Cette voiture, c’est le diable. Masquant ses noirs desseins, le tentateur Mercedes CL repoussait déjà les limites de l’entendement en recevant le badge AMG. Avec l’arrivée du nouveau V8 biturbo sur le CL63 AMG, plus puissant et plus sobre, il est censé confiner à la folie. En guise d’épreuve, la route Napoléon et le début des Alpilles…
Comme par hasard, notre infernale monture a revêtu des atours évocateurs. Noir d’encre pour la robe et habitacle ivoire Designo. L’ambiance est inquiétante, étrangement raffinée. D’emblée, je pense au Rake’s Progress de Stravinsky : signer un pacte avec un inconnu d’allure bourgeoise et inoffensive, on sait ou cela en a mené certains. À la folie, tout simplement.
Quelques indices auraient pourtant du m’avertir : les freins sur-dimensionnés, à peine cachés par les colossales jantes de 20″, ou les ailes flanquées du monogramme V8 biturbo. Ça, c’est nouveau.
Le monumental coupé Mercedes vient de subir son remaniement de mi-carrière. Étape prévisible après quatre ans d’existence, afin de relancer une diffusion confidentielle et conforter sa place de meneur sur ce segment. Pas question de bouleverser les traits de celui qui fait figure de coupé Classe S, simplement de lui adapter les derniers codes esthétiques Mercedes. À savoir, un retour aux angles.
Spécifique aux versions AMG, la calandre devient plus imposante, presque verticale. Les optiques avant, plus acérés, ont gagné cette petite protubérance à la manière du roadster SL. Le fameux motif en biseau, arête centrale qui semble courir du bouclier avant vers l’arrière, a été accentué. Un peu plus ténébreux, le CL…
Pour l’arrière, l’évolution est plus ténue. Le contour des feux ne change pas d’un iota, seul un nouvel agencement de l’éclairage et les feux de recul, encadrant désormais la plaque d’immatriculation sont à relever. Choix étrange d’ailleurs, qui a tendance à alourdir la poupe.
Nous reviendrons plus tard sur les modifications reçues par la gamme CL « classique ». En attendant, un compagnon de fortune m’ouvre la route en CL65 AMG… L’heure est venue de s’occuper de la principale évolution du CL63 AMG : son V8. Levier sur D ( bizarre, le levier sur la colonne de direction sied davantage à une paisible limousine ), les 5,10 mètres étoilés s’ébrouent.
S.P
Comme par hasard, notre infernale monture a revêtu des atours évocateurs. Noir d’encre pour la robe et habitacle ivoire Designo. L’ambiance est inquiétante, étrangement raffinée. D’emblée, je pense au Rake’s Progress de Stravinsky : signer un pacte avec un inconnu d’allure bourgeoise et inoffensive, on sait ou cela en a mené certains. À la folie, tout simplement.
Quelques indices auraient pourtant du m’avertir : les freins sur-dimensionnés, à peine cachés par les colossales jantes de 20″, ou les ailes flanquées du monogramme V8 biturbo. Ça, c’est nouveau.
Le monumental coupé Mercedes vient de subir son remaniement de mi-carrière. Étape prévisible après quatre ans d’existence, afin de relancer une diffusion confidentielle et conforter sa place de meneur sur ce segment. Pas question de bouleverser les traits de celui qui fait figure de coupé Classe S, simplement de lui adapter les derniers codes esthétiques Mercedes. À savoir, un retour aux angles.
Spécifique aux versions AMG, la calandre devient plus imposante, presque verticale. Les optiques avant, plus acérés, ont gagné cette petite protubérance à la manière du roadster SL. Le fameux motif en biseau, arête centrale qui semble courir du bouclier avant vers l’arrière, a été accentué. Un peu plus ténébreux, le CL…
Pour l’arrière, l’évolution est plus ténue. Le contour des feux ne change pas d’un iota, seul un nouvel agencement de l’éclairage et les feux de recul, encadrant désormais la plaque d’immatriculation sont à relever. Choix étrange d’ailleurs, qui a tendance à alourdir la poupe.
Nous reviendrons plus tard sur les modifications reçues par la gamme CL « classique ». En attendant, un compagnon de fortune m’ouvre la route en CL65 AMG… L’heure est venue de s’occuper de la principale évolution du CL63 AMG : son V8. Levier sur D ( bizarre, le levier sur la colonne de direction sied davantage à une paisible limousine ), les 5,10 mètres étoilés s’ébrouent.
S.P
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