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Les grands hommes Algériens

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  • #31
    Le plus grand personnage politique algérien de tous les temps c'est sans conteste notre Imperator Massinissa. Personne ne lui arrive aux chevilles. Un caractère de fer sorti d'un brasier de feu, immortalisé par le sceau de l'Histoire et forgé par une épopée sans pareille. La plus brillante des étoiles brillant au firmament du ciel algérien...

    Le plus grand écrivain et philosophe que notre terre ai portée c'est sans conteste Augustin d'Hippone (Saint-Augustin). Lourd par la pensée, raffiné par l'esprit, grandiose de sincérité, brillant humaniste, sa plume a écrit d'une encre d'or notre histoire intellectuelle...

    Le plus grand général qu'à connu notre contrée c'est sans conteste Jugurtha. Une épée de feu, un génie de tactique, une foudre de guerre, sel de la terre, foudre du ciel, il a marqué de son sang l'immortalité de notre destin...

    La plus grande femme que notre terre a engendré, Lalla el Kahina, une impératrice rouge, la partisane ultime, le mère d'un peuple fier, fille du vent, mère de la montagne, elle a érigé la terre en forteresse et fait de l'honneur une pyramide sacrée !

    Que d'espoir,
    Que de héros que cette terre a portée,
    Que de souffrance a t-elle engendré,
    Que d'immortels peu t-elle encore enfanter...

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    • #32
      C'est fou comment le système a pu enterrer Messali El hadj, le ranger parmi les traitres.

      Et pourtant, Messali Hadj reste un grand homme de l'Algérie.
      «Ceux qui sont infidèles connaissent les plaisirs de l’amour ; ceux qui sont fidèles en connaissent les tragédies..» Oscar Wilde

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      • #33
        salam

        hram alikom personne ne parle d'ahmed bey, l'homme qui a mené la plus longue résistance contre l'occupation française plus de 17 ans

        Ahmed Bey ou Hadj Ahmed Bey EL KOLLI (1784 - 1850) (arabe: الحاج أحمد باي قلي) est le dernier Bey de Constantine.

        En 1826, il devient gouverneur du Beylik de l'Est et dernier gouverneur légitime d'Algérie après la reddition d'Hussein Dey et après avoir reçu du Califat ottoman le titre de pacha d'Algérie. Il a modernisé le pays en se concentrant d'abord sur l'armée et sa flotte. Il met fin à l'esclavage en 1846 ainsi qu’aux restrictions touchant les juifs. Les ressources du pays se sont affaiblies lorsqu'une épidémie de choléra a frappé les Algériens.

        Il a dirigé la résistance algérienne contre les forces d'occupation française dans l'est de l'Algérie de 1830 à 1848. En plus d'avoir organisé la défense de Constantine, il mena plusieurs batailles contre l'armée française, il gagna sa première bataille contre cette armée en 1836 contre le maréchal Clauzel. Quand les Français prennent Constantine, il parvient à s'échapper et à organiser la résistance dans les Aurès. Mais isolé et affaibli, cerné par les forces françaises, il dut se rendre avec quelques résistants en juin 1848. D'après la plupart des récits à Alger, il meurt empoisonné[réf. nécessaire] en résidence surveillée.

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        • #34
          @ Tolkien

          Le plus grand personnage politique algérien de tous les temps c'est sans conteste notre Imperator Massinissa.
          Personne ne lui arrive aux chevilles. Un caractère de fer sorti d'un brasier de feu, immortalisé par le sceau de l'Histoire et forgé par une épopée sans pareille. La plus brillante des étoiles brillant au firmament du ciel algérien...

          Pour toi, oui. Massinissa est un grand homme algérien personne n'en doute, mais le plus grand je ne sais pas, tout dépend des personnes. Personnellement, je préfère Abd el Kader ou Kheirdin Barberousse à Massinissa.

          @Naw08.

          J'ai visité le palais de Ahmed Bey l'année dernière, je pense y refaire un tour cette année inch'Allah, il est magnifique.
          Dernière modification par Arbefracom, 09 mai 2011, 12h09.
          Ya Allah, al Aziz, al Hakim. a7fadh jazair wa al maghareb al kabir

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          • #35
            J'ai visité le palais de Ahmed Bey l'année dernière, je pense y refaire un tour cette année inch'Allah, il est magnifique.
            bessahtek !! j'ai vu a la télé qu'il a été restauré

            il se trouve ou a constantine, j'aimerai aussi faire un tour!!

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            • #36
              Le plus grand personnage politique algérien de tous les temps c'est sans conteste notre Imperator Massinissa.
              Mais qu'est ce qu'on connaît de Massinissa ? Rien ou presque.

              Les grecques saluent le tacticien de guerre et l'homme du consensus qu'il était. Mais vu où en est l'algérie aujourd'hui, ça m'étonnerait qu'un tel personnage puisse être associé à l'image de ce Pays.

              Massinissa était Numide, de là à l'associer à l'algérie c'est aller vite en besogne. Il aurait tout aussi bien pu être revendiqué par les Tunisiens, les Lybiens et pourquoi pas les Marocains et Mauritaniens aussi.

              Pour ce qui est de l'algérie contemporaine, je vois uniquement deux hommes : Ferhat Abbas et Ramdhane Abbane. Ces deux figues du mouvement national sont tout ce que l'algérie a enfanté de mieux, la preuve en est que l'un a été liquidé par ses pseudo-camarades et l'autre a été "expulsé" parce qu'il devenait trop encombrant !
              Jeûner c'est bien. Manger c'est mieux.

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              • #37
                Cheb Khaled
                ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

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                • #38
                  sacrèè lamia (jlattendais celle la lol et jetais presque sur que ca serait toi lol )
                  adi ghiba on te voit plus

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                  • #39
                    Rabah saadane

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                    • #40
                      bessahtek !! j'ai vu a la télé qu'il a été restauré

                      il se trouve ou a constantine, j'aimerai aussi faire un tour!!
                      Il est en plein centre de Constantine, il se situe vers la rue Didouche Mourad il suffit de la longer tu tomberas dessus à côté du Masjid El Ghezal. Tu le trouveras facilement. La restauration a duré super longtemps, mais c'est vraiment du très bon travail.

                      En plus, quand j'y suis allé l'année dernière il y avait une superbe exposition sur l'histoire des sciences arabes. Ça a été une des belles surprises de mon séjour au bled.

                      Bref à découvrir pour tous les algériens qui en ont l'occasion.
                      Dernière modification par Arbefracom, 09 mai 2011, 13h09.
                      Ya Allah, al Aziz, al Hakim. a7fadh jazair wa al maghareb al kabir

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                      • #41
                        Un peu de sérieux svp, ce topic est censé rendre hommage à des personnages morts ou vivants qui ont fait l'Algérie, donc le respect pour leur mémoire exige un peu de sérieux, merci d'avance.

                        Mister, dans ce cas là, mets nous un peu de sa biographie, ça se trouve, des gens ne le connaissent pas vraiment

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                        • #42
                          Pour ce qui est de l'algérie contemporaine, je vois uniquement deux hommes : Ferhat Abbas et Ramdhane Abbane.
                          Oula, c'est très réducteur! Je précise que je ne parle pas seulement de héros de la révolution, ou de résistants, parceque certains semblent ne pas avoir compris, je parle de tout grand homme qui a mis une grande brique à la construction de l'Algérie.

                          Et puis chez les résistants, comment peut on dire qu'il y a 2 personnes seulement, d'ailleurs je cite mon personnage coup de coeur d'aujourd'hui, le grand larbi ben m'hidi:

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                          • #43
                            Larbi Ben M'hidi

                            Mohamed Larbi Ben M'hidi (1923-1957) est un combattant et responsable du FLN durant la guerre d'Algérie (1954-1962). Il est arrêté et tué par l'armée française durant la bataille d'Alger en février 1957. Considéré comme un héros national en Algérie, plusieurs lieux et édifices institutionnels se sont vu attribuer son nom.
                            Cadet d'une famille de trois filles et deux garçons, il naquit au village El Kouahi près de Aïn M'lila dans la Wilaya de Oum el Bouaghi dans les Aurès en Algérie dans une famille chaouie rurale aisée. il débuta ses études à l'école primaire française de son village natal. À l’issue de la première année scolaire, il se rendit à Batna pour poursuivre ses études primaires où il obtint son Certificat d'études primaires, puis entreprit des études secondaires à Biskra. En 1939 il s'engage dans les rangs des Scouts musulmans algériens, après quelques mois il devient chef de groupe des Scouts.
                            Il travailla ensuite comme comptable au service du Génie civil de Biskra, puis s'installa à Constantine où il fut proche de l'Association des Oulémas et en particulier de Mebarek el Mili. Ben M'hidi adhéra au mouvement des Amis du Manifeste et de la Liberté (AML) fondé par Ferhat Abbas et participa au congrès de mars 1945.
                            Les massacres du 8 mai 1945 marquèrent sa volonté de poursuivre ses activités clandestines. Il adhéra au Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD) et à l'Organisation Spéciale (OS) à laquelle participèrent également Ben Bella, Aït Ahmed et Mohamed Boudiaf (dont il fut l'assistant).
                            En 1950, vainement recherché par les services de police, il est condamné par défaut à dix ans de prison pour « menée subversive et activité illégale ».
                            En avril 1954, Ben M'hidi fut l'un des neuf fondateurs du Comité révolutionnaire d'unité et d'action qui le 10 octobre 1954 transformèrent le CRUA en FLN et décidèrent de la date du 1er novembre 1954 comme date du déclenchement de la lutte armée pour l'indépendance algérienne. On lui confia la Wilaya 5 (l'Oranie) qu'il organisa efficacement malgré un démarrage difficile par manque de moyens et d'hommes.
                            En 1956, laissant le commandement de la Wilaya 5 à son lieutenant Abdelhafid Boussouf il devint membre du Conseil national de la révolution algérienne; il était proche des idées de Abane Ramdane et Krim Belkacem. Le premier fut assassiné au Maroc à la fin de décembre 1957, le second à Francfort le 18 octobre 1970. Il participa à l'organisation des premiers attentats de la bataille d'Alger.
                            Arrêté le 23 février 1957 par les parachutistes, il refusa de parler sous la torture avant d'être pendu sans procès, ni jugement, ni condamnation, par le général Aussaresses dans la nuit du 3 au 4 mars 1957. Le général Bigeard, qui avait rendu hommage auparavant à Ben M'hidi avant de le confier aux Services Spéciaux, regretta trente ans plus tard, cette exécution.
                            Ses dernières paroles avant de mourir :
                            "Vous parlez de la France de Dunkerque à Tamanrasset, je vous prédis l'Algérie de Tamanrasset à Dunkerque. Vous voulez l'Algérie française et moi je vous annonce la France algérienne.".
                            Dans une conférence de presse donnée le 6 mars, le porte-parole du gouvernement général déclara : Ben M'hidi s'est suicidé dans sa cellule en se pendant à l'aide de lambeaux de sa chemise. En 2001, dans son livre Services spéciaux, Algérie 1955-1957, paru aux éditions Perrin, le général Aussaresses reconnaît avoir procédé à l'exécution sommaire, par pendaison maquillée en suicide, de Larbi Ben M'Hidi, dans la nuit du 3 au 4 mars 1957, les faits étant commis avec l'assentiment tacite, selon lui, de sa hiérarchie militaire et d'un juge qui aurait lu le rapport sur le prétendu suicide avant que celui-ci ait eu lieu.
                            Le 5 mars 2007, le général Aussaresses, dans un entretien au Monde, retrace les dernières heures de Larbi Ben M'hidi :
                            Larbi Ben M'Hidi est conduit dans la ferme désaffectée de la Mitidja d'un colon extrémiste. Six hommes dont Aussaresses préparent l'exécution en passant une corde à travers un conduit de chauffage. L'un des hommes a joué le rôle du supplicié pour vérifier que tout était au point. Il est monté sur un tabouret, a passé sa tête dans le nœud et regarde les autres provoquant un fou rire général. Un parachutiste veut bander les yeux de Ben M'hidi. Celui-ci refuse. Le soldat répond qu'il exécute un ordre. Ben M'hidi réplique qu'il est colonel de l'ALN et qu'il sait ce que sont les ordres. Sa demande sera refusée ; il sera pendu les yeux bandés et se taira jusqu'à la fin. Pour le pendre, les bourreaux vont s'y prendre à deux fois. La première fois, la corde se casse







                            Citation montrant toute sa classe et sa grandeur, aussi bien que son esprit visionnaire:
                            « Je préfère mourir avant l'indépendance pour ne pas assister à vos déchirements pour le pouvoir ! »

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                            • #44
                              Krim Belkacem ou la victime d'un dictateur imposteur

                              Krim Belkacem est un homme politiquealgérien, chef historique du Front de libération nationale durant la guerre d'indépendance algérienne. Surnommé « le lion du djebel » par les soldats français, il est considéré comme le premier maquisard de la guerre d'indépendance algérienne.
                              Né le 14septembre1922 à Aït Yahia Moussa en Kabylie, il a été assassiné à Francfort le 18octobre1970.

                              sa mort:
                              Après le coup d'État du 19 juin 1965, il repasse dans l'opposition. Accusé d'avoir organisé au mois d'avril 1967 un attentat contre Boumédiène, manipulé et trahi par une partie de son entourage, il est condamné à mort par contumace. Selon sa fille Karima, médecin, dans un entretien accordé à El Moudjahid (le 25 mars 1998), Krim renonça définitivement à la politique au mois d'août 1967 : « Le 4 août 1967, raconte-t-elle, il entassa précipitamment toute sa famille avec quelques effets dans la Volkswagen familiale et roula toute la nuit jusqu'au Maroc. Le lendemain, il est condamné par contumace ».
                              Commence alors un exil amer. En 1968, il crée avec des amis dont Slimane Amirat. les colonels Amar Ouamrane et Mohand Oulhadj, le Mouvement pour la Défense de la Révolution Algérienne (MDRA), parti clandestin destiné à lutter contre le régime de Boumédiène. Deux ans plus tard, le 18 octobre 1970, on le retrouve étranglé avec sa cravate dans une chambre d'hôtel à Francfort, probablement avec la complicité des services secrets algériens de l'époque à leur tête Kasdi Merbah aux ordres de Boumédiène[1].
                              Il fut enterré dans le carré musulman de la ville allemande jusqu'au 24 octobre 1984, date à laquelle, réhabilité, il repose au « Carré des Martyrs » à El Alia, à Alger. Les vieux routiers de la révolution algérienne racontent qu'il était à l'époque, plus jeune colonel au monde

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                              • #45
                                kama toudin toudane

                                si c'est vrai que krim belkacem a eté assassiné par kasdi merbah , la mort tragique de ce dernier n'est que justice sur terre , en atendant celle de l'au-delà

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