne fut-ce qu’en sauvegardant l’identité islamique.
b) Parmi les sectes soutenues par le mouvement sioniste et les anglo-américains figurent à notre connaissance al-Qadianiya et al-Bahaï-ya ; la première fondée à Qadiane (Inde) par Mirza Ahmed Gholam en 1868 et la seconde à Shiraz (Iran) par Ali Mohamed Shirazi en 1844.
Ces deux sectes sont plantées comme un poignard dans le dos de l’Islam. Leur but consiste essentiellement à saper les fondements de l’Islam, à déformer ses enseignements, à changer et à pervertir les mœurs et les croyances des musulmans, et enfin à œuvrer pour la concrétisation des idéaux sionistes, notamment le retour des Juifs en Palestine afin d’accélérer l’avènement du gouvernement juif mondial.
Comme les Juifs, les deux sectes haïssent les musulmans et les chrétiens (catholiques et orthodoxes notamment), les deux croient à la crucifixion de Jésus, les deux ont des sièges à Haïfa ( Israël), croient à la transmigration des âmes, autorisent les boissons alcoolisées et la drogue, nient l’existence du châtiment de la tombe, considèrent le Jihad aboli, croient à la continuité de la prophétie et de la révélation après Mohammed (s), chacune des deux sectes prétend que son fondateur était le dernier messager qui recevait la révélation divine et chacune croit que son fondateur est le messie attendu.
La secte Bahaï-ya nie l’existence du Paradis et de l’Enfer, les miracles des prophètes, les djinns et les anges ; elle prône le communisme des biens et des femmes. La doctrine de la secte a été clairement exposée dans le discours de Ftaima bint Qazuini, surnommée Qurratu’l Aïn, qui proclama en public la légitimité du libertinage et du collectivisme sexuel ainsi que l’abrogation de la Charia : ‘‘le jeûne, la prière, la zakat et tout ce que Mohammed avait apporté sont nuls et de nul effet dès aujourd’hui. Notre protecteur al-Bab (la porte) va conquérir le monde, soumettre les hommes et unifier les religions de la planète de sorte qu’il ne restera qu’une seule religion : la nouvelle religion de la vérité et la nouvelle charia sont les siennes...Profitez de la vie, il n’y aura plus rien après la mort ; partagez entre vous les richesses et les femmes. Plus d’interdits désormais, ni de charges ni de privations.’’
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