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Le juge est la pour juger, blâmer, harceler et au pire démolir a chaque fois que la personne est confrontée a une partie d’elle-même qu’elle n’aime pas. Le juge condamne sans répit la personne forcement limite, ses défauts, ses manques.
L’amie est la pour nous accepter et accompagner avec complicité. Elle cherche le bien-être de la personne et sa vitalité. Elle est capable de reconnaitre et d’intégrer le caractère inévitablement manquant ou imparfait de la nature humaine.
Parfois, l’amie n’arrive pas a intégrer les manques et les limites, elle déserte et laisse ainsi toute la place au juge qui, lui, tue la vie et condamne la moindre faille.
L’amie rejoint l’être, le juge rejoint le paraître.
L’amie est au cœur de l’être, elle est le compagnon de notre spontanéité et de notre vitalité, et elle se conjugue avec ce qui est proprement nous.
Le juge loge tout prés du paraître, des nos rôles et de nos réputations. Il peut attaquer, chercher a détruire ou mettre a mort mais jamais il parviendra.
L’amie est la pour nous accepter et accompagner avec complicité. Elle cherche le bien-être de la personne et sa vitalité. Elle est capable de reconnaitre et d’intégrer le caractère inévitablement manquant ou imparfait de la nature humaine.
Parfois, l’amie n’arrive pas a intégrer les manques et les limites, elle déserte et laisse ainsi toute la place au juge qui, lui, tue la vie et condamne la moindre faille.
L’amie rejoint l’être, le juge rejoint le paraître.
L’amie est au cœur de l’être, elle est le compagnon de notre spontanéité et de notre vitalité, et elle se conjugue avec ce qui est proprement nous.
Le juge loge tout prés du paraître, des nos rôles et de nos réputations. Il peut attaquer, chercher a détruire ou mettre a mort mais jamais il parviendra.
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