Un facteur de la ville de Sidi-Bel-Abbès est parvenu à empocher 160 millions de centimes, représentant le montant des pensions de retraite de deux femmes décédées, l’une en 2002 et l’autre en 2003.
Suite à des informations parvenues à son niveau, la brigade économique et financière (BEF) de la police a ouvert une enquête sur l’affaire des pensions dont les bénéficiaires sont décédées. C’est grâce au témoignage des ayants droit que toute la lumière a été faite dans cette affaire. Le fils de la retraitée décédée en 2002 a reconnu que le facteur ne lui a remis que trois mandats de pension de retraite de sa défunte mère en janvier dernier et que les autres mandats ne lui sont pas parvenus. Le fils de celle décédée en 2003 dit n’avoir rien touché depuis et avoir remis un certificat de décès de sa mère à la Caisse de retraite. Quant à la représentante de la caisse de retraite, elle a déclaré que les deux ayants droit n’ont pas déposé de certificat de décès à la caisse et que les pensions continuaient à être versées régulièrement aux bénéficiaires. Après une enquête minutieuse de la police, il s’est avéré que c’est le facteur qui encaissait les pensions. Celui-ci a été confondu par les talons des mandats encaissés qui comportaient ses coordonnées. Le facteur indélicat a été écroué.
A. M. - Le Soir d'Algérie.
Suite à des informations parvenues à son niveau, la brigade économique et financière (BEF) de la police a ouvert une enquête sur l’affaire des pensions dont les bénéficiaires sont décédées. C’est grâce au témoignage des ayants droit que toute la lumière a été faite dans cette affaire. Le fils de la retraitée décédée en 2002 a reconnu que le facteur ne lui a remis que trois mandats de pension de retraite de sa défunte mère en janvier dernier et que les autres mandats ne lui sont pas parvenus. Le fils de celle décédée en 2003 dit n’avoir rien touché depuis et avoir remis un certificat de décès de sa mère à la Caisse de retraite. Quant à la représentante de la caisse de retraite, elle a déclaré que les deux ayants droit n’ont pas déposé de certificat de décès à la caisse et que les pensions continuaient à être versées régulièrement aux bénéficiaires. Après une enquête minutieuse de la police, il s’est avéré que c’est le facteur qui encaissait les pensions. Celui-ci a été confondu par les talons des mandats encaissés qui comportaient ses coordonnées. Le facteur indélicat a été écroué.
A. M. - Le Soir d'Algérie.
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