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Un élu français tabassé en Tunisie par des salafistes.

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  • #16
    mais je sais que c'est faux.
    Preuves ?

    Je peux te dire que les salafistes wahabites sont vraiment violents, surtout quand on ne rejoint pas leur monopole d'idées sur notre religion. Ils tuent femmes et enfants comme en Algérie, alors que le Prophète (sws) nous a dit de ne toucher ni aux femmes, ni aux enfants dans le combat.
    Ya Allah, al Aziz, al Hakim. a7fadh jazair wa al maghareb al kabir

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    • #17
      Ou est alors la démocratie et la tolérance ????

      Il parait que les Tunisiens ont fait la révolution en vue d'instaurer la démocratie dans leur pays !!!!??????????
      Quelle est cette démocratie qui ne tolère pas l'autre ????:22:
      Le Sage

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      • #18
        La wahhabisation de la Tunisie et le néo-impérialisme américain
        Paraît-il, les Tunisiens ont fait une révolution ? C'est le plus grand « gag » de l'histoire universelle. En revanche, si révolution il y a, elle a été l'œuvre des morts et des blessés anonymes recensés du 17/12/10 au 14/01/11 que les Tunisiens ont sali en votant pour les vrais ennemis du pays: les islamistes et les opportunistes revenus tous de leur exil doré en Occident sauf la girouette de Ben Jaâfar.
        La révolution la vraie est à venir.

        Elle doit être menée sans merci et sans pitié contre tous ces mercenaires à la solde des wahhabites et leur protecteur américain dont le seul but est d'instaurer une suzeraineté wahabbite tunisienne. Nul ne peut contester cette présence trop visible des Américains en Tunisie depuis le 14/10/10. Obama a été le premier chef d'État étranger à avoir adressé ses vœux empoisonnés aux Tunisiens pour le succès de leur révolution. En réalité, c'est une auto congratulation qu'il s'est adressée à lui-même se réjouissant ainsi de la réussite de la première partie de son plan.

        Pourquoi a-t-il délibérément choisi l'option d'Ennahdha plutôt que celle des modernistes tunisiens ?
        La démocratie n'a jamais été la meilleure alliée économique et politique des Américains. Les exemples de l'Argentine, du Brésil, de l'Afrique du Sud ou du Chili en sont les meilleures preuves.
        L'option Ennahdha offre les meilleures garanties que toute autre option pour des raisons évidentes, géographiques et idéologiques. Ennahdha est une des pièces maîtresses dans la mouvance terroriste islamiste. Ses capacités de nuisance en Algérie ne sont pas négligeables.

        N'avait-elle pas elle-même contribué à la rédaction de la plateforme de la terreur en Algérie celle qui a relié entre eux les membres de la nébuleuse terroriste algérienne. Elle est certes un pion insignifiant sur l'échiquier américain, mais ô combien important par rapport à ses affinités idéologiques avec les islamistes algériens. R. Ghannouchi veut même apporter dans sa corbeille de nouveau fiancée avec Washington, la base militaire de Bizerte.
        Offrir un bail emphytéotique à ses protecteurs anglo-saxons en signe de reconnaissance. Les Américains n'ont pas besoin de sa dot, ils ont les deux pieds implantés en Tunisie. La 6ème flotte et leur couverture radar. Son geste est un geste de soumission, d'assujettissement et d'excès de zèle sans plus, car sans l'habile et pernicieux montage du scrutin électoral par les Américains, il n'aura pas bénéficié des privilèges de Chef d'État en attendant qu'il le devienne de plein droit.

        En toute évidence, c'est grâce à cette mascarade électorale et l'instrumentalisation grotesque de l'I.S.I.E. que les Américains ont ouvert la voie royale à leur protégée tunisienne, donnant à son intronisation des allures toutes démocratiques. Un joli coup de poker menteur réussi par les Américains sous le regard assoupi des Tunisiens. Au lieu de faire débarquer leur G.I.S comme dans le passé, ils ont appliqué la médecine douce sans effets secondaires pour eux. Peu importe le prix du sang que l'on fait payer à l'adversaire tant qu'il ne s'agit pas de sang américain. Leur stratégie, qui pour l'instant s'avère payante, ne coûte pas un cent aux contribuables américains.

        Elle s'appuie, comme dans un jeu d'échecs, sur les tours wahhabites, que sont Doha et Jeddah, qui financent et contrôlent la mise en musique de la nouvelle Realpolitik américaine. Lesquelles pourraient devenir à terme les souverains aux nouveaux souverains des pays des rivages sud de la Méditerranée. Ni la France, ni aucun autre pays membre de l'O.T.A.N., ne contrariera la politique américaine à cause des retombées commerciales et sécuritaires qu'ils pourraient en tirer.
        En créant une nouvelle zone d'influence sous la couleur wahhabite, les Américains et leurs alliés peuvent espérer trouver des nouveaux relais de croissance pour leurs économies, tout en jugulant l'appétit du nouveau bloc émergeant du B.R.I.C.S. qui est en train de les éjecter de l'Afrique Subsaharienne.

        Nonobstant le péril iranien. Plus de 80% des populations arabisées seraient pro iraniennes. Les enjeux sont multiples et vitaux pour les Américains qui ont compris, à travers leurs échecs cuisants passés, que pour ne pas susciter le rejet et s'épargner l'effusion de sang des leurs, il vaut mieux utiliser les relais des forces locales les plus actives, les moins patriotes, les plus félonnes, les plus veules et les plus vénales.
        Qui mieux qu'Ennahdha, le F.I.S. et les frères musulmans, pro américains et Anglo-saxons notoires, pour les aider à la concrétisation de ce vieux rêve qui les obsède depuis les années 50 ? En effet, la doctrine américaine de politique étrangère d'Holstein qui sert de toile de fond à la nouvelle Realpolitik américaine repose sur un simple paradigme : pour conquérir le monde, il faut conquérir tout le bassin méditerranéen.

        En mettant la main sans coup férir sur la Libye, la Tunisie, l'Égypte, ils laissent le soin aux populations locales de s'entretuer entre elles et de favoriser ainsi leurs desseins hégémoniques et impériaux. Les Américains avancent leurs pions islamistes aux dépens des aspirations démocratiques des peuples frustrés des libertés fondamentales depuis toujours.
        Le partenariat américain n'est jamais du gagnant-gagnant. On ne gagne pas entre égaux, on gagne quand le partenaire est dépendant pour ses besoins les plus élémentaires. Autrement dit, seul le maintien de ces peuples dans leur giron peut leur offrir des opportunités de gains importants comme au temps des républiques bananières en Amérique latine.

        Le sous-développement des uns est un facteur de croissance et de richesse pour les autres. Outre les enjeux énergétiques au regard des richesses minières, gazières et pétrolières dont regorgent le sous-sol des dits pays. Mais pas seulement, il y a aussi l'impérieuse nécessité de création du fameux cordon sanitaire qui les protégera des terroristes islamistes eux et leurs alliés occidentaux. Pour les Américains, leurs frontières extérieures sont partout dans le monde. Mais comme le foyer terroriste est géographiquement localisé, pour l'essentiel dans les pays arabisés, autant le traiter à ses racines.

        Quoi qu'il en soit, les islamistes n'ont jamais été des ennemis invétérés des Américains. Ils sont leurs fidèles affidés. Financés par les wahhabites qui doivent leur survie aux Américains, les islamistes tunisiens ou égyptiens sont là pour appliquer la feuille de route qui leur est fixée. La perte de la souveraineté nationale au nom de la religion qui devient facteur de ralliement entre les peuples hétérogènes que rien ne rapproche pourtant. Ni la langue, ni la religion.
        Les Américains, comme l'ont fait les Britanniques avec les Saouds et les Frères musulmans, croient que la wahhabisation des sociétés arabisées constitue la seule condition sine qua no quant à la réalisation de leurs desseins géostratégiques, géosécuritaires et géoéconomiques. Il revient aux Tunisiens de démontrer que la volonté d'un peuple est la meilleure arme pour avoir raison de tous ces calculs sordides et impériaux des Américains.
        Publié par Salem Ben Ammar le 07 août 2012
        « En politique, on ne flétrit le mensonge d’hier que pour flatter le mensonge d’aujourd’hui » (Jean Rostand).

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        • #19
          Envoyé par Fouad
          Il parait que les Tunisiens ont fait la révolution en vue d'instaurer la démocratie dans leur pays !!!!??????????
          Quelle est cette démocratie qui ne tolère pas l'autre ????:22:
          La démocratie ne signifie pas la liberté. Les Arabes n'ont toujours pas compris cela. Ils pensent que si ils instaurent la démocratie ils vont subitement avoir la liberté. Et ben non.. c'est même l'inverse en général. La démocratie restreint les libertés surtout celle des minorités ou des parties faibles de la société car le gouvernement agit légitiment au nom de la majorité. Bye bye la liberté de porter ce que l'on veut, de se comporter comme on le veut, de boire ou de manger ce que l'on veut quand on le veut, d'écouter ce que l'on veut, d'adorer ce que l'on veut, etc..

          ∑ (1/i²) = π²/6
          i=1

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          • #20
            Qu'est-ce qui est faux?
            Ya akhi, les videos sont bel et bien presente sur internet si tu veux te documenter sur la violence "illegitime" des islamistes en Tunisie!
            Rien n'est plus facile que de se laisser pousser une barbe et porter un qamis... J'ai en tête un membre des mukhabarât syriennes qui arborait la barbe, montait sur le minbar, chauffait les foules à aller au jihâd en Irak, je crois que sa kunya était abu l Qa`qa`... Vous ne savez pas à quel point c'est facile de manipuler...
            Ceux qui ont mécru, n'ont-ils pas vu que les cieux et la terre formaient une masse compacte? Ensuite Nous les avons séparés et fait de l'eau toute chose vivante. Ne croiront-ils donc pas? S21 V30

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            • #21
              Illustration:

              Ennuyés par la perspective de la destruction des juteux réseaux d’approvisionnement de l’Irak, qu’ils avaient discrètement mis en place pour fournir à ce pays sous embargo les denrées, les produits et les matériels civils et militaires prohibés par les sanctions, et conscients du danger qui ne manquerait pas de menacer leur pouvoir au cas où ce projet aboutirait chez leurs voisins, les responsables syriens se sont jurés, plusieurs mois avant que la guerre ne débute au printemps 2003, de faire tout ce qui était en leur pouvoir pour mettre en échec ce projet. Pour cela, il leur fallait embourber les Américains en Irak, les empêtrer dans des combats lourds en pertes humaines et en faire la cible d’attentats terroristes aux conséquences psychologiques et politiques difficilement supportables.
              Les responsables sécuritaires, avec à leur tête Bachar Al Assad - puisque, de fait si ce n’est en droit, tous les services syriens de renseignements dépendent directement du chef de l’Etat, ne prennent leurs ordres que du chef de l’Etat et ne rendent compte qu’au seul Bachar Al Assad, qui décide éventuellement des autres hauts destinataires des rapports qu’ils lui adressent personnellement -, ont donc entrepris de recruter de jeunes volontaires arabes, syriens et autres, désireux de faire le jihad pour des motifs religieux contre les forces américains. Il leur fallait pour cela les entraîner au maniement des armes et les acheminer, sans que les services syriens apparaissent de quelque manière que ce soit, jusqu’à l’intérieur du territoire irakien où ils auraient alors la possibilité de faire ce qu’ils avaient envie.
              Ils se sont mis en quête de la personne idoine. Elle devait disposer d’un certain nombre de qualités comme l’audace et l’enthousiasme, avoir un charisme suffisant pour séduire les futurs jihadistes, avoir une bonne connaissance du Coran et être personnellement acquise à l’idée du jihad. Ils l’ont trouvée, en épluchant les registres des Syriens ayant déjà eu affaire avec des enquêteurs de plusieurs services, en la personne de Mahmoud Koul Aghassi, dit Abou Al Qaaqaa. Il avait les qualités souhaitées. Il était éloquent. Il était diplômé de la Faculté des Sciences religieuses de l’Université de Damas. Né en 1973 dans la région de Azzaz, dans le nord de la Syrie, il avait fait son service militaire dans le 33ème régiment, une unité de blindés. Il avait été interrogé par les moukhabarat lors de son retour du Pakistan, où il s’était rendu pour rencontrer des éléments des Taliban. Il avait été interpellé au Caire, d’où les Egyptiens l’avaient renvoyé dans son pays. Détail intéressant, il était kurde. Or, comme on l’a constaté à plusieurs reprises et dans plus d’un domaine - qu’il s’agisse du rôle actuel du cheykh Mohammed Saïd Ramadan Al Bouti, ou, en 2005, après l’assassinat de Rafiq Al Hariri, de celui du faux témoin Housam Taher Housam -, les responsables syriens aiment se dissimuler derrière les agissements et opinions de représentants d’autres communautés que la communauté alaouite.


              [IMG]http://syrie.*****************/files/2012/06/Abou-al-Qaaqaa.jpg[/IMG]

              Abou Al Qaaqaa (première manière)



              Un accord a été trouvé avec l’intéressé. Les moukhabarat lui permettraient de recruter des jihadistes en lui confiant la prédication dans une mosquée, la mosquée Al Tawwabin à Alep. Le ministère des Awqafs n’a pas été consulté, afin d’être prémuni contre toute mise en cause. Un officier de liaison lui a été désigné : le général Mohammed Bakkour, chef de la branche des services de renseignements de l’armée de l’air à Alep. La sécurité militaire a aussi établi un contact avec le cheykh, de manière à pouvoir le soumettre à une surveillance croisée et à permettre aux moukhabarat de recouper constamment les informations le concernant.
              Abou Al Qaaqaa a entamé ses activités de propagandiste du jihad avec un succès foudroyant. Enregistrés, ses prônes enflammés étaient immédiatement mis en vente sur le marché en Syrie et à l'étranger par le biais d'une maison d'édition dédiée, Ghouraba' al Cham. Il fascinait et soulevait son auditoire au point que, sa réputation ayant dépassé les frontières de la Syrie, de jeunes volontaires ont commencé à se bousculer aux portes de sa mosquée, en provenance de plusieurs pays arabes. Ils voulaient partir par son intermédiaire vers l’Irak. Il les enregistrait. Il les conduisait dans des camps d’entraînement. Il leur fournissait des armes. Il leur assurait les minibus qui les emportaient vers la frontière irakienne. Son épouse, Noujoud Kour, était associée à ses activités dans les milieux féminins.
              Les Alépins ont contemplé ce phénomène inimaginable chez eux avec un mélange de réprobation et de stupeur. Interrogé par l’un d’entre eux qui avait assisté à un prône du cheykh, Mohammed Saïd Bakhitan - il n’était alors que le chef du Bureau de la Sécurité Nationale du Parti Baath dont il est aujourd’hui le secrétaire régional adjoint - s’est contenté de répondre que, selon le général Izzedin Ismaïl, directeur des moukhabarat de l’Air, qu’il avait questionné à l’occasion d’une réunion de ce Bureau, "le président était parfaitement informé de cette affaire"… Il n’y avait donc plus rien à dire.
              L’opération s’est évidemment éventée et les médias du monde entier ont commencé à s’intéresser de trop près au cheykh Abou Al Qaaqaa. Le régime syrien a eu peur que les Américains tentent d’enlever l’intéressé ou le lui réclament. En avril 2006, on a donc profité du départ à la retraite du général Izzeddin Ismaïl et de son remplacement par le chef du service de sécurité de la Garde Républicaine, le général Abdel-Fattah Qoudsiyeh, pour lui mettre un terme. Le cheykh a été convoqué. On lui a fait savoir que son travail était terminé et son contrat dénoncé".


              [IMG]http://syrie.*****************/files/2012/06/Abou-al-Qaaqaa-recycl%C3%A9.jpg[/IMG]Abou Al Qaaqaa (deuxième manière)





              Il a aussitôt quitté Alep pour Damas. Il a taillé sa longue barbe. Il a jeté aux orties sa longue qamis blanche pour revêtir un élégant costume trois pièces avec cravate. On l’a vu dans les restaurants à la mode et jusque dans des discothèques. On l'a vu fumer le narguileh en poussant la chansonnette en cercle privé. On a vu également ce chantre du jihad lors de colloques organisés sur le thème du "dialogue entre les religions", sous le patronage du cheykh Mohammed Habach, député à l’Assemblée du Peuple et débiteur du régime. "Pour donner le change sur sa disparition du paysage alépin, les services ont fait courir le bruit que, suite à la plainte d’un fidèle de la mosquée dans laquelle il exerçait, il avait été "suspendu" par le ministère des Awqafs. Enfin, pour faire disparaitre l’ensemble des personnes ayant participé à cette opération, son officier traitant, Mohammed Bakkour, a été invité à prendre une retraite anticipée. En remerciement pour sa bonne gestion du dossier, il a été "élu" par ses pairs des services à un poste de député lors des législatives d’avril 2007".
              Pour en finir avec le cheykh Abou Al Qaaqaa, il n’est pas inutile d’indiquer que, dûment recyclé et ayant donné toutes les garanties sur la sincérité de sa conversion à un islam modéré, il a été renvoyé dans sa bonne ville d’Alep pour y prendre la direction du principal établissement d’enseignement religieux, l’Institut Al Khasrawiyeh.


              Si l’on en croit un autre article du même site Chaffaf Souria ("Qui a tué le cheykh Abou Al Qaaqaa", du 9 octobre 2007), il était donc redevenu absolument halal, licite et donc fréquentable. Parallèlement, il a été nommé, tout à fait officiellement cette fois-ci, prédicateur de la mosquée Al Iman. Elle lui a malheureusement été fatale. Il a été assassiné sur ses marches, le 28 septembre 2007, au sortir de la grande prière. Les autorités syriennes n’ont pas eu besoin d’une enquête pour découvrir, ou plutôt elles n’ont pas eu besoin d’enquêter du tout pour annoncer, le jour même, que le cheykh avait été tué par l’un des nombreux jeunes qui estimaient avoir été "trompés" par Abou Al Qaaqaa, dont l’instrumentalisation par les moukhabarat syriens avait été découverte.
              Ceux qui ont mécru, n'ont-ils pas vu que les cieux et la terre formaient une masse compacte? Ensuite Nous les avons séparés et fait de l'eau toute chose vivante. Ne croiront-ils donc pas? S21 V30

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              • #22
                Rien n'est plus facile que de se laisser pousser une barbe et porter un qamis... J'ai en tête un membre des mukhabarât syriennes qui arborait la barbe, montait sur le minbar, chauffait les foules à aller au jihâd en Irak, je crois que sa kunya était abu l Qa`qa`... Vous ne savez pas à quel point c'est facile de manipuler...
                Bonjour Mkh,

                J'ai du oublie ce petit detail, merci de me l'avoir rappeler.

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