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Pourquoi les Marocains veulent s 'approprier le rai
@ keanu reeves, désolé de te contredire mais le rai n'est pas propre à oran, le rai vient de tout l'ouest algerien (celà ne veut nullement dire que l'est marocain est exclu) oran en est la plus résonante du à son statut de capitale de l'ouest (et oui zahef errif existe partout...)
NB: Perso je trouve qu'il faut être timbré pour croire que le rai est de l'art, surtout se chamailler pour des qacidates vulgaires...he oui qu'on le veuille ou pas le rai est (ou plutôt était) trop vulgaire dans notre
L’origine du mot raï, signifie « opinion », voire « conseil » journaliste Mohamed Balhi
Trouver moi le mot Oran ou j'ai ecris l'Ouest Algerien j'ai du faire allusion a Oran
alors ne te contente pas de lire les derniers post et li celui la
et pour ton info si une fois tu te balade dans l'oranie le mot
RAI veut bien dire conseil ahtini raiek ou rai donne un conseil
Oui la musique rai Et mais ne veut pas dire un cri de detresse du mal vivre des jeunes
el marsem
O sanctuaire redis-moi ce qui s'est passé ici Car c'est bien ici que nous avons vécu des instants merveilleux Ma gazelle et moi Je te tiens un langage gracieux Mais tu restes sourd et muet et ne me réponds pas C'est El Marsam (Le Sanctuaire), chant improvisé dans les années 20 par Cheikh M'hamed dit « Er-Rouge » (le Rouge), barbier de son état et poète à ses heures
ou trouve tu du vulgaire
.................................................. .................................................. . La naissance du raï date du début du siècle clôturant le millénaire qui s’est éteint. Après et pendant la Première Guerre mondiale, la misère s’est installée comme un vide austère. La crise dite de 1929 avait longtemps rodé pour ruiner du monde et vider des greniers. Et les stigmates de la Première Guerre étaient encore vivaces.
Le « Melhoun » (1) était le seul bédouin festif qui animait les soirées et les fêtes auparavant. Il avait subi un frein en années de vaches maigres. En l’absence de l’opulence qui permettait les méchouis et les nuits, où le vin coulait à flots avec cette poésie lyrique (Melhoun) ; l’extinction d’une mode et l’apparition de nouveaux contextes et perspectives historiques est arrivée à son terme. Le « Melhoun » multi-séculaire est devenu obsolète. Les servants, des « rave-parties » qui se tenaient dans les grandes propriétés foncières, ont été les premiers fondateurs du raï. Ces fêtes de nuit regroupaient depuis des décennies les princes des anciennes bourgeoisies berbères, arabes et ottomans, puis rejoints par les colons européens venus depuis 1830 dès la colonisation, avaient un personnel autochtone déshérité. De simples valets aux ventres creux et à l’écoute gavée des rythmes et musique du fabuleux Melhoun. Des noctambules d’origines européennes et autochtones organisaient très souvent de longues soirées, sous forme de beuveries dans les grandes fermes, détenues par des Européens ou des collaborateurs du colonialisme, qui ont été vidées par la crise.
Le « Melhoun » (1) était le seul bédouin festif qui animait les soirées et les fêtes auparavant.
Le melhoun signifie la "parole dialectale chantée". Issu d'un genre poético-musical né dans le Tafilalet au XIIème siècle, il est toujours brillamment perpétué par les orchestres de Meknès et de Marrakech qui interprètent dans une forme proche de la poésie classique l'expression millénaire de la sagesse populaire, des espérances de l'homme et le miroir de sa réalité quotidienne. Le salon de musique qui se tient chaque vendredi soir avec "la régularité du jour qui se lève" chez l’un ou l’autre des mélomanes est l’occasion de renouveler le répertoire de ce patrimoine vivant.
@ matrix
Ma kayane ni balhi ni drabki, tout ce que je peux te dire c'est que tu fais fausse route le rai n'est pas errayi (qui est un mot typiquement arabe, contrairement au rai) qui à lui, sied bien la définition que tu as donné. Maintenant ce n'est pas ta qacidat d'un poete qui va ¨culturisé¨ le rai
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