Ben Ali aurait eu une fille cachée au Maroc
La fureur du Roi Hassan II dévoilée dans un hebdomadaire
LES procès intentés contre le président tunisiens déchu Zine Al Abidine Ben Ali et le clan de son épouse se poursuivent mais ne se ressemblent pas. Tellement ils ont touché à tout et pompé dans toutes les réserves. Mais comme un scandale (toutes les affaires le sont à des degrés différents) ne vient jamais seul, voilà que l’hebdomadaire indépendant Haqaeq (Réalités) dévoilait dans son édition du vendredi 12 août la fureur du Roi Hassan II contre cet homme à qui il demande «de trouver une solution immédiate à la progéniture qu’il a laissée au Maroc», fruit d’une liaison interdite. Ben Ali avait été attaché militaire à Rabat de 74 à 77.
L’hebdomadaire explique que le Roi Hassan II qui n’a jamais porté Ben Ali dans le cœur a convoqué l’ambassadeur tunisien de l’époque et lui a craché le scandale en lui intimant l’ordre de se rendre chez son président pour lui dire in extenso de «trouver une solution au problème qu’il a laissé ici’».
En grand commis de l’Etat, l’ambassadeur dont le journal ne cite que les initiales soit Z .CH s’exécuta le plus rapidement qu’il put et aussitôt arrivé à Tunis s’entretint avec Ben Ali et lui rendit compte de sa mission. «Surpris, rapporte le journal, scandalisé même que l’affaire ait été su», Ben Ali trouva le moyen de verser une forte somme d’argent à la maman pour la faire taire. Ce qui fut fait en son temps.
Aujourd’hui, la fille dont il est question doit avoir au moins 34 ans. Personne ne sait si elle va continuer à vivre dans l’anonymat ou si elle va faire valoir ses droits moraux et matériels comme un certain Marwan, prétendant, sauf preuve du contraire, être un fils de Ben Ali.
Mohamed Laroussi Ben Salah,
leconomiste
La fureur du Roi Hassan II dévoilée dans un hebdomadaire
LES procès intentés contre le président tunisiens déchu Zine Al Abidine Ben Ali et le clan de son épouse se poursuivent mais ne se ressemblent pas. Tellement ils ont touché à tout et pompé dans toutes les réserves. Mais comme un scandale (toutes les affaires le sont à des degrés différents) ne vient jamais seul, voilà que l’hebdomadaire indépendant Haqaeq (Réalités) dévoilait dans son édition du vendredi 12 août la fureur du Roi Hassan II contre cet homme à qui il demande «de trouver une solution immédiate à la progéniture qu’il a laissée au Maroc», fruit d’une liaison interdite. Ben Ali avait été attaché militaire à Rabat de 74 à 77.
L’hebdomadaire explique que le Roi Hassan II qui n’a jamais porté Ben Ali dans le cœur a convoqué l’ambassadeur tunisien de l’époque et lui a craché le scandale en lui intimant l’ordre de se rendre chez son président pour lui dire in extenso de «trouver une solution au problème qu’il a laissé ici’».
En grand commis de l’Etat, l’ambassadeur dont le journal ne cite que les initiales soit Z .CH s’exécuta le plus rapidement qu’il put et aussitôt arrivé à Tunis s’entretint avec Ben Ali et lui rendit compte de sa mission. «Surpris, rapporte le journal, scandalisé même que l’affaire ait été su», Ben Ali trouva le moyen de verser une forte somme d’argent à la maman pour la faire taire. Ce qui fut fait en son temps.
Aujourd’hui, la fille dont il est question doit avoir au moins 34 ans. Personne ne sait si elle va continuer à vivre dans l’anonymat ou si elle va faire valoir ses droits moraux et matériels comme un certain Marwan, prétendant, sauf preuve du contraire, être un fils de Ben Ali.
Mohamed Laroussi Ben Salah,
leconomiste
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