desole je voulais mettre ca dans bouillon de culture et je me suis finallemet ravisé ce soi disant penseur n a rien a faire dans cette section:
un extrait d un article de politis sur "le penseur des temps modernes"
Avec ces « réflexions sur l’antisémitisme qui vient », le philosophe témoigne de son propre enfermement.
Comment vaincre une hantise ? Comment se détourner d’une obsession ? En nous livrant ses « réflexions sur l’antisémitisme qui vient », Alain Finkielkraut nous en dit plus sur son propre tourment que sur la société qu’il croit observer. Alain Finkielkraut vit en 2003 dans une France de pogroms. Paris aujourd’hui, c’est Berlin 1938. Des hordes de jeunes Arabes, soutenus par des intellectuels rongés par le remords colonial, embrasent les synagogues et lynchent des juifs coiffés de kippas. « Il faut du courage, dit-il, pour porter une kippa dans ces lieux féroces qu’on appelle cités sensibles et dans le métro parisien [...]. L’enseignement de la Shoah se révèle impossible [...]. » « Les juifs ont peur », s’écrie-t-il finalement. « La France a peur », lançait autrefois un présentateur du journal télévisé au soir d’un infanticide.
POLITIS
J'attend vos réactions
un extrait d un article de politis sur "le penseur des temps modernes"
Avec ces « réflexions sur l’antisémitisme qui vient », le philosophe témoigne de son propre enfermement.
Comment vaincre une hantise ? Comment se détourner d’une obsession ? En nous livrant ses « réflexions sur l’antisémitisme qui vient », Alain Finkielkraut nous en dit plus sur son propre tourment que sur la société qu’il croit observer. Alain Finkielkraut vit en 2003 dans une France de pogroms. Paris aujourd’hui, c’est Berlin 1938. Des hordes de jeunes Arabes, soutenus par des intellectuels rongés par le remords colonial, embrasent les synagogues et lynchent des juifs coiffés de kippas. « Il faut du courage, dit-il, pour porter une kippa dans ces lieux féroces qu’on appelle cités sensibles et dans le métro parisien [...]. L’enseignement de la Shoah se révèle impossible [...]. » « Les juifs ont peur », s’écrie-t-il finalement. « La France a peur », lançait autrefois un présentateur du journal télévisé au soir d’un infanticide.
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