L’arche de Noé, une légende que l’on raconte aux enfants et qui fait sourire les grands. Un mythe fondateur de l’humanité. Et pourtant à la maison-Blanche on prend le mythe au sérieux. Depuis 1970 la CIA a ouvert un dossier : « Anomalie Ararat » situé sur une montagne en Turquie.
Le mont Ararat pour les mystiques c’est la montagne sacrée par excellence : elle est supposée receler les traces de l’Arche de Noé. Pour ceux qui ne croient pas en Dieu, les 5135 mètres couronnés de neige du massif volcanique, entre la Turquie et l’Arménie et l’Iran, inspire le plus grand respect. À cause de l’histoire qui s’est déroulée a son pied.
« Si l’on découvrait une fois l’arche de Noé sur le Mont Ararat, ce serait à coup sûr la plus grande découverte archéologique de tous les temps ; et ce seul fait justifie la poursuite des recherches ». Ainsi s’exprimait, il y a quelques années, le Dr Gilbert Grosvener, de la rédaction du National Geographic Magazine de Washington.
Très haut sur cette montagne de Turquie Orientale, visible en certaines saisons sous la glace et la neige, repose un objet fait de la main de l’homme plus ancien que l’Histoire et qui ressemble à un navire. En est-ce bien un ? A 5000 mètres d’altitude un objet mystérieux a été photographié à partir de satellites et mesuré par des radars. Des échantillons de son bois datés au carbone 14 remonteraient à la préhistoire, à une époque contemporaine du déluge.
Peut-il vraiment s’agir de l’arche de Noé comme le prétend la légende ? Considérant qu’il n’il a pas de fumé sans feu, Edouard Cortès part camera au poing pour réaliser une enquête. Chose étrange il y a quelques années sa grand-mère lui confiait qu’elle possédait un morceau du prétendu Arche de Noé rapporté par un explorateur 50 ans plutôt. (Fernand Navarra)
Documents historiques dans une main pour le récit du déluge, caméra dans l’autre, il compte soulever pas à pas le mystère du mont Ararat. Partant de Paris en voiture à l’été 2006, dans un premier temps, Edouard Cortès va collecter un tas d’information auprès du peuple kurde, arménien, azéri, iranien qui vivent au pied du mont. Dans une seconde partie d’expédition, accompagné de Sylvain Tesson et de Thomas Goisque il va gravir la montagne sacrée et atteindre son glacier pour différentes recherche.
Dans cette quête, dans cette énigme, le but importe peu. Le chemin à réaliser pour découvrir l’histoire et les peuples de cette montagne sacrée seront la priorité. Une manière d’aller à la source de l’humanité dans l’un de ces plus beaux mythes.
DATE D’EXPEDITION : Août et Septembre 2006 seule saison ou l’ascension et les recherches ne seront pas gênés par la neige.
PAYS d’ENQUETES ET RECHERCHES : Turquie, Géorgie, Arménie
Le mont Ararat pour les mystiques c’est la montagne sacrée par excellence : elle est supposée receler les traces de l’Arche de Noé. Pour ceux qui ne croient pas en Dieu, les 5135 mètres couronnés de neige du massif volcanique, entre la Turquie et l’Arménie et l’Iran, inspire le plus grand respect. À cause de l’histoire qui s’est déroulée a son pied.
« Si l’on découvrait une fois l’arche de Noé sur le Mont Ararat, ce serait à coup sûr la plus grande découverte archéologique de tous les temps ; et ce seul fait justifie la poursuite des recherches ». Ainsi s’exprimait, il y a quelques années, le Dr Gilbert Grosvener, de la rédaction du National Geographic Magazine de Washington.
Très haut sur cette montagne de Turquie Orientale, visible en certaines saisons sous la glace et la neige, repose un objet fait de la main de l’homme plus ancien que l’Histoire et qui ressemble à un navire. En est-ce bien un ? A 5000 mètres d’altitude un objet mystérieux a été photographié à partir de satellites et mesuré par des radars. Des échantillons de son bois datés au carbone 14 remonteraient à la préhistoire, à une époque contemporaine du déluge.
Peut-il vraiment s’agir de l’arche de Noé comme le prétend la légende ? Considérant qu’il n’il a pas de fumé sans feu, Edouard Cortès part camera au poing pour réaliser une enquête. Chose étrange il y a quelques années sa grand-mère lui confiait qu’elle possédait un morceau du prétendu Arche de Noé rapporté par un explorateur 50 ans plutôt. (Fernand Navarra)
Documents historiques dans une main pour le récit du déluge, caméra dans l’autre, il compte soulever pas à pas le mystère du mont Ararat. Partant de Paris en voiture à l’été 2006, dans un premier temps, Edouard Cortès va collecter un tas d’information auprès du peuple kurde, arménien, azéri, iranien qui vivent au pied du mont. Dans une seconde partie d’expédition, accompagné de Sylvain Tesson et de Thomas Goisque il va gravir la montagne sacrée et atteindre son glacier pour différentes recherche.
Dans cette quête, dans cette énigme, le but importe peu. Le chemin à réaliser pour découvrir l’histoire et les peuples de cette montagne sacrée seront la priorité. Une manière d’aller à la source de l’humanité dans l’un de ces plus beaux mythes.
DATE D’EXPEDITION : Août et Septembre 2006 seule saison ou l’ascension et les recherches ne seront pas gênés par la neige.
PAYS d’ENQUETES ET RECHERCHES : Turquie, Géorgie, Arménie
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