@Roy Mustang
... Ce jeu tu y joues tout seul ...
Si tel est vraiment le cas, tu n'as qu'à ne pas y prendre part tiens, faute de quoi tu recevra très certainement la baballe quelque part.
... c'est toi qui dis que les autres sont du betail ...
Non, ça c'est ce que tu crois (ou aimerait croire) que j'ai dis. Ce que j'ai écrit l'est encore en haut, et il se lit comme il s’écrit : si le diplomate est traité comme du menu bétail par le fonctionnaire, il n'est plus diplomate et peut s'affranchir des convenances pour protester contre de tels traitements. Tellement limpide, que même un baudet solitaire ne saurait normalement s'y tromper.
... Si tu penses être un mouton ou un porc, non pardon une chèvre ou une truie, c'est ton problème ...
Tu continues à spéculer sur ce que je pourrais penser, alors que tu semble à peine capable de bien saisir ce que je dis. Ça en dit long sur beaucoup de choses.
... Allez à plus, si tu veux causer, cause toujours ...
Je causais sans ton autorisation avant que tu ne décrètes la sentence ; je causais encore sans ton autorisation pendant que tu la décrétais. Il est donc plus que naturel que je continuerais à le faire après, tant que l'envie de le faire sera là. Passage totalement superflu donc, mais déjà prévisible au vu de ce qui a précédé.
... Ce jeu tu y joues tout seul ...
Si tel est vraiment le cas, tu n'as qu'à ne pas y prendre part tiens, faute de quoi tu recevra très certainement la baballe quelque part.
... c'est toi qui dis que les autres sont du betail ...
Non, ça c'est ce que tu crois (ou aimerait croire) que j'ai dis. Ce que j'ai écrit l'est encore en haut, et il se lit comme il s’écrit : si le diplomate est traité comme du menu bétail par le fonctionnaire, il n'est plus diplomate et peut s'affranchir des convenances pour protester contre de tels traitements. Tellement limpide, que même un baudet solitaire ne saurait normalement s'y tromper.
... Si tu penses être un mouton ou un porc, non pardon une chèvre ou une truie, c'est ton problème ...
Tu continues à spéculer sur ce que je pourrais penser, alors que tu semble à peine capable de bien saisir ce que je dis. Ça en dit long sur beaucoup de choses.
... Allez à plus, si tu veux causer, cause toujours ...
Je causais sans ton autorisation avant que tu ne décrètes la sentence ; je causais encore sans ton autorisation pendant que tu la décrétais. Il est donc plus que naturel que je continuerais à le faire après, tant que l'envie de le faire sera là. Passage totalement superflu donc, mais déjà prévisible au vu de ce qui a précédé.
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