Urgent:La garde d'un enfant pere algerien,mere europeenne

[kareem]

je suis tres fatigue, et la nuit je dore une heure et apres je me reveille et j'ariive pas a ne pas penser a cella, resultat je ne dore plus, j'ai sommeil mais je n'arrive pas a dormir!
alors une seule idee me viend a la tete: je pars labas, ils refusent de m'ouvrir, je reste en bas, ils appelent la police, ils m'embarque et me mettent en prison, je m'en foue, et si ils essayent de m'envoyer par force, je resiste. je me connais, je peux le faire des annees et rester en prison , mais ca veut dire que je vais perdre des annees de ma vie, quoique je crois que je les ai deja perdu.

[mikabi]

spacialle

pourquoi tu me crie dessus?? tes méchante

J'ai fait référence a 3 ans ,parce que reste 3 ans avec la personne après le mariage est une preuve que le mariage n'est pas gris

pour les preuves ,j'ai parler des mail parce-que c'est ainssi que ma sœur a réussi a piéger son ex (il a kidnapper son fils)

A+

[momo.05]

ca va pas etre simple............courage a toi!

[bel-court]

Les lois en Algérie ont beaucoup changé, et tu n'as pratiquement pas de chances selon les lois algériennes pour obtenir la garde de ton enfant, et ce n'est pas pour te décourager mais c'est la réalité. Il ne faut surtout pas penser à l'irréparable (lui enlever l'enfant de force et le cacher par exemple) car tu seras condamné par les deux justices. Juste un petit exemple, un gars de l'est du pays qui s'est installé en Scandinavie et ayant préféré donner une éducation à "l'algérienne" à son fils en l'envoyant pour quelques années en Algérie, sa femme n'a pas pu supporter la situation, le couple s'est séparé. Le gars pensant que son fils qui possède la nationalité algérienne avait le droit de retser en Algérie. Son ex- femme est venue le récupérer, elle avait été arrêtée par la gendarmerie et aprés avoir expliqué sa situation, on lui avait demandé de rentrer chez elle et faire une demande officielle à travers le MAE pour récupérer son fils le plus normalement du monde. La dame avait suivi les conseils, la demande est arrivée, le fils a été caché chez sa tante à des centaines de km de chez la famille de son père. La daïra lui avait établi en quelques heures un passeport de 24h si je me souviens bien pour rentrer chez lui. Le papa était condamné par les deux justices algérienne (en sursis) et en scandinavie il avait purgé une peine de 2 ans- Donc il vaut mieux pas penser à cette option.
Si tu aimes ton fils, vas-y vivre prés de lui en Europe, de toute manière quand il grandira il quittera tout seul le pays si tu crois le convaincre qu'il restera en Algérie...
J'ai pas lu tous les messages pour connaitre ton histoire, mais juste évite l'irréparable, et choisis la meilleure solution possible pour ton avenir et le sien.

[bel-court]

J'ai oublié d'ajouter que cette histoire est arrivée en 2001, donc l'enfant a déjà 18 ans aujourd'hui, et il voit quotidiennement son père depuis l'âge de 14 ans malgrés tout ce qui passé, il n'y aucun enfant qui peut nier son père et donc pendant quelques temps peut être elle t'interdira de s'approcher de lui mais c'est le fils qui finira par demander son père tout seul. Il vaut mieux aller vivre prés de lui, la situation changera un jour ou l'autre.

[BeeHive]

alors une seule idee me viend a la tete: je pars labas, ils refusent de m'ouvrir, je reste en bas, ils appelent la police, ils m'embarque et me mettent en prison, je m'en foue, et si ils essayent de m'envoyer par force, je resiste. je me connais, je peux le faire des annees et rester en prison

Raisonnement de gamin,

Partant du fait que l'enfant est entre de bonne main et que le juge donnera certainement la garde à la mère, il te restes deux choix:

- Partir et s’installer prés de chez elle et trouver du travaille, tu pourras ainsi voir régulièrement ton enfant.

- Rester en Algérie et trouver le moyen de lui rendre visite dans un premier temps et le prendre en Algérie pendant le vacances quand la confiance reviendra.

Ce n'est le top mais cela fait parti des risques des mariages mixtes. Et surtout ne pas s'obstiner a voir dans la garde l'enfant la solution de tout tes problèmes et tout tes soucis.

Bon courage

[Galaad]

Les lois en Algérie ont beaucoup changé, et tu n'as pratiquement pas de chances selon les lois algériennes pour obtenir la garde de ton enfant, et ce n'est pas pour te décourager mais c'est la réalité.

Ils les ont exfiltrés en Algérie sans le consentement de leurs épouses

Ces pères qui enlèvent leurs enfants

En violation de la loi britannique, des compatriotes ont tenté le diable et ont emmené leurs enfants vivre en Algérie à l’insu de leurs épouses. Sans être répandue, cette pratique est favorisée par la législation algérienne qui attribue au père le statut de tuteur légal de sa descendance.
Kader, appelons-le ainsi, est déterminé à emmener sa petite fille vivre en Algérie à l’insu de son ex-femme. “Je ne peux pas accepter qu’elle habite sous le même toit qu’un étranger”, se défend-il. L’étranger en question est l’homme avec lequel son ancienne épouse s’est remariée. “En Algérie, ma fille sera entre de bonnes mains. Ma mère s’occupera d’elle et lui inculquera de bonnes valeurs”, explique Kader. Lui-même veut rentrer définitivement au pays. L’échec de son mariage a raffermi son désir de plier bagage. Rien ne le retient, même pas un emploi stable. En emmenant sa fille sans l’assentiment de son ex-femme, il sait qu’il viole la loi britannique. Au Royaume-Uni, le kidnapping parental est sévèrement sanctionné. Mais Kader n’en a cure, persuadé qu’une fois dans son pays, il ne risque pas d’être inquiété par la justice. “J’ai entendu parler de deux ou trois gars. Ils ont fait la même chose et n’ont eu aucun problème avec la justice”, dit-il confiant. Selon la législation algérienne, le délit d’enlèvement s’applique uniquement aux individus qui ne sont pas les parents des enfants. En leur qualité de tuteurs légaux de leur progéniture, les pères sont exonérés de poursuites.
Reunite, une ONG britannique spécialisée dans les rapts parentaux, met en évidence l’exception légale algérienne pour exhorter les femmes qui ont des enfants avec des ressortissants de ce pays à être vigilantes.
Sur le site internet de cette organisation, figurent des avis de recherche d’enfants qui ont été exfiltrés par leurs pères aux quatre coins du monde. L’une des photos montre Nassima, une petite fille blonde, que son père Mustapha a emmené vivre en Algérie sans que sa femme, Dawn, soit informée de ses intentions. Les faits remontent au mois d’avril 2006. Dans ses déclarations à la presse, Dawn affirme avoir conduit son mari et sa fille de 7 ans à l’aéroport de Belfast, en Irlande du Nord, où ils devaient prendre l’avion pour aller en vacances en Algérie. Peu avant la fin des congés, Mustapha téléphone à son épouse pour lui apprendre sa décision de s’établir définitivement avec Nassima à Alger. Aussitôt, les médias s’emparent de l’affaire. Les époux s’affrontent dans une guerre de mots sans merci. Dawn accuse Mustapha d’avoir kidnappé leur enfant et le menace de poursuites légales. Celui-ci réplique en affirmant que la loi algérienne l’autorise à garder Nassima et qu’il entend bien l’élever dans la foi islamique. Désespérée, Dawn remue ciel et terre pour retrouver sa fille et la rapatrier au Royaume-Uni. Elle se rend en Algérie, recrute un détective privé, alerte le Foreign Office et porte l’affaire devant les tribunaux. Appelée à son secours, Reunite a les mains liées. Denise Carter, sa présidente, évoque deux entraves légales qui empêchent le retour des enfants comme Nassima, d’Algérie. En vertu de la législation locale, les mineurs ont besoin de l’autorisation de leur père pour quitter le territoire. Sur un autre plan, notre pays n’est pas signataire de la Convention de La Haye. Ce traité oblige les États à rapatrier des enfants exfiltrés par l’un de leurs parents illicitement.
Dans une mise en garde insérée dans le contenu de son Travel Warning (Conseils aux voyageurs), concernant l’Algérie, le Foreign Office informe ses ressortissants qu’à l’instar d’autres pays musulmans, l’Algérie dispose d’un système légal largement inspiré de la charia et qui accorde au père de larges prérogatives en matière de tutelle sur ses enfants. En cas d’enlèvement, le ministère britannique des Affaires étrangères dit n’avoir aucun moyen de rapatrier les enfants. Son aide consiste seulement à aviser Interpol dans l’objectif de localiser les victimes des rapts. Il se propose également de servir d’intermédiaire entre les tribunaux britanniques et les juridictions locales. Mais dans la plupart des cas, cette mission est vouée à l’échec compte tenu de l’invalidité intra-muros des décisions de justice émanant d’un magistrat étranger, surtout en matière de garde légale. En 2008, l’ambassade britannique à Alger est intervenue dans une seule affaire de dispute conjugale impliquant un enfant. Selon des sources consulaires algériennes à Londres, les enlèvements parentaux existent mais ne sont pas nombreux.
Dans les années 1980, la fréquence de ces pratiques avaient conduit les États algériens et français à signer une convention sur la protection des enfants issus de couples mixtes séparés. En vertu de cet accord, les gouvernements des deux pays s’engagent à rechercher les victimes des enlèvements et à fournir des informations sur leur situation sociale et surtout à faciliter toute solution amiable pouvant assurer la visite ou la remise de l’enfant. En l’absence de deals de cette nature, la diplomatie prend quelquefois la relève.
Par exemple, il a fallu que le Premier Ministre Gordon Brown intervienne auprès du colonel Khadafi pour qu’une petite fille, Nadia, soit rapatriée en Grande-Bretagne. Son retour a eu lieu le 15 février dernier après trois ans d’absence. Son père l’avait conduite dans sa famille, à Tripoli, après avoir divorcé de son épouse Sarah. Au bout du désespoir, celle-ci abandonne son travail et vend sa maison pour financer son voyage et son séjour en Libye. Sur place, elle sollicite l’arbitrage des tribunaux et obtient finalement la garde de Nadia. Son retour à Manchester, sa ville natale, avec sa fille dans les bras, a redonné espoir à de nombreuses mamans qui désespèrent de revoir leurs petits.
Des statistiques récentes montrent qu’environ 500 enfants ont été emmenés illégalement à l’étranger par l’un de leurs parents. Selon Reunite, le nombre des enlèvements a progressé de 90% depuis 2005. Les pays les plus impliqués sont le Pakistan (30% des cas), les États-Unis, l’Irlande, l’Espagne, l’Australie, la France, l’Égypte. l’Algérie vient en bas de la liste. À titre préventif, notre ministère des Affaires étrangères a instruit les consulats, il y a quelques années, de la nécessité d’obtenir l’accord du conjoint étranger avant de délivrer un passeport algérien à un enfant issu d’un mariage mixte. Face aux protestations de nos compatriotes, la mesure a été partiellement supprimée.
Aujourd’hui, les services consulaires prennent ce genre de dispositions uniquement dans le cas où le couple est séparé. Dans pareille situation, les fonctionnaires réclament une copie de la décision de divorce pour s’assurer que la maman ne s’oppose pas à la sortie de son enfant du territoire en compagnie de son père. Mais souvent, les ruptures à l’amiable ne comportent pas ce genre de restrictions. Ce qui conduit les plus téméraires à tenter le diable. “Il y a des Algériens qui ont emmené leurs enfants en Algérie et sont revenus comme harragas”, assure Salah, responsable d’Algerian Relief, une organisation caritative. Même si l’exception ne constitue pas la règle, il relate le drame d’un compatriote dont la femme, une Anglaise s’est évanouie dans la nature avec leurs enfants de deux et trois ans. “Malgré ses recherches, il n’a pas réussi à les retrouver. Il a peur de ne jamais les revoir”, confie Salah.
Liberté

[ahmed67]

Les lois en Algérie ont beaucoup changé, et tu n'as pratiquement pas de chances selon les lois algériennes pour obtenir la garde de ton enfant, et ce n'est pas pour te décourager mais c'est la réalité.

sa contastre avec cela

En violation de la loi britannique, des compatriotes ont tenté le diable et ont emmené leurs enfants vivre en Algérie à l’insu de leurs épouses. Sans être répandue, cette pratique est favorisée par la législation algérienne qui attribue au père le statut de tuteur légal de sa descendance.
Kader, appelons-le ainsi, est déterminé à emmener sa petite fille vivre en Algérie à l’insu de son ex-femme. “Je ne peux pas accepter qu’elle habite sous le même toit qu’un étranger”, se défend-il. L’étranger en question est l’homme avec lequel son ancienne épouse s’est remariée. “En Algérie, ma fille sera entre de bonnes mains. Ma mère s’occupera d’elle et lui inculquera de bonnes valeurs”, explique Kader. Lui-même veut rentrer définitivement au pays. L’échec de son mariage a raffermi son désir de plier bagage. Rien ne le retient, même pas un emploi stable. En emmenant sa fille sans l’assentiment de son ex-femme, il sait qu’il viole la loi britannique. Au Royaume-Uni, le kidnapping parental est sévèrement sanctionné. Mais Kader n’en a cure, persuadé qu’une fois dans son pays, il ne risque pas d’être inquiété par la justice. “J’ai entendu parler de deux ou trois gars. Ils ont fait la même chose et n’ont eu aucun problème avec la justice”, dit-il confiant. Selon la législation algérienne, le délit d’enlèvement s’applique uniquement aux individus qui ne sont pas les parents des enfants. En leur qualité de tuteurs légaux de leur progéniture, les pères sont exonérés de poursuites.
Reunite, une ONG britannique spécialisée dans les rapts parentaux, met en évidence l’exception légale algérienne pour exhorter les femmes qui ont des enfants avec des ressortissants de ce pays à être vigilantes.
Sur le site internet de cette organisation, figurent des avis de recherche d’enfants qui ont été exfiltrés par leurs pères aux quatre coins du monde. L’une des photos montre Nassima, une petite fille blonde, que son père Mustapha a emmené vivre en Algérie sans que sa femme, Dawn, soit informée de ses intentions. Les faits remontent au mois d’avril 2006. Dans ses déclarations à la presse, Dawn affirme avoir conduit son mari et sa fille de 7 ans à l’aéroport de Belfast, en Irlande du Nord, où ils devaient prendre l’avion pour aller en vacances en Algérie. Peu avant la fin des congés, Mustapha téléphone à son épouse pour lui apprendre sa décision de s’établir définitivement avec Nassima à Alger. Aussitôt, les médias s’emparent de l’affaire. Les époux s’affrontent dans une guerre de mots sans merci. Dawn accuse Mustapha d’avoir kidnappé leur enfant et le menace de poursuites légales. Celui-ci réplique en affirmant que la loi algérienne l’autorise à garder Nassima et qu’il entend bien l’élever dans la foi islamique. Désespérée, Dawn remue ciel et terre pour retrouver sa fille et la rapatrier au Royaume-Uni. Elle se rend en Algérie, recrute un détective privé, alerte le Foreign Office et porte l’affaire devant les tribunaux. Appelée à son secours, Reunite a les mains liées. Denise Carter, sa présidente, évoque deux entraves légales qui empêchent le retour des enfants comme Nassima, d’Algérie. En vertu de la législation locale, les mineurs ont besoin de l’autorisation de leur père pour quitter le territoire. Sur un autre plan, notre pays n’est pas signataire de la Convention de La Haye. Ce traité oblige les États à rapatrier des enfants exfiltrés par l’un de leurs parents illicitement.
Dans une mise en garde insérée dans le contenu de son Travel Warning (Conseils aux voyageurs), concernant l’Algérie, le Foreign Office informe ses ressortissants qu’à l’instar d’autres pays musulmans, l’Algérie dispose d’un système légal largement inspiré de la charia et qui accorde au père de larges prérogatives en matière de tutelle sur ses enfants. En cas d’enlèvement, le ministère britannique des Affaires étrangères dit n’avoir aucun moyen de rapatrier les enfants. Son aide consiste seulement à aviser Interpol dans l’objectif de localiser les victimes des rapts. Il se propose également de servir d’intermédiaire entre les tribunaux britanniques et les juridictions locales. Mais dans la plupart des cas, cette mission est vouée à l’échec compte tenu de l’invalidité intra-muros des décisions de justice émanant d’un magistrat étranger, surtout en matière de garde légale. En 2008, l’ambassade britannique à Alger est intervenue dans une seule affaire de dispute conjugale impliquant un enfant. Selon des sources consulaires algériennes à Londres, les enlèvements parentaux existent mais ne sont pas nombreux.
Dans les années 1980, la fréquence de ces pratiques avaient conduit les États algériens et français à signer une convention sur la protection des enfants issus de couples mixtes séparés. En vertu de cet accord, les gouvernements des deux pays s’engagent à rechercher les victimes des enlèvements et à fournir des informations sur leur situation sociale et surtout à faciliter toute solution amiable pouvant assurer la visite ou la remise de l’enfant. En l’absence de deals de cette nature, la diplomatie prend quelquefois la relève.
Par exemple, il a fallu que le Premier Ministre Gordon Brown intervienne auprès du colonel Khadafi pour qu’une petite fille, Nadia, soit rapatriée en Grande-Bretagne. Son retour a eu lieu le 15 février dernier après trois ans d’absence. Son père l’avait conduite dans sa famille, à Tripoli, après avoir divorcé de son épouse Sarah. Au bout du désespoir, celle-ci abandonne son travail et vend sa maison pour financer son voyage et son séjour en Libye. Sur place, elle sollicite l’arbitrage des tribunaux et obtient finalement la garde de Nadia. Son retour à Manchester, sa ville natale, avec sa fille dans les bras, a redonné espoir à de nombreuses mamans qui désespèrent de revoir leurs petits.
Des statistiques récentes montrent qu’environ 500 enfants ont été emmenés illégalement à l’étranger par l’un de leurs parents. Selon Reunite, le nombre des enlèvements a progressé de 90% depuis 2005. Les pays les plus impliqués sont le Pakistan (30% des cas), les États-Unis, l’Irlande, l’Espagne, l’Australie, la France, l’Égypte. l’Algérie vient en bas de la liste. À titre préventif, notre ministère des Affaires étrangères a instruit les consulats, il y a quelques années, de la nécessité d’obtenir l’accord du conjoint étranger avant de délivrer un passeport algérien à un enfant issu d’un mariage mixte. Face aux protestations de nos compatriotes, la mesure a été partiellement supprimée.
Aujourd’hui, les services consulaires prennent ce genre de dispositions uniquement dans le cas où le couple est séparé. Dans pareille situation, les fonctionnaires réclament une copie de la décision de divorce pour s’assurer que la maman ne s’oppose pas à la sortie de son enfant du territoire en compagnie de son père. Mais souvent, les ruptures à l’amiable ne comportent pas ce genre de restrictions. Ce qui conduit les plus téméraires à tenter le diable. “Il y a des Algériens qui ont emmené leurs enfants en Algérie et sont revenus comme harragas”, assure Salah, responsable d’Algerian Relief, une organisation caritative. Même si l’exception ne constitue pas la règle, il relate le drame d’un compatriote dont la femme, une Anglaise s’est évanouie dans la nature avec leurs enfants de deux et trois ans. “Malgré ses recherches, il n’a pas réussi à les retrouver. Il a peur de ne jamais les revoir”, confie Salah.
Liberté

je te déconseille d'essayer l’enlèvement ,voit plutôt un avocat qui te conseillera sur les choses a faire et surtout sur celle a ne pas faire
il ni as aucune raison a ce que tu n'obtienne pas la garde partager de ton enfant

[absente]

quel déchirement ! j'en doute pas que tu ne puisses plus dormir !
Rebi y koun m3ak, ça doit etre terrible !

d'apres ce que je lis, cette femme ne t'aime plus voila, donc n'essayes pas de la conquérir sinon elle va plus s’éloigner... avec ton fils.
maintenant, tu ne lui parleras que de votre garçon et la garde, j'en doute tres fort que pour le moment qu'elle veuille te l'envoyer en Algerie car elle a joué un mauvais jeu mal honnete pour faire sortir le gamin du pays et elle sait tres bien qu'en Algerie surtout, les enfants ne sortent pas si je pere ne veut pas ( et c est aussi valable pour ailleurs mais on a moins peur !).

si elle ne veut pas coopérer a l'amiable, directement tu engages un avocat, un tres bon, et tu commence les procédures pour que tu puisses voir ton enfant !

j'ai deja vu une femme qui a fait cela a son mari, ici, pourtant dans la meme ville, elle faisait tout pour qu'il ne les voit pas, elle l'a meme fait rentrer en prison a pluisieurs reprise car il n avait plus d'argent pour lui envoyer ( récession ), elle l'a obligé a vendre sa maison a lui et a pris la moitié des biens, et tout cela pourquoi ? parcequ'il etait trop bête pour croire qu'elle etait honnête quand elle lui a dit qu'ils régleraient cela a l'amiable sans avocats pour ne pas avoir a trop dépenser alors qu'elle est rentrée avec un !.

Bon courage, je suis outrée d'entendre un parent qui empêche l'enfant de voir l'autre parent !
Rebi y feredj'ha nchallah, courage a toi, mais surtout ne restes pas a rien faire !.

[absente]

C'est triste de lire tout ça, y a des parents qui ne se rendent pas compte qu'ils bousillent l'avenir de leurs gosses...

j'ai fait une grosse erreur et je suis entrain de la payer

Ne ressasse pas le passé, ça ne sert à rien, et puis ça ne justifie absolument pas son comportement, c'est quand même très étrange. Enfin, j'imagine qu'il nous manque des éléments pr comprendre.

Bref, kareem, je pense que tout a été dit, essaie de faire bouger les choses en respectant le droit pour montrer ta bonne volonté de régler correctement les choses, et tu aviseras ensuite pour l'avenir de ton couple. Ça s'arrangera peut-être, qui sait?...
Bon courage, le chemin sera long et difficile sans doute...

[kareem]

tout le monde me dit de ne plus lui parler du passe et de ne plus lui parler de "nous", car pour elle y'a plus de nous, mais je vous assure que nous avons eu de tres bon moment ensemble, oui c'est vrai, une fois en algerie elle s'est senti un peu delaissee et seule. Mais si je ne lui parle pas des bons moments, de quoi vais je lui parler alors? divorce? et c'est bien de ce qu'elle veut parler elle. elle veut vraiment tourner la page et faire comme si ca n'a jamais existe! et pourtant je me suis excuser et promis que les choses ont change durant son absence, speciallement cote travail car je travaille moin maintenant.

[absente]

Kareem,

Je vais faire l avocat du diable : ta femme si elle est partie c est qu elle est malheureuse.
Expatriée par amour, elle s est probablement sentie isolée dans un pays qui n est pas le sien, un mari qui travaille bcp, et d aprés ce que tu decris une certaine solitude.

Donc retournée dans son pays, elle retrouve une certaine communauté, sa famille, ses amis, elle s exteriorise sur son malheur....elle remet votre vie de famille en question.
Elle est encore jeune, elle peut trouver un job, rester auprés de ceux qu elle aime avec votre fils....pas besoin de retourner en Algerie pour t expliquer tout cela car elle s imagine que tu l empecheras de repartir avec votre fils.

et pourtant je me suis excuser et promis que les choses ont change durant son absence, speciallement cote travail car je travaille moin maintenant

S excuser une fois qu elles est partie, cela ne sert á rien....
On ne connait pas les details de votre histoire, mais il y a du avoir des signes que cela n allait pas trop bien ect....

Ta femme tu ne la recupereras pas en l appelant par tel ou par skype.

Et puis si elle ne veut plus, en insistant tu risques aussi de perdre votre fils.

Mets l energie qu il te reste dans les procédures, et si tu le peux essayes dans quelques temps de te rendre lá ou ils se trouvent.
Tente de la rencontrer dans un endroit neutre, pour discuter et clarifier la situation au sujet de votre fils.

[l'imprevisible]

Azul kareem

Plus sérieusement, tu peux aller en France, prends ton billet et rends toi auprès d'elle. Tu as droit à une explication bien en face. Et si ça ne donne rien fais valoir tes droits en tant que père.

Arrêtes de perdre ton temps sur le net et de ruminer dans ton coin, ça ne sert absolument à RIEN. Rapproches toi d'un avocat en Algérie pour savoir à quoi t'en tenir, certains sont agréés en France également (un parent à moi est agréé dans les deux pays). Une fois que tu sais à quoi t'en tenir. Là tu pars en France, tu tentes d'avoir une explication avec Madame et si ça ne donne rien hé bien là fais valoir tes droits de père.



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[kareem]

Hellas: Oui t'as raison quand tu dis qu'elle etait malheureuse en algerie, mais pourquoi est ce juste ma faute? j'etais absent du pays pendant plusieurs annees, et quand on a debarque en algerie, il fallait bien que quelqu'un nourisse la famille, et je devais re demarrais de zero, et les premieres annees n'etaient^pas facile biensure, ce qui explique que je n'etais pas aussi souvent avec qu'elle qu'en europe. de l'autre cote, je lui ai dit plusieurs fois de sortir et rencontrer des etrangeres qui comme elle viuvait en algerie, elle les connaissent via internet, mais a chaque fois elle refusait. alors dites moi svp, pourquoi c'est moi qui doit payer les pots casses?

En plus, je lui ai dit que je suis pret de tout laisser tomber ici en algerie et aller vivre labas, car je l'aime et je veux l'unite de ma famille, mais elle refuse. donc je comprends qu'il y'a une gerence exterieur a cella.


l'imprevisible: je ne suis pas vraiment chaud pour l'avocat, premierement ils vous promettent la lune, apres ils vous disent qu'est ce que voulez, c'est comme ca, biensure apres avoir empocher leur argent (une fortune vu qu'ils doivent se depalcer labas plusieurs fois et ce n'est pas en hostel qu'ils vont sejourner mais en 5*), et je n'ai pas tout cette argent qui va se chiffrer en 300 millions de centimes et +

[l'imprevisible]

kareem

Ce n'est pas une question d'être chaud ou froid, juste être au fait de ce qui t'attend exactement. Je te parle de conseils juridiques et non de le prendre comme ton avocat.

Le reste, je suis convaincue que le mieux pour toi est de te rendre en France, une fois face à face qui sait elle reprendra confiance et acceptera plus facilement de discuter avec toi.

Dans tous les cas de figures, bon courage à toi


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