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Débat entre une voilée et non voilée au Québec - vidéo

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  • #31
    Naw08
    mon dieu que l'algérienne me tape sur les nerfs
    Née en Ukraine en 1972 d’une mère chypriote grecque et d’un père algérien, Djemila Benhabib a grandi à Oran dans une famille de scientifiques engagée dans des luttes politiques et sociales. Très tôt, elle prend conscience de la condition subalterne des femmes de son pays. Condamnée à mort par les islamistes, sa famille se réfugie en France en 1994. Djemila Benhabib s’installe au Québec, pour y suivre des études en physique, en science politique et en droit international. Elle y travaillera plusieurs années comme fonctionnaire fédérale.

    Celle qui fut plusieurs années collaboratrice au journal algérien Al-Watan, connue désormais comme fervente féministe et militante laïque, nous revient à présent avec deux nouveaux livres : L’automne des femmes arabes (2012) et Les soldats d’Allah à l’assaut de l’Occident (2013), tous les deux chez H&O éditions.
    -------------------------------------------

    Je me demande pourquoi elle est si islamophobe ( se cachant derrière la laïcité ) , elle ressemble beaucoup a cette vipère de caroline fourest.

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    • #32
      CNE
      c'est une émission de divertissement mais aussi culturelle et politique, c'est un peu le concept. le genre d'émissions qui vise à vulgariser la culture et la politique pour toucher le grand public pas seulement les intélos. en France c'est le créneau de laurant ruquier et de thiery ardisson. ce n'est pas ce soir ou jamais ou c'est dans l'air.
      Je préfère de loin les émissions françaises que je trouve beaucoup plus sérieuses que celles du Quebec qui ne cherchent que le sensationnel , tout est artificiel dans leurs émissions , sans oublier que ici , chaque 5 minutes de programme y a 10 minutes de publicités , et quelque soit le programme .
      Dernière modification par ahras, 04 octobre 2013, 18h21.

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      • #33
        Cette Djemila Benhabib qui veut se montrer plus laïque que les québécois s’est faite rappelé ses origines par le maire de Sauenay, en voulant s’attaqué au crucifix accroché au-dessus du siège du président de l’assemblé : « nous allons nous faire dicter comment se comporter, comment respecter notre culture par une personne qui arrive d'Algérie et dont nous sommes incapables de prononcer le nom». La photo avec un verre de vin à la main ne lui a pas servi à grande chose

        Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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        • #34
          Shadok peut être qu'elle est laïque par conviction et qu'elle n'est pas croyante.

          Les laïques aussi ont de convictions et ne font pas forcément ce qu'ils font pour plaire aux autres.

          Le fait qu'elle ait subit des réflexion racistes ne la fera pas changer d'avis si elle a des convictions profondes, ce qui semble être son cas.
          Hope is the little voice you hear whisper "maybe" when it seems the entire world is shouting "no!"

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          • #35
            oui, Mégane, elle se dit elle-même agnostique...
            Pour ma part, je trouve que ce déversement d'insultes et de haine qu'elle suscite ici va exactement dans sons et prouve ses écrits sur notre intolérance.
            J'espère me tromper.
            ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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            • #36
              La voilée a bien défendu son point de vue avec calme et intelligence, seule contre tous, pas seulement contre la féministe enragée

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              • #37
                c'est vrai qu'elle a bien défendu son point de vue.
                Radio Canada a bien fait de la choisir pour équilibrer le débat car Benhabib est assez articulée et pas facile du tout.
                ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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                • #38
                  Djemila Benhabib, on l'utilise comme fut utilisé l imam tunisien, elle est ambitieuse, ce qui justifie son excès de zèle et sa haine des siens. tiens pourquoi qu elle n a jamais milité pour plus d’intégration des siens dans la société Québécoise , elle doit surement détester ses origines cette vipère.

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                  • #39
                    Une réponse intéressante d'un étudiant en science politique à Mme Djamila Benhabib :


                    Quand l'intégrisme laïc se nourrit de l'intégrisme religieux

                    Mme Benhabib,

                    J'ai écouté avec beaucoup d'intérêt le débat de Tout le monde en parle de dimanche dernier, auquel vous avez assisté. À cette occasion, vous étiez invitée à débattre de la Charte du PQ avec Dalila Awada, une jeune Québécoise portant le voile. Par les temps qui courent et dans le climat économique assez morose que nous traversons, j'aurais préféré que fussent invités sur le plateau de Guy A. Lepage des personnes comme Nicolas Marceau ou Pauline Marois venant donner des explications aux Québécois quant à la piètre gestion économique de la province que nous connaissons depuis un an. Néanmoins, il faut reconnaître une chose au gouvernement Marois : sa Charte réussit à détourner l'attention de la population du piètre état de notre économie. Mais puisqu'il est question de Charte, parlons de la Charte.

                    Le voile, un symbole sexiste?

                    Dès les premières minutes du débat, vous avez soutenu que la Charte ne vise aucun groupe en particulier, étant donné qu'y est inscrite l'interdiction de tout signe religieux ostentatoire pour les employés de la fonction publique. Or, vous ne vous êtes pas retenue de renchérir que le voile est davantage visé que tout autre signe religieux, étant donné que ce dernier est un «symbole sexiste» exclusif aux femmes, un symbole «tâché de sang». J'aurais bien apprécié que vous vous attardassiez davantage sur l'argument selon lequel le voile est un symbole sexiste.

                    Il est vrai que dans de nombreux pays, comme vous l'avez très bien souligné, les femmes sont victimes de domination masculine, de répression et de discrimination. Oui, il est vrai que dans des pays comme l'Arabie saoudite, l'Afghanistan, le Qatar ou la Syrie, les femmes sont souvent victimes de discrimination. Et dans ces pays, l'islam est également la religion dominante. Cependant, j'aimerais également vous enjoindre à éviter, dans la mesure du possible, de tomber dans des sophismes classiques. Un carré est un rectangle, mais les rectangles ne sont pas tous des carrés. Le fondamentalisme islamique est une branche de l'islam. Mais l'islam, en soi, n'est pas fondamentaliste. Ce qui veut dire que, si certaines femmes sont obligées de porter le voile, comme dans certains pays, et sont victimes de maltraitance et de domination masculine, cela ne signifie en rien que le port du voile est, en soi, un signe sexiste et de domination.

                    La Charte pour se protéger du fondamentalisme religieux?

                    Plus tard dans le débat, vous avez rappelé l'importance pour l'État d'établir des balises, de «prémunir l'État québécois de l'intrusion du religieux», en insistant sur les dommages que l'on constate dans les pays dotés d'une religion d'État. Je suis tout à fait d'accord avec vous sur le point que, pour assurer un bon vivre ensemble, il faut établir des balises. Toutefois, établir des balises ne veut pas dire priver des personnes de leur liberté religieuse. Vous avez plusieurs fois répété que vous n'avez rien contre le port du voile dans la vie de tous les jours, en dehors de la fonction publique.

                    Le problème Mme Benhabib, c'est que la fonction publique est, au Québec, l'un des plus grands employeurs. Alors, interdire à une professeure d'université, à une éducatrice dans une garderie, ou à une fonctionnaire de Revenu Québec de porter le voile, n'est-ce pas là brimer la liberté d'individus dans leur vie quotidienne? L'exigence de laïcité de l'État n'implique aucunement l'imposition d'une neutralité vestimentaire stricte chez les employés de la fonction publique. La laïcité et la neutralité de l'État se lisent avant tout à la lumière de la manière dont les employés de l'État font leur travail. Comme votre adversaire, Dalila Awada, l'a si bien dit, on peut aimer et embrasser les valeurs québécoises, traiter les individus de manière égale, tout en portant le voile par convictions personnelles.

                    Vous m'avez particulièrement déçu lorsque, pour soutenir votre argument en vertu duquel le voile exprime une volonté de contrôler les femmes, vous avez fait référence au drame des quatre filles de la famille Shafia. Cette récupération politique d'un drame familial isolé est un exemple typique des dangers des associations maladroites entre intégrisme religieux et islam. Souvenons-nous : ces quatre filles ont été assassinées par leur père sous prétexte qu'elles refusaient de porter le voile. Il s'agit d'un crime odieux qui doit être condamné. Néanmoins, je ne peux accepter le fait qu'on en tire des généralisations sur l'islam et les rapports hommes-femmes qui ont cours chez les pratiquants de cette religion.

                    Au cours de mes études secondaires, collégiales et universitaires, j'ai eu l'occasion de côtoyer plusieurs musulmans, autant des hommes que des femmes, qui sont pour moi des modèles sur le plan de la tolérance, de l'égalité et de la liberté de foi. À tous ceux qui croient encore que l'islam est une religion de domination qui tente d'imposer sa suprématie sur l'occident : jamais un musulman n'a essayé de me convaincre d'adopter, de quelque façon que ce soit, sa religion. L'intégrisme religieux représente certes un danger pour nos démocraties libérales, mais ce n'est pas un problème qui se limite à l'islam. Il y a des intégristes chrétiens, des intégristes juifs, des intégristes dans toutes les religions et dans toutes les cultures. L'islam ne détient pas le monopole de l'extrémisme et de la domination masculine. C'est justement la raison pour laquelle il ne faut pas, sous prétexte de protéger l'État et la société québécoise de l'extrémisme religieux, sombrer dans l'extrémisme laïc et de neutralité. Eh oui, la modération a bien meilleur goût, et l'exigence de laïcité n'assigne pas à l'État l'obligation de contrôler l'habillement de ses employés.

                    Le devoir de mémoire

                    Vous avez également insisté, au cours du débat, sur l'importance de l'exigence de mémoire. Entièrement d'accord avec vous. Mais à ce sujet, j'aimerais vous rappeler que le christianisme est en grande partie responsable des plus grands massacres de populations humaines dans l'histoire de la civilisation occidentale. En Europe, des guerres de religion opposant catholiques et protestants ont mené à des conflits parmi les plus sanglants de l'histoire humaine. Au Québec, au cours des années Duplessis, la religion catholique, l'ultramontanisme et la presse clérico-nationaliste ont également été à la base de plusieurs maux, dont l'antisémitisme et la détermination de Duplessis d'empêcher l'arrivée de réfugiés juifs d'Europe en sol canadien-français.

                    Ce rapprochement entre l'Église et l'État québécois de l'époque est en grande partie incarné dans le crucifix de l'Assemblée nationale, symbole que le présent gouvernement péquiste n'est pas prêt de retirer de sitôt. Mais c'est là le moindre de mes soucis. Car historiquement, aucune religion n'a les mains propres sur le plan du respect des libertés individuelles et à ce sujet, le christianisme et le crucifix sont tout autant tâchés de sang que l'islam et le voile. Mais il faut reconnaître que la religion est aussi un élément d'identité fort chez de nombreux individus et, qu'en tant que société démocratique libérale, nous nous devons de respecter les croyances des individus provenant de différents horizons culturels. Et à cet égard, nous devons nous assurer que l'exigence de neutralité de l'État ne dérive pas en un intégrisme laïc inspiré de l'intégrisme religieux.

                    Grégory Kudish
                    Étudiant en science politique - UdeM
                    Huffington Post Québec

                    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                    • #40
                      Mais il faut reconnaître que la religion est aussi un élément d'identité fort chez de nombreux individus
                      Elle , c est une arriviste , une déracinée , une nomade , elle a vécu dans beaucoup de pays , elle s'en fout du passé des ces gens qui ont toujours vécu sur cette terre.

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                      • #41
                        Djemila, les soldats d’Allah et le crucifix.

                        Par Djamaledine Benchenouf Je crois très honnêtement que l’islamisme politique n’a pas d’avenir sérieux. Je pense personnellement qu’il est voué à l’impasse, pour la simple raison qu’il ne repose pas sur un projet de société viable, mais sur un sentiment général de frustration, et de confusion civilisationnelle. Les bases militantes de ce courant croient vaguement pouvoir se réapproprier une identité éclatée, une civilisation naufragée, voire seulement une dignité perdue. Mais dans l’ensemble, les attitudes qui découlent de cette adhésion, comme certains dehors vestimentaires, sont plus motivées par une recherche de préserver ce qui est perçu comme une identité propre qu’une volonté de conquérir l’espace public.

                        En occident, ce phénomène s’est surtout révélé être un inépuisable fond de commerce pour des opportunistes de tout poil. Des écrivains, des caricaturistes, des journalistes, en mal d’inspiration, qui compensent leur manque de talent intrinsèque en se servant de ce bien commode épouvantail.
                        C’est le cas, au Canada, ou Madame Djemila Benhabib fait feu de tout bois pour se faire mousser. J’ai été stupéfait d’entendre de sa bouche, qu’il lui a fallu 15 ans pour écrire son « A contre-Coran ». S’il lui a fallu autant de temps pour traiter d’un sujet aussi porteur, aussi facile à vendre, c’est qu’elle a un vrai problème ? Quinze ans de travail et de recherches, pour pondre un pamphlet aussi médiocre ! Mais qu’importe ! C’est dans l’air du temps, et ça fait plus sérieux de dire qu’on a consacré une décennie et demi pour écrire un livre. Le rapport a été tel qu’elle s’est encore lâchée, en écrivant un autre épouvantail, encore plus médiocre que le premier, et tout aussi islamophobe, au titre racoleur, et qui ne s’est nullement encombré de subliminalité: « Les soldats d’Allah à l’assaut de l’occident ». Rien que ça !

                        Certains politiciens canadiens creusent dans la même veine. Ils savent que les dividendes que leur rapporte leur haro sur le baudet sont payés cash, par une multitude de gens désorientés, qui rangent leur peur panique dans le même rayon que leur bulletin de vote. Et ça rapporte tellement, et si vite, que ça se bouscule dans le créneau. Ce n’est plus désormais le monopole des extrêmes droites, et au rythme où ça se corse, il ne serait pas étonnant que même l’extrême-gauche va y puiser, jusqu’à épuisement du filon. A moins que trop de peur ne tue la peur.
                        La volonté de se prémunir contre le terrorisme a vite glissé vers la stigmatisation de l’islamisme, en tant que courant, comme celui des frères musulmans, puis vers l’islam d’une façon générale, et enfin contre les musulmans eux-mêmes. Curieusement, dans le même schéma d’idées, mais à rebours, d’une certaine manière, ce sont désormais des musulmans, qui précisent toujours qu’ils sont « d’origine musulmane », en rappelant que c’est la religion de leurs grands-parents, qui s’engouffrent dans l’aubaine. Ils sont de plus en plus nombreux, et cachent mal leurs motivations inavouées sous des professions de foi républicaines et démocratiques. Mais ils apprennent, souvent à leurs dépens, qu’ils restent des musulmans de service.


                        Ils sont des harkis utiles tant qu’ils restent à leur place, et qu’ils ne dépassent pas les limites tacites qui leur sont dictées. Sinon, ceux qui les toisent avec une condescendance, où ne manquent que le nonoss et la petite tape sur la haut du crâne, ont vite fait de les remettre au chenil. Ce fut le cas de Madame Benhabib ? Elle s’est crue suffisamment engagée contre la religion de sa « grand-mère » pour se permettre de faire une remarque, ô combien timide, sur la présence du crucifix au Parlement canadien. Elle a cru s’être achetée une conduite, et a pensé pouvoir s’exprimer comme n’importe quel Canadien pure laine. Mal lui en prit. Elle s’est faite vigoureusement moucher par Monsieur Tremblay, Maire de Saguenay. Il est est allé jusqu’à lui rappeler ses origines algériennes. Façon de lui signifier qu’elle reste la bougnoule qu’elle ne cessera jamais d’être. Elle se l’est tenue pour dit, puisqu’elle n’a même pas osée répondre. Elle qui réagit au quart de tour lorsqu’elle remise en question par un quelconque musulman, a rasé les murs du silence, et s’est contentée de répondre qu’elle préférait ne pas répondre. Peuchère!

                        Fort heureusement, contrairement à ce que croient ces camelots de la peur, sur le dos des plus fragilisés, leurs propres ex-compatriotes, et ex-coreligionnaires, il y a en terres occidentales bien plus de gens intègres et perspicaces qu’on ne pense, qui savent sasser le bon grain. Les gens ne le remarquent peut-être pas, mais ceux qui font barrage à ces oiseaux de malheur sont souvent des non musulmans. C’est tout à leur honneur. Et ce n’est que justice, lorsqu’on sait que le terrorisme jihadiste a été créé de toute pièce par la CIA et sa chose saoudienne, à un moment où il était de bon ton de lutter contre l’ours rouge, pour le bouter hors d’Afghanistan. On ne le dira jamais assez aux lecteurs de Djemila Benhabib!
                        “Le cours évolutif du progrès européen pendant ces trois cents dernières années pourrait se résumer à seulement quatre mots: égoïsme, massacres, impudeur et corruption.” Yan Fu

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                        • #42
                          « Les soldats d’Allah à l’assaut de l’occident »
                          le titre de ce navet est très révélateur de la personnalité de cette illuminée .

                          Commentaire


                          • #43
                            le titre de ce navet est très révélateur de la personnalité de cette illuminée
                            .

                            Au delà d'être illuminée, c'est une serpillère prête a tout pour se faire accepter, y compris au prix de l'humiliation! C'est à cela que tu reconnais une bougnoule de service qui ne mérite que mépris!!

                            Elle s’est faite vigoureusement moucher par Monsieur Tremblay, Maire de Saguenay. Il est est allé jusqu’à lui rappeler ses origines algériennes. Façon de lui signifier qu’elle reste la bougnoule qu’elle ne cessera jamais d’être.

                            Elle se l’est tenue pour dit, puisqu’elle n’a même pas osée répondre. Elle qui réagit au quart de tour lorsqu’elle remise en question par un quelconque musulman, a rasé les murs du silence, et s’est contentée de répondre qu’elle préférait ne pas répondre. Peuchère!
                            “Le cours évolutif du progrès européen pendant ces trois cents dernières années pourrait se résumer à seulement quatre mots: égoïsme, massacres, impudeur et corruption.” Yan Fu

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                            • #44
                              La charte des valeurs québécoise!

                              J'ai beaucoup aimé l'intervention de Dalila. Son intelligence d'abord, puis son calme. Elle a dit ce qu'il fallait dire.
                              Ce qu'Il faut savoir c'est que ce débat, totalement émotif, intervient à la veille de possibles élections. En effet, le parti Québecois étant minoritaire, cherche désespérément à ''rallier les troupes'' dans l'espoir d'être réélu. Les électeurs cible? le québecois de région souvent xénophobe et totalement ignorant de ce qui se passe à l’extérieur de son village. Pour l'instant, ça semble fonctionner!

                              La charte des valeurs québecoises ne sera jamais adoptée, je n'en ai aucun doute, mais le mal est fait! Cette charte vise essentiellement l’islam, plus particulièrement les femmes voilées et rien d'autres. Un débat stérile et émotif mais surtout dangereux.

                              Pour ce qui est de Djamila Benhabib, je n y vois qu'une opportuniste.Elle dit ce que le québecois moyen xénophobe de région aime entendre, son discours n'est qu'une basse stratégie électorale! n'oublions pas qu'elle a été défaite lors des dernières élections de 2012 (Mme se présentait alors comme député dans la région de trois rivières).
                              Je ne suis pas voilée, je ne compte pas l'être non plus. Je suis profondément l'aique , car pour moi, la religion et l'état, du point de vu des lois notamment, ne devraient jamais être mêlés. Mais je crois profondément aux libertés individuelles.
                              Dernière modification par kikoz, 05 octobre 2013, 00h23.
                              kikoz un jour, koz toujours.

                              Commentaire


                              • #45
                                Bonjour Kikoz

                                J'ai beaucoup aimé l'intervention de Dalila. Son intelligence d'abord, puis son calme. Elle a dit ce qu'il fallait dire.
                                Dalila Awada est une excellente militante de Québec Solidaire, ce nouveau parti plutôt socialiste et indépendantiste qui se veut bien plus à gauche du PQ.


                                La charte des valeurs québecoises ne sera jamais adoptée, je n'en ai aucun doute
                                Si, si, ca va passer mais pas dans sa mouture actuelle.
                                ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

                                Commentaire

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