Les danseuses topless du prestigieux cabaret parisien sont en grève pour la première fois de l'histoire du mythique établissement. Elles dénoncent des salaires indécents.
C'est du jamais vu, révèle la radio française RTL. Pour la première fois dans l'histoire du fameux cabaret parisiens, les danseuses topless du «Crazy Horse» sont en grève. Les spectacles de mardi et de ce soir (mercredi) sont annulés.
Les artistes aux corps sculpturaux dénoncent des «salaires qui ne correspondent pas à la charge de travail demandée». La direction n'a pas souhaité s'exprimer. Les employées qui disent travailler «24 jours par mois», expliquent ne pas parvenir pas à trouver un accord avec la direction. «Cela fait des mois qu'elle refuse ou repousse toute négociation», expliquent-elles sur RTL.
A la quasi-unanimité (moins une voix), les filles du Crazy ont donc voté la grève lundi. Pour la plus grande déception des spectateurs, qui ont toutefois fait contre mauvaise fortune bon cœur, précise RTL. «Ils ont en effet pu voir les sublimes danseuses de près, puisqu'elles se trouvaient sur les Champs-Elysées pour expliquer leur mécontentement!», souligne la radio.
(20 minutes)
C'est du jamais vu, révèle la radio française RTL. Pour la première fois dans l'histoire du fameux cabaret parisiens, les danseuses topless du «Crazy Horse» sont en grève. Les spectacles de mardi et de ce soir (mercredi) sont annulés.
Les artistes aux corps sculpturaux dénoncent des «salaires qui ne correspondent pas à la charge de travail demandée». La direction n'a pas souhaité s'exprimer. Les employées qui disent travailler «24 jours par mois», expliquent ne pas parvenir pas à trouver un accord avec la direction. «Cela fait des mois qu'elle refuse ou repousse toute négociation», expliquent-elles sur RTL.
A la quasi-unanimité (moins une voix), les filles du Crazy ont donc voté la grève lundi. Pour la plus grande déception des spectateurs, qui ont toutefois fait contre mauvaise fortune bon cœur, précise RTL. «Ils ont en effet pu voir les sublimes danseuses de près, puisqu'elles se trouvaient sur les Champs-Elysées pour expliquer leur mécontentement!», souligne la radio.
(20 minutes)
Commentaire