Après une première journée des épreuves du baccalauréat plus ou moins calme, un grand nombre de candidats de la filière sciences sont sortis en pleurs hier, de l’épreuve de mathématiques, évoquant un sujet long et ardu. Ils devront, néanmoins, plancher sur les épreuves du bac encore jusqu’à jeudi prochain avant de pouvoir enfin souffler.
Aux alentours du lycée Delacroix à Alger-Centre, régnait une atmosphère tendue hier. Les candidats au bac filière sciences, aux environs de 11 heures 30 minutes, avaient pratiquement tous quitté les salles d’examen. Discutant en petits groupes, les jeunes lycéens affichaient une grande préoccupation. Des candidates quittaient même les lieux en pleurant à chaudes larmes. Et pour cause, la plupart expliqueront que l’épreuve de mathématiques a été particulièrement ardue. «C’est terrible, nous ne nous attendions pas à cela. Le sujet a été non seulement difficile mais aussi très long. Nous comptions cartonner en mathématiques pour pouvoir travailler tranquillement en sciences et en physique», confie consternée la jeune Imène Serrai, accompagnée de son amie Soumia qui abonde dans le même sens.
D’autres candidats dans le même état de découragement ont cependant affirmé qu’ils tenteront de compenser au maximum le sujet de mathématiques dans d’autres épreuves. Après la première journée des épreuves du baccalauréat et une épreuve de langue arabe avec un sujet plutôt abordable, les candidats ont vite déchanté en prenant connaissance du sujet de mathématiques. Des candidates se sont même évanouies à la lecture du sujet, témoignent leurs camarades. L’après-midi, les candidats ont composé en langue anglaise. Pour leur part, les élèves de la filière lettres ont aussi planché sur l’épreuve de mathématiques. Epreuve qu’ils considèrent, toutefois, comme à moindre coefficient par rapport aux matières essentielles avec des sujets adaptés à la filière lettres et philosophie.
Pour sa part, le ministre de l’Education Abdellatif Baba Ahmed qui visitait des centres d’examens à Alger a affirmé hier que des représentants de son secteur ont été dépêchés dans l’ensemble des wilayas pour superviser le déroulement des épreuves. Le ministre, intervenant hier sur les ondes de la Chaîne III, a refusé de se prononcer sur un éventuel taux de réussite au baccalauréat tout en disant s’attendre à de bons résultats. Le ministre a aussi annoncé que son secteur fera appel aux délibérations, et ce, pour ne pas pénaliser les candidats ayant eu une moyenne proche de 10.
F.-Zohra B. - Alger Le Soir.
Aux alentours du lycée Delacroix à Alger-Centre, régnait une atmosphère tendue hier. Les candidats au bac filière sciences, aux environs de 11 heures 30 minutes, avaient pratiquement tous quitté les salles d’examen. Discutant en petits groupes, les jeunes lycéens affichaient une grande préoccupation. Des candidates quittaient même les lieux en pleurant à chaudes larmes. Et pour cause, la plupart expliqueront que l’épreuve de mathématiques a été particulièrement ardue. «C’est terrible, nous ne nous attendions pas à cela. Le sujet a été non seulement difficile mais aussi très long. Nous comptions cartonner en mathématiques pour pouvoir travailler tranquillement en sciences et en physique», confie consternée la jeune Imène Serrai, accompagnée de son amie Soumia qui abonde dans le même sens.
D’autres candidats dans le même état de découragement ont cependant affirmé qu’ils tenteront de compenser au maximum le sujet de mathématiques dans d’autres épreuves. Après la première journée des épreuves du baccalauréat et une épreuve de langue arabe avec un sujet plutôt abordable, les candidats ont vite déchanté en prenant connaissance du sujet de mathématiques. Des candidates se sont même évanouies à la lecture du sujet, témoignent leurs camarades. L’après-midi, les candidats ont composé en langue anglaise. Pour leur part, les élèves de la filière lettres ont aussi planché sur l’épreuve de mathématiques. Epreuve qu’ils considèrent, toutefois, comme à moindre coefficient par rapport aux matières essentielles avec des sujets adaptés à la filière lettres et philosophie.
Pour sa part, le ministre de l’Education Abdellatif Baba Ahmed qui visitait des centres d’examens à Alger a affirmé hier que des représentants de son secteur ont été dépêchés dans l’ensemble des wilayas pour superviser le déroulement des épreuves. Le ministre, intervenant hier sur les ondes de la Chaîne III, a refusé de se prononcer sur un éventuel taux de réussite au baccalauréat tout en disant s’attendre à de bons résultats. Le ministre a aussi annoncé que son secteur fera appel aux délibérations, et ce, pour ne pas pénaliser les candidats ayant eu une moyenne proche de 10.
F.-Zohra B. - Alger Le Soir.
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