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Scandale à Ni P*tes Ni Soumises : Sihem Habchi répond

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  • #16
    @Lenasia

    J'espère que tu ne penses pas au parti politique là ! ... :22:
    "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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    • #17
      PS... Ok, cette discussion est vraiment insupportable.
      Je confirme que l'existence de NPNS a son importance tant que des types riront de leur action.

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      • #18
        @Lenasia

        Bah quoi ? Faut pas se fâcher ! S'il existe un truc NPNS, c'est bien pour qu'il n'y est plus de PS non ?
        "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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        • #19
          La missive anonyme court les boîtes de messagerie des militants NPNS et de leurs partenaires associatifs. Le titre : “Sihem Habchi tue Ni Putes Ni Soumises”.

          Deux pages et demi d’allégations pour dénoncer “conflits d’intérêt et mélange des genres” dans l’association. Où Sihem Habchi est accusée de placer les siens. Deux de ses sœurs siègent au Conseil d’Administration.

          Son compagnon a refait le site de l’association pour la modique somme de 20.000 euros. Où il est reproché à Sihem Habchi de ne se déplacer qu’en taxi sur le compte exclusif de l’association, 072413 chez taxis Bleus : “les factures peuvent atteindre 3.000 euros par mois”.

          Où il est indiqué que Sihem Habchi se ferait rembourser des frais de bouche et de téléphone “scandaleux” sans lien avec ses fonctions : “800 euros parfois pour un seul mois”. Selon le corbeau “Sihem Habchi confond (…) l’association avec son entreprise à elle”.

          ELLE est belle l'assoc de k soc, bandes d'opportunistes incultes

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          • #20
            Je confirme que l'existence de NPNS a son importance tant que des types riront de leur action

            oui on pourra tjrs se marrer d'une assocation de bras cassés ya pas de raisons

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            • #21
              surtout avec 500 000 balles de subventions par an, franchement c'est scandaleux

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              • #22
                Tu ne comprends pas Walis : c'est une chose de critiquer la gestion de l'association et c'en est une autre de critiquer son action, son intérêt.

                Peut-être que c'est moi qui ai mal compris mais les premiers commentaires du topic m'ont laissé pensé qu'on critiquait plus l'association pour ce qu'elle fait que pour sa gestion.
                Si je me suis trompée, tant mieux.

                Maintenant, je dois bosser.

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                • #23
                  Tu ne comprends pas Walis : c'est une chose de critiquer la gestion de l'association et c'en est une autre de critiquer son action, son intérêt.

                  J'ai bien compris je ne critique pas son action, je critique son existence pour 500 000 eur par an c'est juste du profitage d'opportunistes et pour sa stigmatisation des problèmes sociaux autour des familles d'immigrés

                  Commentaire


                  • #24
                    J'ai bien compris je ne critique pas son action, je critique son existence pour 500 000 eur par an c'est juste du profitage d'opportunistes et pour sa stigmatisation des problèmes sociaux autour des familles d'immigrés ...
                    Son action ou sa gestion , c'est kif kif , vous êtes a la maison avec les parents ou avec la femme et les enfants , on tape a la porte , oui c'est qui ? ni putes ni soumises , on est la pour sensibiliser vous faites quoi ? franchement , moi je leur claque la porte , oust , bande de pervers !!!

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                    • #25
                      un point de vue qui résume bien la perversité de ce mouvement

                      « Ni putes, ni soumises ? » : Les effets pervers d’un « féminisme gadget »



                      En France, deux millions de femmes de toutes origines socio-culturelles sont victimes chaque année de violences sexistes.


                      Le mouvement « Ni putes, ni soumises », créé dans le sillage de SOS Racisme et du Parti socialiste, semble devenu aujourd’hui la nouvelle « coqueluche nationale ». Financées à grands coups de subventions publiques, adulées par nos élites politiques et médiatiques, reçues en « grandes pompes » dans la plupart des municipalités de l’Hexagone, les NPNS sont devenues l’expression de notre mauvaise conscience républicaine qui se rachète sur le dos des banlieues et des populations précaires une virginité féministe et laïque, évacuant ainsi le véritable problème des discriminations sexistes qui, rappelons-le, touchent tous les milieux sociaux et culturels.

                      Tout comme SOS-Racisme qui, quinze ans plutôt, avait confisqué le message citoyen et autonome du mouvement des banlieues (les Grandes Marches de 1983, 1984 et 1985), les « Ni putes ni soumises », grâce à des opérations marketing, transforment la « cause des femmes » en un « féminisme gadget », opposant les centres-villes « émancipés » aux quartiers populaires « sexistes et arriérées », contribuant à diaboliser les banlieues.


                      Or, si les violences sexistes dans les cités populaires constituent bien une réalité, qu’il faut dénoncer à tout prix, le « féminisme gadget » des NPNS n’est sans produire des effets pervers lourds de conséquences, renforçant davantage encore les discriminations sociales, racistes et sexuelles :

                      il tend à nier tout le travail de terrain accompli depuis de nombreuses années par des associations et des structures de proximité qui voient aujourd’hui diminuer, de manière drastique, leurs subventions, les menaçant de disparition ;

                      il réduit le problème des violences sexistes aux seules populations issues de l’immigration maghrébine, africaine et turque (les « nouveaux barbares »), qui sont simultanément traitées comme des « victimes » et des « bourreaux » ;

                      il établit une relation douteuse entre la présence de certaines associations musulmanes dans les quartiers et la montée des attitudes sexistes : les musulmans pratiquants sont-ils responsables de la frustration sexuelle des jeunes hommes ?

                      dans le même élan, les NPNS ont apporté leur caution idéologique à la loi visant à exclure du droit à l’éducation les jeunes femmes portant le foulard, alors même qu’elles prétendent défendre les « filles des banlieues » !

                      plus grave, les « Ni putes, ni soumises » ethnicisent le combat historique des femmes pour leur émancipation, pour en faire le monopole d’une élite « civilisée », opposée aux « sauvageons » des banlieues.

                      En tant que militantes et militants associatifs et acteurs de la société civile, nous ne pouvons que déplorer cette utilisation médiatique et exotique du féminisme. Nous appelons à une véritable réflexion sur toutes les formes de discriminations sexistes et racistes.
                      "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire" (G. Orwell)

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