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mohamed sifaoui !!!???

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  • #31
    Franchement, le dénommé Sifaoui est militant, prêcheur, arrogant, tout sauf journaliste !!

    Ses caméras cachés sont bidons... Celle du prêche "appelant au Jihad" est en fait une prière pour les Musulmans "en souffrance" dans le monde et qui se battent (Jihad) et non pas un appel à lancer des avions contre des tours ou tuer des enfants à la sortie des écoles... En caméra caché, noir et blanc, sous-titrés, ça a de la gueule, mais ce n'est pas "scandaleux" pour deux sous...

    La scène du Turc que l'on peut trouver dans l'annuaire est du même acabit... Et l'équipe d'ASI a eu raison d'ironiser et d'interroger Sifaoui à ce sujet. Cette séquence est révélatrice du travail de cet individu.

    La Télé Suisse Romande avait refusé de prendre livraison d'un reportage qu'elle avait pourtant commandé à Mohammed Sifaoui... Dommage, les Suisses ne le verront donc jamais se présenter, caméra cachée, devant une librairie islamiste parisienne. Le libraire le reconnaît, lui dit en gros "on n'aime pas ce que tu fais, ne viens pas nous embêter"... Et Sifaoui de déclarer (musique et ralentis à l'appui) : "regardez, comment, en pleine rue parisienne, cet homme vient de me menacer de mort"... Si ça ce n'est pas du journalisme d' "investigation"...!!!

    Enfin, dernière petite séquence pour vous amuser une dernière fois : lors d'un "reportage" intitulé "Sur les Traces de Ben Laden", Sifaoui interroge des inconnus dans un café sur le bord d'une route afghane... Sans noms et sans fonction, le micro trottoir, montre que oui, Ben Laden est dans le coin, "il est là", "on le sait", car "tout le monde le sait"... C'est à peu près la même chose que d'aller interviewer des "piliers de bar" au café du commerce sur "à qui appartiennent les fourrières de Paris" ou un autre lieu commun du même genre !!...

    Sifaoui est lamentable, nous aussi, à passer un temps fou à le dénoncer, mais les plus lamentables, les irresponsables, ce sont ceux qui en toute connaissance de cause, lui commandent ses reportages et les achètent... C'est ce qu'on appelle le Droit de Savoir ???

    france5.fr

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    • #32
      Tu parle de ça ?

      Quand France 2 recycle les rebuts de la télévision suisse
      A propos d’un « reportage partial » de Mohamed Sifaoui sur Tariq Ramadan

      Par Vincent Geisser
      jeudi 25 novembre 2004

      Le 24 septembre 2004, la Télévision suisse romande (TSR) décidait de déprogrammer un reportage de Mohamed Sifaoui consacré à l’islamologue Tariq Ramadan. La principale raison invoquée par le chaîne publique helvétique est le caractère « partial » du documentaire et son absence totale d’objectivité. Or, quelques semaines plus tard, surfant sur la vague du sensationnalisme de la « menace islamique », l’émission phare de France 2, Envoyé spécial, récupère ce « procès-reportage » à la charge de T. Ramadan qui devrait, en principe, être diffusé le 2 décembre prochain. Au regard de cette décision de la rédaction de France 2, deux interrogations nous viennent immédiatement à l’esprit. La déontologie journalistique n’aurait-elle pas la même signification de part et d’autre des Alpes ? France 2 se serait-elle spécialisée dans le recyclage médiatique des reportages sécuritaires, dignes des « services policiers » des régimes autoritaires du Monde arabe et d’ailleurs ? Le médiateur de la chaîne publique nous apportera t-il des réponses ?.

      Que Mohamed Sifaoui, ce journaliste « très spécial », se lance aujourd’hui dans un « procès-reportage » contre l’islamologue Tariq Ramadan, n’étonnera personne. Depuis quelques années, tant dans les médias audiovisuels que dans la presse écrite, ce registre sécuritaire s’est largement banalisé, devenant même un genre dominant. Dans une précédente étude, nous avions ainsi mis en évidence l’émergence dans le paysage médiatique français d’une « expertise de la peur » qui, sous couvert de scientificité et de rigueur journalistique, véhicule les pires clichés et fantasmes sur les associations et personnalités musulmanes de l’Hexagone. Jouant très largement sur le registre émotionnel, ces nouveaux apprentis sorciers du journalisme contribuent à légitimer une lecture caricaturale de l’islam européen, directement importée du bled et largement influencée par les régimes autoritaires : « au-delà des registres émotionnel et victimaire, c’est une véritable idéologie de combat qui transparaît dans leurs propos : les essayistes algériens sont des ‘éradicateurs’ qui s’assument sans complexe : en janvier 1992, ils avaient justifié l’arrêt brutal du processus électoral en Algérie au nom de la préservation de la ‘démocratie’. Aujourd’hui, ils s’attaquent systématiquement à tous ceux qui osent critiquer les très graves violations des droits de l’homme commises par l’armée algérienne pendant la guerre civile. La virulence de leur discours rejoint parfois celle de leurs ennemis, les islamistes radicaux [...]. Plus grave encore, ces auteurs ont en commun d’observer un silence complet sur la manipulation de la violence islamiste par les services secrets algériens, pourtant aujourd’hui largement établie, qu’il s’agisse des massacres commis par le GIA contrôlés par la Sécurité militaire ou des attentats de 1995 en France »1.

      Mais ne nous y trompons pas : cette relation entre les régimes autoritaires du Monde arabe et les « nouveaux journalistes sécuritaires » n’est pas simplement théorique. Nombreux parmi eux entretiennent des rapports très étroits avec les services de sécurité du Maghreb, travaillant ainsi à la commande. De ce point de vue, Mohamed Sifaoui, auteur du reportage sur Tariq Ramadan, est un « cas d’école » (on devrait plutôt dire un « cas de service ») : ancien pigiste dans des quotidiens algériens (Horizons, Le Soir d’Algérie, L’Authentique...), totalement inconnu des milieux journalistiques algérois, il fait sa « percée médiatique » à la faveur d’un rapprochement avec les services de sécurité et de certains généraux. Bien qu’il n’ait jamais appartenu directement au Département algérien des Renseignements et de la Sécurité (DRS), il s’en serait progressivement rapproché pour des raisons du pur opportunisme professionnel. Dans un article relativement récent, Hichem Aboud, auteur de La Mafia des généraux, lève d’ailleurs certaines zones d’ombre sur les méthodes sécuritaires de ce journaliste « très spécial » : « Comment un réfugié politique [Mohamed Sifaoui] publie un livre2 qui encense le pouvoir et s’érige en défenseur zélé de ces généraux qu’il pourfendait dans ses discussions en privé et dans la version initiale de La Sale Guerre ? Comment un réfugié politique, opposant au régime par définition, jouit-il des largesses de la télévision algérienne connue pour être un instrument entre les mains des généraux mafieux ? Le peu de doute qui restait pour ceux qui hésitaient à voir en Mohamed Sifaoui le parfait agent envoyé par le Département des Renseignements et de la Sécurité (DRS) du général Tewfik, pour infiltrer les milieux de l’opposition en exil est levé pour beaucoup d’observateurs [...]. Et pourtant, Mohamed Sifaoui n’a jamais été un agent du DRS. On ne lui a jamais fait signer un dossier d’agent [...]. Sifaoui, comme beaucoup d’autres journalistes, était fasciné par ce monde mystérieux du renseignement et de l’espionnage. Pour connaître de près cet univers, il se lia d’amitié avec un journaliste dont le frère était capitaine au DRS. A la faveur de ses activités journalistiques il pensait trouver la brèche pour se rapprocher des services de renseignements militaires »3.

      Pour ceux qui doutaient encore de cette collusion entre l’ancien pigiste anonyme d’Alger et les services sécuritaires, Mohamed Sifaoui lèvera définitivement le voile en venant témoigner, en juillet 2002, en faveur du Général Khaled Nezzar, ancien ministre de la Défense, et surtout directement responsable du « carnage du 5 octobre 1988 », où plusieurs centaines de jeunes manifestants algérois trouvèrent la mort. Sans état d’âme et en pleine connaissance du passé sanguinaire du Général Nezzar, Mohamed Sifaoui lui apportera un soutien total, lors du procès de Paris, en été 2002 : « Sifaoui a rendu hommage à Nezzar "pour avoir arrêté le processus électoral de 1991 (et ainsi évité) à l’Algérie (de devenir) un autre Afghanistan" »4.

      Ce qui est le plus étonnant au regard de cette collusion évidente et affichée avec les services sécuritaires algériens, c’est que, non seulement Mohamed Sifaoui ne sera jamais freiné dans sa carrière journalistique en France, mais qu’en plus, il jouera très largement sur ce registre du « renseignement » pour se faire une place médiatique dans l’Hexagone. Il sera recruté par l’hebdomadaire Marianne de Jean-François Kahn, écrira quatre ouvrages « grand public », tous fondés sur des enquêtes à forte dose de sensationnalisme dans les milieux islamistes5, et réalisera plusieurs reportages qui seront achetés par des chaînes publiques et privés françaises (M6 et France 2). Dans son dernier livre, L’islam, la République et le monde, Alain Gresh dénonce sur un mode ironique les méthodes douteuses de ce journaliste « très spécial » : « Enfin un journaliste d’investigation ! Enfin une enquête qui nous plonge dans les réseaux du djihad ! Tintin a trouvé un rival en la personne de Mohammed Sifaoui, qui nous entraîne au pays des islamistes, comme son courageux prédécesseur nous faisait découvrir le Congo et ses grands enfants d’habitants [...]. C’est Zone Interdite, l’émission de M6 qui, le 23 mars 2003, diffuse ce reportage, quelques jours après le début de l’attaque des Etats-Unis contre l’Irak. Le journaliste présente ce ‘document inquiétant’, une plongée sans précédent dans l’un de ces réseaux, un voyage avec ces fous d’Allah, qui parlent pour la première fois à visage découvert’. Nous avons pourtant déjà vu ces images dans l’émission Complément d’enquête, sur France 2, le 27 janvier 2003. Mais peut-être que le journaliste de M6 ne considère pas France 2 comme une chaîne de télévision... »6.

      Porté par son nouveau succès à la fois médiatique, mercantile et « littéraire », notre ancien pigiste d’Alger, n’a donc aucun scrupule à proposer, en septembre dernier, un « procès-reportage » sur Tariq Ramadan (l’homme à abattre) à la Télévision suisse romande (TSR). Il pense, sans doute, que logiquement, un média helvétique ne peut qu’être intéressé par un documentaire sensationnel sur l’un de ses plus célèbres concitoyens (T. Ramadan vit, en effet, à Genève et possède la nationalité suisse). Au départ, sa proposition a d’ailleurs été très bien accueillie par les rédacteurs du magazine Temps Présent (TSR) qui reconnaissent leur souhait initial d’acheter le documentaire : « quand nous avons appris qu’une société française s’apprêtait à faire un reportage pour élucider le fait de savoir si Tariq Ramadan est sincère ou non, ça nous a intéressé, puisqu’il s’agissait d’un citoyen helvétique [...]. Il faut aussi préciser que ce n’est pas la première fois que la TSR faisait un sujet sur Tariq ou Hanni Ramadan. A de nombreuses reprises, nous avons abordé ce sujet »7.

      Seul problème pour Mohamed Sifaoui, c’est qu’il n’avait pas prévu qu’en Suisse, il existait encore une certaine déontologie professionnelle dans les médias, et notamment sur les chaînes publiques de télévision. Le magazine Temps Présent a donc émis de sérieux doutes sur la rigueur du traitement du sujet, d’autant plus que son auteur, M. Sifaoui, avait témoigné à charge, quelques semaines auparavant, contre Tariq Ramadan, dans le procès Lyon Mag : « quand nous avons visionné le sujet terminé, nous avons été obligés de constater qu’il s’agissait d’un reportage qui partait d’un a priori partial. Tariq Ramadan était coupable pour l’auteur et il ne le cache pas d’ailleurs. Et, en plus, il n’avait pas obtenu la participation de Tariq Ramadan ce qui aurait pu rééquilibrer le sujet »8, déclare le producteur de l’émission.

      L’affaire aurait pu s’en arrêter là. Mais, voilà que recalé par la « rigueur déontologique » de la télévision suisse, Mohamed Sifaoui s’en est allé proposer son « sujet sensationnel » dans un pays, « la France des libertés et des droits de l’homme », où la déontologie médiatique apparaît désormais comme une valeur en chute libre, ou, pire, comme une « non-valeur ». C’est donc chaleureusement accueilli dans l’émission Envoyé Spécial de Françoise Joly et Guilaine Chenu, que Mohmad Sifaoui, l’ancien pigiste algérois, nous proposera, le 2 décembre, son « procès-reportage » sur Tariq Ramadan.

      France 2, promue « recycleuse médiatique » des rebuts sécuritaires de la télévision suisse ? Ce n’est sûrement pas « la plus noble » des missions que l’on pouvait rêver pour notre service public de télévision.

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      • #33
        Le fait que ça soit un reportage sur la 5E n'est pas gage de qualité ...

        Je n'ai pas dis que Tarik Ramadhan est un saint ... je ne suis pas d'accord avec pas mal de ses opinions ....

        Mais sur ce coup là, je pense que le mot adéquat est: piégé ...

        Je develloperai plus longuement plus tard ... taff oblige

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        • #34
          Je respecte autant malgré tout Ramadan que Sifaoui.
          L'un critique les extrémistes.
          L'autre explique ce qu'est l'Islam. Je peux ne pas etre dac avec lui, mais au moins il est honnête. et pour ca, je le respecte.
          Chacun, dans sa sphère, fait un bon boulot.
          ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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          • #35
            Pour les personnes qui seraient intéressées par l'intinéraire de M Sifaoui, je coneillerais la lecture de l'excellent ouvrage deThomas Deltombe: L'slam imaginaire ou la contruction de l'islamophobie médiatique en France, 1975-2005.

            Editions : La découverte.


            « Péril islamique » ou « menace terroriste », « dérives communautaristes » ou « menaces sur la république » : le « problème de l’islam « est aujourd’hui au cours des débats publics en France.
            Mais quel donc « le problème » ?
            Pourquoi les « musulmans » sont-ils constamment sur la sellette ?
            Et surtout, comment les médias ont-ils progressivement construit une véritable islamophobie ?

            Pour comprendre cette évolution, l’auteur s’est plongé dans les archives de la télévision française : il a passé au crible les journaux télévisés du 20 heures et les principales émissions consacrées à l’islam sur les grandes chaînes nationales depuis trente 30 ans .

            De la Révolution iranienne de 1979 aux suites du 11 septembre 2001 et aux derniers débats sur le « foulard », en passant par « la marche des beurs » de 1983, l’affaire Rushdie de 1989, la « seconde guerre d’Algérie » ou l’institutionnalisation de « l’islam de France », le récit qu’il rapporte de ce voyage au cœur de la machine à façonner l’imaginaire des masses st aussi sidérant que passionnant.

            Décortiquant dérapages et manipulations, rappelant aussi bien certaines déclarations publiques ahurissantes que les tentatives de journalistes pour échapper au nouveau conformisme, l’auteur montre comment le petit écran a progressivement fabriqué un « islam imaginaire « . Une représentation largement fantasmée, sous l’effet conjugué de la course à l’audience et d’une idéologie pernicieuse de stigmatisation de « l’autre « musulman.

            Il montre, document à l’appui de quelle manière le paysage audiovisuel français a été progressivement investi par toute des hordes de pseudospécialistes de l’islam et de la culture musulmane.

            Des penseurs, des philosophes, des romanciers et même « monsieur tout le monde » se découvrent des talents cachés d’islamologues et viennent nous asséner, en tant que grands spécialistes devant l’Eternel, des contre vérités puisées au fond de leur inculture et de leur grande ignorance de l’islam et des sociétés arabo-musulmanes.

            D’amalgames en raccourcis tendancieux, de confusions savamment entretenues en approximations hasardeuses, les démiurges de tous poils et de tous bords vont ainsi développer dans l’imaginaire des masses, peu enclines à l’effort intellectuel personnel, des attitudes et des peurs irraisonnées.

            Le musulman devient « l’autre » différent, inaccessible, envahisseur menaçant notre civilisation et ses fondements, tête de pont de pays étrangers qui se tiennent tapis à nos frontières.


            M. Sifaoui s'insrit bien volontairement dans cette logique de diabolisation l'autre- musulman.
            Dernière modification par adhfel, 12 septembre 2006, 13h09.

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            • #36
              l'émission de la 5e dont je parlais est arrêt sur images,
              le face à face qui n'a pas eu lieu.

              Far-solitaire : ce reportage est passé sur Envoyé Spécial, c'est pas de déontologie que manque cette émission.
              Que France 2 et TSR aient des choix éditoriaux n'implique pas la mauvaise qualité du reportage, chacune suit l'actu du pays.

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              • #37
                ..............
                Dernière modification par bauréal, 06 décembre 2006, 13h32.

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                • #38
                  M. Sifaoui s'insrit bien volontairement dans cette logique de diabolisation l'autre- musulman.
                  Ca, c'est toi qui le dis...
                  Maintenant, faut démontrer.
                  Sinon, ca ne vaudra pas plus qu'un sou noir.

                  Comment un musulman peut diaboliser les musulmans ?
                  Sifaoui est un Algérien, un musulman, de parents musulmans.

                  Il pourfend les extremistes et c'est tout à son honneur.
                  Tout Algérien d'ailleurs devrait le faire, après l'hécatombe algérienne, apres tout ce que les extremistes ont fait infliger à l'Algérie.
                  ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

                  Commentaire


                  • #39
                    Est ce bien nouveau que quelqu'un se pretende musulman pour "justifier" sa critique de la religion ?

                    Commentaire


                    • #40
                      ..............
                      Dernière modification par bauréal, 06 décembre 2006, 13h32.

                      Commentaire


                      • #41
                        Est ce bien nouveau que quelqu'un se pretende musulman pour "justifier" sa critique de la religion ?
                        Se prétende?
                        Qui es-tu donc pour décider qui est musulman, qui ne l'est pas et qui ne fait que le prétendre?

                        Merci, Touti, tu viens par cette réflexion donner un bon exemple du peu d'intelligence de vos critiques.
                        ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

                        Commentaire


                        • #42
                          Est-ce vraiment inconcevable d'e^tre musulman et ne pas renoncer à son esprit critique?
                          Est ce vraiment concevable de croire en Dieu, de craindre Dieu, mais de critiquer Sa Parole ?
                          J'en connais plus d'un qui se dit musulman, dans le seul but de justifier leur intolerence ... des laches ...

                          Commentaire


                          • #43
                            ..............
                            Dernière modification par bauréal, 06 décembre 2006, 13h32.

                            Commentaire


                            • #44
                              bauréal

                              Etre musulman et faire preuve d'esprit critique, je crois que c'est cela que cache le vocable de traître.

                              p.s. : c'est vrai que sa coupe, avec le cheveu grisonnant, ça le fait.

                              Commentaire


                              • #45
                                Se prétende?
                                Decidement Bachi, tu me cours après ...

                                Qui es-tu donc pour décider qui est musulman, qui ne l'est pas et qui ne fait que le prétendre?
                                Je n'ai fais que contrer ton argument qui consiste à justifier le fait qu'il insulte les musulmans par le fait qu'il le soit ...
                                Or, au même titre que je ne sais pas s'il l'est réellement, tu ne le sais pas non plus ...
                                Des personnes qui se disent musulmanes (alors qu'elles le sont pas ... elles sont font passées pour ...) pour pouvoir en tirer profit, j'en connais ... alors pourquoi pas lui?

                                Tu arguments ne tiens pas c'est tout ...


                                Merci, Touti, tu viens par cette réflexion donner un bon exemple du peu d'intelligence de vos critiques.
                                Encore un jugement à deux balles ... commence par respecter l'opinion des autres (à l'occurence la mienne), on en reparle après ok ?
                                Quand à l'intelligence de mes critiques, regarde les tiennes ... tu te sens obliger de réagir en essayant de monter sur un tabourer pour te mettre dans le rôle du sage ... et de t'offrir le luxe d'emettre un jugement ... reste sur terre ... ça reste une discution sur Sifaoui ... pas sur moi

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