Il a vécu quinze ans dans 1,56 m2
Un quinquagénaire a passé ses quinze dernières années dans un logement de moins de 2 mètres carrés, dans la capitale française. La Fondation Abbé Pierre s'est occupée du cas.
«C'est ça ou la rue», a expliqué Dominique sur les ondes de «RTL», jeudi. Cet intérimaire français a vécu durant quinze ans dans moins de 2 mètres carrés, à Paris. «On ne vit pas, on survit.» Ce quinquagénaire payait pourtant un loyer de 330 euros (quelque 410 francs) pour son très modeste 1,56 mètre carré. Une surface plus petite encore qu'une «place de parking», précise le commentateur radio.
La Fondation Abbé Pierre a découvert le cas après avoir été contactée par le locataire, sur les conseils de proches. Elle parle de «triste record» et déplore que «tout se loue à des prix extrêmement chers» dans la capitale.
Ce local est désormais fermé par arrêté préfectoral. Le locataire a été placé dans un autre lieu plus adapté, en attendant une décision de justice qui obligerait son bailleur à le reloger. Et Dominique se prend à rêver sur les ondes de «RTL»: «Un studio, ce serait le paradis.»
20 minutes
Un quinquagénaire a passé ses quinze dernières années dans un logement de moins de 2 mètres carrés, dans la capitale française. La Fondation Abbé Pierre s'est occupée du cas.
«C'est ça ou la rue», a expliqué Dominique sur les ondes de «RTL», jeudi. Cet intérimaire français a vécu durant quinze ans dans moins de 2 mètres carrés, à Paris. «On ne vit pas, on survit.» Ce quinquagénaire payait pourtant un loyer de 330 euros (quelque 410 francs) pour son très modeste 1,56 mètre carré. Une surface plus petite encore qu'une «place de parking», précise le commentateur radio.
La Fondation Abbé Pierre a découvert le cas après avoir été contactée par le locataire, sur les conseils de proches. Elle parle de «triste record» et déplore que «tout se loue à des prix extrêmement chers» dans la capitale.
Ce local est désormais fermé par arrêté préfectoral. Le locataire a été placé dans un autre lieu plus adapté, en attendant une décision de justice qui obligerait son bailleur à le reloger. Et Dominique se prend à rêver sur les ondes de «RTL»: «Un studio, ce serait le paradis.»
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