Le ministre des Affaires religieuses algérien, Bouabdallah Ghlamallah, a déclaré que son ministère a demandé officiellement des autorités publiques "d’arrêter définitivement l’activité de certains prédicateurs, du fait de leur tentative de s’attaquer à la cohésion de la nation". "Les mosquées ont été totalement affranchies du courant salafiste", a-t-il dit.
Ghlamallah a déclaré au journal algérien el-Khabar, que ses services "ont exclu des candidats à l’Imamat, du fait de leur penchant pour le courant salafiste". Il a récusé que son ministère ait puni un imam pour ces raisons, ajoutant que "les imams se sont totalement conformés aux instructions du ministère, et se sont appuyés sur le référentiel religieux algérien, qui est uniquement le courant malékite".
Interrogé sur les mesures prises par le ministère pour arrêter l’élan salafiste en Algérie, le ministre a répondu : "nous avons libéré les mosquées définitivement du courant salafiste. Mais, nous ne sommes pas responsables de ce qui se passe en dehors des mosquées, cela relève des prérogatives d’autres parties". Il a indiqué que "la nation est actuellement menacée non seulement par le salafisme mais aussi par d’autres courants dont la propagation chiite".
Le ministre algérien avait mis l’accent dans son discours de clôture d’un colloque national sur le référentiel religieux et son rôle dans l’immunisation de la société, que "le courant malékite et rien d’autre est le référentiel religieux dans notre pays, et nous n’acceptons jamais que l’unité de ce référentiel soit touchée". "Nous acceptons d’étudier tous les courants, mais nous sommes malékites", a-t-il martelé.
source: gnet
Ghlamallah a déclaré au journal algérien el-Khabar, que ses services "ont exclu des candidats à l’Imamat, du fait de leur penchant pour le courant salafiste". Il a récusé que son ministère ait puni un imam pour ces raisons, ajoutant que "les imams se sont totalement conformés aux instructions du ministère, et se sont appuyés sur le référentiel religieux algérien, qui est uniquement le courant malékite".
Interrogé sur les mesures prises par le ministère pour arrêter l’élan salafiste en Algérie, le ministre a répondu : "nous avons libéré les mosquées définitivement du courant salafiste. Mais, nous ne sommes pas responsables de ce qui se passe en dehors des mosquées, cela relève des prérogatives d’autres parties". Il a indiqué que "la nation est actuellement menacée non seulement par le salafisme mais aussi par d’autres courants dont la propagation chiite".
Le ministre algérien avait mis l’accent dans son discours de clôture d’un colloque national sur le référentiel religieux et son rôle dans l’immunisation de la société, que "le courant malékite et rien d’autre est le référentiel religieux dans notre pays, et nous n’acceptons jamais que l’unité de ce référentiel soit touchée". "Nous acceptons d’étudier tous les courants, mais nous sommes malékites", a-t-il martelé.
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