Elle plaisante sur Morano et est licenciée pour faute grave

[mentalistboy]

ah bon tu trouves? jusqu'au licenciement brume? oui en effet surement réprimendé pour la faute...blame ou averissement mais bon licenciement c'est cher payé je trouve...

[absente]

quelle S***** faire des problèmes à une pauvre femme , j'en reviens pas d'une telle injustice , on se croirait à l'epoque de roi et reine ....c'est deguelasse.......

[kaiser]

brume

il faut voir le contexte de sa bourde!

son collégue lui dit qu il pourrait mettre à terre le garde corps en deux secondes et elle lui rétorque que pour se mesurer à lui il faut d abord casser la gueule à morano!

franchement ça merite au plus un avertissement oral

[brume]

mentalistboy, on donne un avertissement pour 2 ou 3 erreurs professionnelles, un blâme quand les erreurs sont répétées et un licenciement, quand l’employé est un cas désespéré. Dans le cas de cette vendeuse, le licenciement est sans appel, parce qu’il s’agit d’éthique déontologique…

Kaiser, j'ai lu le contexte. Eh bien, Morano, n'a pas entendu le commentaire du vendeur! Le professionnnalisme est de rigueur, mais malheureusement, il semble faire défaut à la vendeuse....À la lecture de certains commentaires, je devine qu'il y en a qui en veulent à Morano et trouvent la « sentance » lourde, parce qu'ils en ont gros sur le coeur et qu'ils ne peuvent rien contre elle. Faut pas se laisser envahir par ses passions. Faire preuve de discernement reste la meilleure attitude....

[kaiser]

brume
que dieu me présérve d un supérieur comme toi

[Angèle]

Justement en faisant preuve de discernement on se rend vite compte que le châtiment est bien plus lourd que le crime.
Rien à voir avec le fait que la victime soit morano.
La vendeuse n'avait pas à dire une chose pareille on est bien d'accord et en tant que cliente je n'aurai pas apprécié un tel commentaire mais je n'aurai pas non plus demander son renvoi!!
Tout comme il n'est pas acceptable qu'elle s'en sorte sans tranquillement!
Il n'y a aucun caractère injurieux, irrespectueux, diffamant. Pas de dénigrement ni d'incitation à la violence ...
A défaut d'avoir un coeur il faut savoir être raisonnable dans la vie.

.

[brume]

Kaiser et que dieu me préserve d’un poste de responsabilité… je préfère finir ma journée et rentrer l’esprit léger…

[brume]

Angèle cela se passe ainsi. Quand on manque de respect dans un milieu professionnel, on est mis à la porte sans autre forme de procès. Que cela soit juste ou injuste est une autre affaire. Là où je travaille, un directeur a haussé le ton en s'adressant à une employée qui lui est pourtant hirérarchiquement inférieure, et il s'est retrouvé à ramasser ses clics et ses claques avant de réaliser ce qui lui arrive. Attitude courtoise, positive, respect, sourire sinon, la porte. Les erreurs de travail sont admises, les erreurs d'attitude sont inadmissibles.

Pas de dénigrement ni d'incitation à la violence ...

Mais si....

[mehdi-amazigh]

Quelle honte pour la France......Une France qui se dirige tout droit vers une dictature.....

Quant à la Morano, elle ne se prend pas pour une M....
Celle la même qui se permet en toute impunité des propos racistes et xénophobes!!!

Ah elle est belle la France à Sarko!!!!!

Que cette vendeuse soit sanctionnée, ce serait juste, mais pas au point d'être licenciée!!!
La baronne en herbe à du user de son influence pour la faire licencier!!!

[Angèle]

Bonjour brume

J'ai répondu que pour se mesurer à lui, il fallait d'abord casser la gueule à Mme Morano. »

Juridquement parlant ce n'est pas une incitation à la violence désolée.
En plus elle n'a pas manqué de respect. Elle a été stupide de faire une telle remarque surtout à proximité. Mais ni l'hypocrisie ni la bétise ne sont punis par la loi jusqu'à preuve du contraire.
Ca méritait une sanction, un rappel à l'ordre une réprimande etc mais pas un renvoi. Si elle l'avait menacé ça serait une autre histoire.
Ne soyons pas dupes tu sais aussi bien que moi que c'est dû au statut de la plaignante.
.

[RoboCop]

Nadine Morano répond aux injures des internautes. (Affaire de 2009).

A la suite d'une plainte de la secrétaire d'Etat à la Famille, le parquet a ouvert une enquête pour injure publique. En ligne de mire : des utilisateurs de YouTube et de Dailymotion.

Pour Nadine Morano, trop c'est trop. Lassée des propos diffamants et injurieux à son encontre sur la Toile, la secrétaire d'Etat à la Famille a porté plainte pour “ injure publique ” le 10 février dernier. Saisi de l'affaire, le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire visant à identifier les internautes postant ce type de commentaires sur Dailymotion et sur YouTube. En cause : les commentaires peu élogieux, voire offensants, sous des vidéos dans lesquelles apparaît la femme politique. Ce n'est donc pas une action judiciaire, encore moins une plainte, contre les deux sites, mais une réquisition judiciaire leur demandant concrètement, comme l'indique le quotidien 20 Minutes, qui a révélé l'histoire, de fournir les adresses IP des ordinateurs des contributeurs.

Une première en France

A partir de ces données, ces internautes pourront ensuite être identifiés par la police. “ C'est la première fois qu'un personnage politique fait une telle demande ”, indique-t-on chez Dailymotion. Mais encore aujourd'hui, sur Dailymotion comme sur YouTube, il est facile de tomber sur des propos dénigrant la secrétaire d'Etat.
Car curieusement, cette dernière, ou ses avocats, n'a pas demandé aux plates-formes concernées le retrait des vidéos ni des commentaires. A lire les posts et leur nombre, la plainte semble même avoir eu l'effet inverse de celui escompté !

En effet, à peine l'affaire rendue publique, la communauté a mis en ligne de nouveaux propos peu amènes à l'encontre de Nadine Morano. Certains petits malins donnent même des astuces pour rendre anonyme l'adresse IP, de manière à ne pas être identifié.

Dailymotion et YouTube, qui ont toujours revendiqué un statut d'hébergeur, estiment ne pas être responsables des contenus, qu'il s'agisse de vidéos ou de commentaires postés par les internautes. Parfois, notamment dans des affaires de droit d'auteur, la justice leur a donné tort. Quant aux internautes, ils risquent jusqu'à 12 000 euros d'amende. L'injure publique étant définie comme un délit de presse.

Hélène Puel
01net.
le 13/03/09 à 19h00