Un homme s'est échappé mercredi d'une prison bruxelloise en prenant la place de son compagnon de cellule qui devait être libéré ce jour-là.
Habillé des vêtements de son "collègue", il est sorti sans être inquiété par la grande porte.
Pour s'échapper de prison, il n'a pas scié les barreaux de sa cellule, ni escaladé l'enceinte de la "forteresse" lors de la balade matinale. Il a encore moins fait appel à un complice pilotant un hélicoptère. Non, pour s'évader il est passé par l'entrée principale de la prison. Tout simplement.
Un détenu s'est "fait la malle" mercredi d'une prison bruxellois en prenant la place de son compagnon de cellule qui devait être libéré ce jour-là. C'est ce qu'a révélé le quotidien populaire La Dernière Heure. L'homme, incarcéré dans l'attente de son procès pour une série d'attaques à main armée, a emprunté les vêtements de son "collègue" et s'est présenté au contrôle de sécurité de la prison pour être libéré. Il est sorti sans être inquiété.
La ruse a été découverte une demi-heure plus tard quand le vrai détenu devant être libéré s'est présenté à son tour. Le contrôle des empreintes digitales normalement obligatoire, depuis une évasion similaire il y a deux ans dans une autre prison belge, n'a apparemment pas été effectué, a précisé la chaîne de télévision RTL-TVI, précisant qu'une enquête administrative avait été ouverte.
- TF1.fr
Habillé des vêtements de son "collègue", il est sorti sans être inquiété par la grande porte.
Pour s'échapper de prison, il n'a pas scié les barreaux de sa cellule, ni escaladé l'enceinte de la "forteresse" lors de la balade matinale. Il a encore moins fait appel à un complice pilotant un hélicoptère. Non, pour s'évader il est passé par l'entrée principale de la prison. Tout simplement.
Un détenu s'est "fait la malle" mercredi d'une prison bruxellois en prenant la place de son compagnon de cellule qui devait être libéré ce jour-là. C'est ce qu'a révélé le quotidien populaire La Dernière Heure. L'homme, incarcéré dans l'attente de son procès pour une série d'attaques à main armée, a emprunté les vêtements de son "collègue" et s'est présenté au contrôle de sécurité de la prison pour être libéré. Il est sorti sans être inquiété.
La ruse a été découverte une demi-heure plus tard quand le vrai détenu devant être libéré s'est présenté à son tour. Le contrôle des empreintes digitales normalement obligatoire, depuis une évasion similaire il y a deux ans dans une autre prison belge, n'a apparemment pas été effectué, a précisé la chaîne de télévision RTL-TVI, précisant qu'une enquête administrative avait été ouverte.
- TF1.fr
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