A l’occasion du lancement de son émission « Itinéraires », qui sera diffusée dès samedi prochain sur Direct 8, Valérie Trierweiler, compagne de François Hollande, sort de l’ombre.
Interviewée dans le cadre de la promotion de son nouveau programme, celle qui pourrait devenir la Première dame de France avoue ne pas « se projeter » dans ce rôle. « C’est une manière de rester saine d’esprit ! (…) Je préfère ne pas y songer. Je me préparerais au jour le jour, le moment venu, s’il vient », explique-t-elle dans Le Parisien de ce jour.
« Je suis à ses côtés dans les temps forts »
Pour l’heure, la journaliste est donc la compagne d’un candidat en campagne. Pour remplir ce rôle au mieux, Valérie Trierweiler explique avoir demandé des conseils à Sylviane Agacinski, épouse de Lionel Jospin, qui a représenté le PS lors de la présidentielle de 2002. « Elle m’a dit qu’il y a dix ans elle n’avait pas voulu trop s’immiscer dans les affaires de son mari et elle l’a regretté. Elle m’a conseillé d’être présente pour épauler François », explique Valérie Trierweiler dans le quotidien. Et d’ajouter : « C’est aussi pour cela que je suis à ses côtés dans les temps forts de sa campagne ». Lors du discours d’investiture du candidat à la présidentielle ou pendant son premier grand meeting au Bourget, dimanche dernier, Valérie Trierweiler était effectivement toujours au premier rang. Cependant, « François Hollande est quelqu’un qui écoute, qui m’écoute, mais ce n’est pas quelqu’un d’influençable », tempère celle qui a dû délaisser le journalisme politique.
Revenant sur le concept de sa nouvelle émission culturelle – l’invité est seul dans l’obscurité et la journaliste apparaît sur un écran – Valérie Trierweiler est formelle : aucune question ne sera posée sur la vie privée. « Je ne veux pas franchir avec mes invités les limites que je ne veux pas qu’on franchisse avec moi », confie-t-elle dans Le Parisien. Et d’ajouter : « Que reste-t-il de soi-même si l’on expose tout ? ».
Pour rappel, la journaliste – qui sera l’invitée ce soir du Grand Journal - recevra JoeyStarr pour le premier numéro de son émission.
elle.fr
Interviewée dans le cadre de la promotion de son nouveau programme, celle qui pourrait devenir la Première dame de France avoue ne pas « se projeter » dans ce rôle. « C’est une manière de rester saine d’esprit ! (…) Je préfère ne pas y songer. Je me préparerais au jour le jour, le moment venu, s’il vient », explique-t-elle dans Le Parisien de ce jour.
« Je suis à ses côtés dans les temps forts »
Pour l’heure, la journaliste est donc la compagne d’un candidat en campagne. Pour remplir ce rôle au mieux, Valérie Trierweiler explique avoir demandé des conseils à Sylviane Agacinski, épouse de Lionel Jospin, qui a représenté le PS lors de la présidentielle de 2002. « Elle m’a dit qu’il y a dix ans elle n’avait pas voulu trop s’immiscer dans les affaires de son mari et elle l’a regretté. Elle m’a conseillé d’être présente pour épauler François », explique Valérie Trierweiler dans le quotidien. Et d’ajouter : « C’est aussi pour cela que je suis à ses côtés dans les temps forts de sa campagne ». Lors du discours d’investiture du candidat à la présidentielle ou pendant son premier grand meeting au Bourget, dimanche dernier, Valérie Trierweiler était effectivement toujours au premier rang. Cependant, « François Hollande est quelqu’un qui écoute, qui m’écoute, mais ce n’est pas quelqu’un d’influençable », tempère celle qui a dû délaisser le journalisme politique.
Revenant sur le concept de sa nouvelle émission culturelle – l’invité est seul dans l’obscurité et la journaliste apparaît sur un écran – Valérie Trierweiler est formelle : aucune question ne sera posée sur la vie privée. « Je ne veux pas franchir avec mes invités les limites que je ne veux pas qu’on franchisse avec moi », confie-t-elle dans Le Parisien. Et d’ajouter : « Que reste-t-il de soi-même si l’on expose tout ? ».
Pour rappel, la journaliste – qui sera l’invitée ce soir du Grand Journal - recevra JoeyStarr pour le premier numéro de son émission.
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