Un jeune lycéen, âgé de 19 ans, s'est immolé par le feu hier, à proximité du lycée, situé au centre-ville d'Oran plongeant plusieurs quartiers dans l'émoi et la désolation. L'acte a eu lieu quelques minutes avant la rentrée des classes.
Plusieurs personnes présentes sur le lieu du drame ont accouru pour sauver le «malheureux».
Selon des témoignages recueillis sur place, le jeune aurait accompli son acte désespéré après n'avoir pas été refaire l'année dans le même établissement.
Il a été évacué vers les urgences médicales et chirurgicales d'Oran. Les médecins en charge de son cas ont indiqué que le pronostic vital du brûlé n'est pas engagé, mais son état est grave.
Ce jeune malheureux a été exclu du lycée après qu'il ait échoué, l'année dernière, à l'examen du baccalauréat.
Les nouveaux dispositifs mis en application par le ministère de l'Education nationale stipulent que le recalé n'ouvre plus droit à un deuxième chance, a-t-on appris.
Sur place, l'information a fait le tour d'Oran tandis qu'une nouvelle page de commentaires s'est ouverte. Les plus au fait de la situation ont, dès les premières minutes qui ont suivi l'acte, critiqué Benbouzid et son département leur endossant la responsabilité de tous les maux qui rongent le secteur de l'éducation.
L'Expression
Plusieurs personnes présentes sur le lieu du drame ont accouru pour sauver le «malheureux».
Selon des témoignages recueillis sur place, le jeune aurait accompli son acte désespéré après n'avoir pas été refaire l'année dans le même établissement.
Il a été évacué vers les urgences médicales et chirurgicales d'Oran. Les médecins en charge de son cas ont indiqué que le pronostic vital du brûlé n'est pas engagé, mais son état est grave.
Ce jeune malheureux a été exclu du lycée après qu'il ait échoué, l'année dernière, à l'examen du baccalauréat.
Les nouveaux dispositifs mis en application par le ministère de l'Education nationale stipulent que le recalé n'ouvre plus droit à un deuxième chance, a-t-on appris.
Sur place, l'information a fait le tour d'Oran tandis qu'une nouvelle page de commentaires s'est ouverte. Les plus au fait de la situation ont, dès les premières minutes qui ont suivi l'acte, critiqué Benbouzid et son département leur endossant la responsabilité de tous les maux qui rongent le secteur de l'éducation.
L'Expression
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