"The Dictator", film pour cinéphile ou scatophile ?

Sorti hier dans les salles obscures, le dernier film du piètre acteur Sacha Noam Baron Cohen marque le point d'orgue d'une carrière aussi pitoyable qu'indigeste. Se permettant, dans son dernier long-métrage, de jouer sur un sybillin amalgame visant à confondre dictateur et musulman, le racoleur acteur anglais au talent digne d'une diarrhée en temps de gastro se permet d'user de symboles représentatifs de l'identité musulmane (le nom Aladeen, port de la barbe, moustache rasée) pour remplir un compte qui semblait déjà bien garni. En effet, le baron Cohen, issu d'une riche famille londonienne, s'est déjà rempli les poches via d'autres déjections, toujours aussi méprisantes des populations "orientales" comme "Ali G " ou " Börat ".
A défaut de pouvoir se distinguer par des prouesses intellectuelles ou de brillantes études, l'histrion de Londres fait de ses tares psychologiques les raisons de son gagne-pain : pas si con finalement..
Oumma

Sorti hier dans les salles obscures, le dernier film du piètre acteur Sacha Noam Baron Cohen marque le point d'orgue d'une carrière aussi pitoyable qu'indigeste. Se permettant, dans son dernier long-métrage, de jouer sur un sybillin amalgame visant à confondre dictateur et musulman, le racoleur acteur anglais au talent digne d'une diarrhée en temps de gastro se permet d'user de symboles représentatifs de l'identité musulmane (le nom Aladeen, port de la barbe, moustache rasée) pour remplir un compte qui semblait déjà bien garni. En effet, le baron Cohen, issu d'une riche famille londonienne, s'est déjà rempli les poches via d'autres déjections, toujours aussi méprisantes des populations "orientales" comme "Ali G " ou " Börat ".
A défaut de pouvoir se distinguer par des prouesses intellectuelles ou de brillantes études, l'histrion de Londres fait de ses tares psychologiques les raisons de son gagne-pain : pas si con finalement..
Oumma
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