Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Les grands hommes Algériens

Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #46
    @Ferioula : Et l'assassinat de Boudiaf rabbi yarhmou ?

    Je ne crois pas à ça : Kama tadinou toudane.
    «Ceux qui sont infidèles connaissent les plaisirs de l’amour ; ceux qui sont fidèles en connaissent les tragédies..» Oscar Wilde

    Commentaire


    • #47
      Boudiaf a fait du mal aussi!

      Désolé, mais il y a beaucoup de choses qui ne se savent pas encore, et pour éviter de salir la mémoire des morts, je préfère personnellement éviter, mais puisque là tu l'évoques, eh bien saches que Boudiaf a ordonné l'envoi de beaucoup de fonctionnaires Algériens innocents dans des camps fermés au Sahara, l'armée lui a présenté les dossiers, en y mettant tous ceux dont elle voulait se débarasser, et lui il a ordonné l'envoi de ces hommes qui n'avaient rien fait.

      Ceci dit ferioula, concernant kasdi merbah, son implication n'est pas prouvée, il a surement du sang sur les mains, mais celui de krim belkacem, je ne sais pas.

      Commentaire


      • #48
        Mohamed Boudiaf

        Rendons lui hommage, pour son implication pour le pays.

        Mohamed Boudiaf (en arabe : محمد بوضياف), né à M'Sila le 23juin1919, assassiné le 29juin1992 à Annaba, est un homme d'Étatalgérien.
        Fonctionnaire de profession, membre fondateur du Front de libération nationale (FLN) et un des chefs de la guerre d'indépendance algérienne, il entre en opposition contre les premiers régimes mis en place à l'indépendance de son pays, et s'exile durant près de 28 ans. Rappelé en Algérie, en 1992 en pleine crise politique, à la tête de l'État, il est assassiné quelques mois après ses prises de fonction, lors d'une conférence des cadres.

        Commentaire


        • #49
          Qu'en est t-il des personnes justes qui cherchent à être libres ?

          PS:
          Juste : càd refuser les chaines pour les autres comme on les refuse pour soit
          Rebbi yerrahmek ya djamel.
          "Tu es, donc je suis"
          Satish Kumar; "Tout est lié, c'est le don qui est le lien naturel entre tout".

          Commentaire


          • #50
            ce topic est censé rendre hommage à des personnages morts ou vivants qui ont fait l'Algérie
            ALGERIAN

            Tu as oublie les FEMMES !!

            Dans le domaine du sport, Hassiba Boulmerka, la premiere femme arabe et musulmane :

            1) Championne d'Afrique
            800m en 2'02"89
            1500m en 4'08"33

            2) Championne olympique
            1500m en 1992 à Barcelone

            3) Championne du monde
            1500m en 1991 à Tokyo
            1500m en 1995 à Göteborg

            Il en y a d'autres sur Wikipedia.
            Dernière modification par dzreponse, 09 mai 2011, 16h17.
            Everything of profound value is evident and simple

            Commentaire


            • #51
              Dans la categorie jeune, il y a

              Le pianiste, Mehdi Ghazi, qui, a l'age de 18 ans, a remporte en 2008 le prix Oliver Jones de la 6e édition du Festival classique, Quebec Canada.

              Dans la categorie animale, il y a Belaredj, toute une histoire (je plaisante, ne tenez pas compte de cette ligne)
              Everything of profound value is evident and simple

              Commentaire


              • #52
                Zighoud Youcef


                Zighoud Youcef (en arabe : يوسف زيغود), né le 18 février 1921 dans le village Smendou qui porte aujourd'hui son nom (au nord-est de Constantine) et mort à Sidi Mezghiche (wilaya de Skikda) le 25 septembre 1956.


                Jeune, il fréquente l'école coranique en parallèle des cours qu'il suit à l'école primaire française. Après avoir obtenu le certificat d'études primaires en langue française, il quitte l'école en raison notamment de la limitation qu'imposaient les autorités coloniales françaises aux enfants algériens et qui consistait à ne pas dépasser ce niveau de scolarité.
                Zighoud Youcef a adhéré dès l'âge de 17 ans au Parti du peuple algérien (PPA) dont il fut, en 1938, le premier responsable à Smendou. Élu du Mouvement pour le Triomphe des Libertés Démocratiques (MTLD) en 1947, il fait partie de l'Organisation Spéciale (OS) qui doit préparer les conditions nécessaires à la lutte armée, après que l'échec de la voie pacifique fut devenu flagrant. Arrêté en 1950 lors de la découverte de l'OS par la police coloniale et incarcéré à la prison d'Annaba, il s'en évade en avril 1954 et rentre dans la clandestinité pour s'engager dans l'action militante du Comité révolutionnaire d'unité et d'action (CRUA) dès sa création.
                Le 1er novembre 1954, il est aux côtés de Didouche Mourad, responsable du Nord-Constantinois qui deviendra la Wilaya II de l'Armée de libération nationale (ALN). Zighoud Youcef participe avec Mourad, le 18 janvier 1955, à la bataille d'Oued Boukerker à l'issue de laquelle Didouche Mourad trouve la mort. Zighoud Youcef le remplace à la tête de la Wilaya II.
                C'est dans cette fonction qu'il organise et dirige la fameuse offensive du 20 août 1955 qui fut une éclatante démonstration de l'ampleur de la mobilisation populaire dans le combat de libération et porta des coups très durs aux forces colonialistes. Un an jour pour jour après cette offensive, le 20 août 1956, a lieu le Congrès de la Soummam qui met définitivement en place les structures organiques et politiques de la Révolution de Novembre.
                Zighoud Youcef, qui en est l'un des promoteurs, y est nommé membre du Conseil National de la Révolution Algérienne (CNRA), élevé au grade de Colonel de l'ALN et confirmé comme commandant de la Wilaya II.
                Peu après, il regagne son poste de combat et commence à mettre en pratique les décisions du Congrès. C'est au cours d'une tournée d'explication et d'organisation dans les unités placées sous son autorité que Youcef Zighoud tombe dans une embuscade de l'ennemi à Sidi Mezghiche (Wilaya de Skikda) le 25 septembre 1956, à l'âge de 35 ans.

                Commentaire


                • #53
                  arbe

                  Pour toi
                  Ce qui compte c'est qe ce soit ni ben laden ni tarek ramadan ni hassan el banna !

                  Les gens dont j'ai parlé, personne ne peut réellement les juger, vu qu'ils transcendent l'histoire nationale et ont acquis une dimension internationale...

                  Commentaire


                  • #54
                    @ Tolkien


                    Pour toi... - C'est ça que tu as retenu de mon intervention ?

                    A part juger Tolkien tu pourrais répondre véritablement? Il n'y avait ni attaque, ni arrogance dans mes propos.


                    Quel est le rapport avec trois hommes qui n'ont rien à voir les uns avec les autres, d'autant plus qu'ils ne sont pas algériens.

                    Abd el Kader et Barberousse agissaient quand la nation algérienne n'existait pas comme Massinissa, mais pour les juger encore faudrait-il bien les connaitre (tu as zappé l'intervention de Massnsen), chose qui n'est pas le cas avec Massinissa nous n'avons que des sources romaines et non objectives. Je suis bien placé pour le savoir je suis étudiant en histoire et je l'ai étudié.
                    Ya Allah, al Aziz, al Hakim. a7fadh jazair wa al maghareb al kabir

                    Commentaire


                    • #55
                      Malek Bennabi

                      Malek Bennabi (en arabe مالك بن نبي) est un penseur algérien, né en 1905 à Tebessa, décédé le 31 octobre 1973 à Alger. Il a étudié les problèmes de civilisation du monde musulman.

                      Biographie

                      Malek Bennabi poursuivit ses études secondaires avant de partir à Paris en 1930 préparer un diplôme d'ingénieur en électricité. Enfant, Malek était un lecteur assidu, il lisait tout ce qui lui passait sous la main, Nietzsche, Ibn Khaldun, Darwin, De Broglie, André Gide etc. Il était fortement imprégné de la culture arabo-musulmane et occidentale. On lui doit un concept sur la « colonisabilité » selon lequel, seule une société apte à être colonisée peut l'être, et ce notamment dans les pays musulmans, terme qu'il utilisera dans son livre l'Afro-asiatisme.&

                      L'œuvre

                      Malek Bennabi a à son actif plus d'une vingtaine d'ouvrages traitant de civilisation, de culture, d'idéologie, de problèmes de société ainsi que d'autres sujets tel le phénomène coranique et les raisons de la stagnation de la société musulmane en particulier. Par ses écrits, Malek Bennabi voulait éveiller les consciences musulmanes et relancer une renaissance de la société musulmane. Il n'a de cesse de critiquer vivement l'administration coloniale française par ses écrits et ses conférences. Il n'a jamais accepté la colonisation de l'Algérie par la France et le statut d'indigène octroyé par l'administration de l'époque aux autochtones algériens.


                      Il est probable que peu de gens ont vraiment saisi la portée de sa vision et sa pensée, notamment dans la société musulmane à propos de laquelle il dit dans son ouvrage Vocation de l'Islam :

                      « La plus grave parmi les paralysies, celle qui détermine dans une certaine mesure les deux autres (sociale et intellectuelle), c'est la paralysie morale. Son origine est connue : "L'islam est une religion parfaite. Voilà une vérité dont personne ne discute. Malheureusement il en découle dans la conscience post-almohadienne une autre proposition : "Nous sommes musulmans donc nous sommes parfaits". Syllogisme funeste qui sape toute perfectibilité dans l'individu, en neutralisant en lui tout souci de perfectionnement. Jadis Omar ibn al-Khattab faisait régulièrement son examen de conscience et pleurait souvent sur ses "fautes". Mais il y a longtemps que le monde musulman a cessé de s'inquiéter de possibles cas de conscience. On ne voit plus qui que ce soit s'émouvoir d'une erreur, d'une faute. Parmi les classes dirigeantes règne la plus grande quiétude morale. On ne voit aucun dirigeant faire son mea culpa. C'est ainsi que l'idéal islamique; idéal de vie et de mouvement a sombré dans l'orgueil et particulièrement dans la suffisance du dévot qui croit réaliser la perfection en faisant ses cinq prières quotidiennes sans essayer de s'amender ou de s'améliorer : il est irrémédiablement parfait, Parfait comme la mort et comme le néant. Tout le mécanisme psychologique du progrès de l'individu et de la société se trouve faussé par cette morne de satisfaction de soi. Des êtres immobiles dans leur médiocrité et dans leur perfectible imperfection deviennent ainsi l'élite d'une société morale d'une société où la vérité n'a enfanté qu'un nihilisme. La différence est essentielle entre la vérité, simple concept théorique éclairant un raisonnement abstrait, et la vérité agissante qui inspire des actes concrets. La vérité peut même devenir néfaste, en tant que facteur sociologique, lorsqu'elle n'inspire plus l'action et la paralyse, lorsqu'elle ne coïncide plus avec les mobiles de la transformation, mais avec les alibis de la stagnation individuelle et sociale. Elle peut devenir l'origine d'un monde paralytique que Renan et Lamennais dénonçaient en disant que l'islam "pourrait devenir une religion de stagnation et de régression".»

                      Dans un autre ouvrage intitulé Les Grands Thèmes de la civilisation, de la culture, de l'idéologie, de la démocratie en islam, de l'orientalisme, Malek Bennabi parle des raisons de la stagnation de certaines sociétés qu'il qualifie de primitives :

                      « Quand une société primitive met des tabous autour de ses traditions, de ses convictions, de ses goûts, de ses usages, ce qui est risible là-dedans - à supposer qu'il y ait quelque chose de risible - ce n'est pas le tabou mais le vide culturel, l'inculture qu'elle défend, c'est-à-dire l'ensemble de causes qui maintiennent cette société en stagnation.»

                      Œuvres

                      * Le Phénomène coranique (1946)
                      * Lebbeik (1947)
                      * Les Conditions de la renaissance (1947)
                      * Vocation de l'islam (1954)
                      * Le Problème des idées dans la société musulmane
                      * Le Musulman dans le monde de l'économie
                      * L'Afro-Asiatisme (1956)
                      * Le Problème de la culture (1957)
                      * SOS Algérie (1957)
                      Brochure politique (en arabe et en français)
                      * Discours sur la nouvelle édification (1958)
                      * La Lutte idéologique en pays colonisé (1958)
                      * Idée du Commonwealth islamique (1959)
                      * Réflexions (1959)
                      * Naissance d'une société (1960)
                      * Dans le souffle de la bataille (1961)
                      * Perspectives algériennes (1965)
                      * Mémoires d'un témoin du siècle (2 tomes)
                      * Le Rôle du musulman dans le dernier tiers du XXe siècle
                      * SOS Algérie
                      * Pourriture (1956)
                      * Le problème juif (1956)

                      Éditions récentes

                      * La lutte idéologique, El Borhane, 2004
                      * Mondialisme, Dar El-Hadhara, 2004
                      articles de presse réunis, choisis, annotés et préfacés par Abderrahman Benamara ; postface du Dr. Omar Benaissa
                      * Colonisabilité, Dar El-Hadhara, 2003
                      * L'afro-asiatisme, SEC, 1992
                      * Les conditions de la renaissance : problème d'une civilisation, SEC, 1992

                      Bibliographie

                      * Collectif Centre Tricontinental, Théologies de la libération, L'Harmattan, 2000, p. 191-195
                      * Aïssa Kadri, Parcours d'intellectuels maghrébins, Université de Paris VIII-Vincennes, Institut Maghreb-Europe, Karthala, 1999
                      Truth seeker

                      Commentaire


                      • #56
                        Choukrane Salah, très très intéressant !
                        Ya Allah, al Aziz, al Hakim. a7fadh jazair wa al maghareb al kabir

                        Commentaire


                        • #57
                          Merci salah j'aime beaucoup cet homme, dommage qu'il soit si peu compris et enseigné.

                          Commentaire


                          • #58
                            Vous parlez du racisme alors que c'est vous qui l'êtes. Si vous considérez que ces kabyles ne sont pas des algériens et qu'ils n'ont pas de place parmi les grands c'est votre problème.

                            Commentaire


                            • #59
                              Arbe, tu as un parti pris pour tout ce qui est "islamique", c'est à dire religieux, tu ne peut donc être attiré que par des figures nationalistes ou religieuses. C'est un partis pris qui ne fait plus de place à l'objectivité...

                              Selon ta logique, qui manque un peu de profondeur pour un étudiant en Histoire (peut-être que tu sort toi aussi d'une fac algéroise !!), Abdelkader, qui vécu bien avant la naissance de l'Algerie 1962, donc il n'est pas à proprement dit "Algérien" !!

                              Barberousse : En quoi ce turco-occidental serait plus "algérien" que Massinissa ?

                              Il faut arrêter de jouer avec les mots, les notions, les idées et foncer tête baisser dans des idéologies qui vous/nous dépassent tous. Un jour ou l'autre cela se retournera contre nous/vous ! Il faut devenir rationnel ! Rationnel et objectif... Rationnel, objectif et pragmatique !

                              Pendant que tu insulte la mémoire d'une figure nationale plus qu'importante, capitale dans la formation de l'identité nationale, un tombeau repose au Khroub, peut-être ne le sais-tu pas, peut-être ne l'as tu jamais visité, pourtant non loin d'une cité populaire, sur les hauteurs de la ville du Khroub, un mausolé de type Greco-phenicien a été bâti pour ce fils du pays. Un personnage historique qui a marqué de ses empruntes l'histoire antique du pays.

                              Maintenant si toi ou les "islamistes", qui ont beaucoup de mal avec l'Histoire et les personnages anté-islamique (avant naissance du prophète et de l'islam), c'est votre problème psychique...

                              J'ai déjà entendu sur ce forum pas mal d'intervenants, souvent liés, soit d'une origine autre qu'Algérienne, soit par mimétisme, soit par idéologie, soit par quelconque autre raison, remettre en cause l'Histoire nationale, notre identité, notre passé... C'est intolérable. C'est intellectuellement inexplicable ! Messieurs qui avez un problème avec votre passé - non assumé - cela ne vous donne aucun droit de spolier un peuple de son identité nationale, encore moins de son Histoire ! Car si on suit votre logique et raisonnement, Jules Caesar n'est pas "Italien" ? Jeanne d'Arc n'est pas "Française" ? La Reine Victoria n'est pas "Anglaise" du R-U ? Allons donc ! A toute raison bue, il est certain que ni le pays ni les algériens ne doivent compter sur des gens comme vous pour apprendre ou comprendre leur antériorité, leur Histoire, leur identité nationale !

                              Oui Massinissa dérange, puisque selon la pensée "islamiste" tout ce qui vient avant le prophète est JAHAL ! Voir dénié de son existence...

                              Oui Massinissa et Kahina dérangent, oui Jugurtha dérange, oui beaucoup de figures nationales dérangent, pendant qu'on glorifiait Belhadj et ses sermons enflammés, le Tombeau de Massinissa était graffité, dégradé, voir certains ont essayé de rayer ces monuments de notre carte, de nos mémoires, de notre identité nationale, passé ou présente. C'est un crime. Un peuple qui ne sait d'où il vient, ne saura pas où il va. C'est connu. Oui Jules Cesar a existé, oui Jules Cesar était romain, oui Jules César était italien !!! Oui Massinissa a existé, oui Massinissa était numide, Oui Massinissa est Algérien !
                              Si ça dérange certains individus de reconnaître cette antériorité de l'Histoire nationale, si ça titille leurs neurones ou leur idéologie, personne ne les retiens en Algérie, l'Arabie des Saouds est grande ouverte, oui chez eux tout commence avec la période prophétique. Mais eux au moins ils ont du respect pour leur identité nationale, leur Histoire, ils sont restés fidèles à leurs traditions, ils portent toujours leurs vêtements traditionnels, hérités depuis la nuit des temps... Quand certains maghrebins occultent leur patrimoine ou leur identité, certains autres peuples eux mettent en avant celle-ci, tel les Grecs, les Iraniens, les Américains, les Egyptiens (qui demandent toujours certaines de leurs momies détenus dans des musées occidentaux), les Chinois... La quasi-totalité du monde revendique leur patrimoine historique, humain, archéologique, intellectuel... Il n'y a que par chez nous où il existe encore quelques Vandales, qui s'amusent à détruire et ravager nos villes, nos monuments, notre conscience collective ou individuelle, nos personnages historiques sont plus que jamais en danger d'effacement de nos mémoires, effacés par un complot ourdi par des gens s'excitant autour d'idéologies funestes et obscurantistes ! Nous vivons une époque barbare menée par une horde d'obscurantistes...

                              (tu as zappé l'intervention de Massnsen)
                              Lui ou toi c'est la même chose, en plus de ça il n'est d'aucune référence morale et encore moins intellectuelle ! Je ne me base pas sur ce que dit un tiers et l'idée qu'il se fait de l'Histoire du pays/peuple pour me faire une raison ! Manquait plus que ça...

                              Commentaire


                              • #60
                                Mon grand pere allah yerrahmou et tous les algeriens qui ont ete sacrifies durant les deux guerres mondiales aussi ceux qui ont participe a la guerre contre israel et qui foutu la grande trouille a l'ennemi et ont blesse le satanique Sharon et l'ont force a se retirer le temoignage d'un soldat israelien sur la bataille du port d'El Zaytiya montre la bravoure et l'efficacite meurtriere de nos vaillants soldats

                                Guerre de kippour

                                "L'Algérie fut la deuxième puissance militaire sur le front égyptien et sa force était composée d'un escadron de bombardiers tactiques Su-7 escorté par un escadron de chasse MiG-21. Un troisième escadron équipé de MiG-17 fut envoyé pour des missions de soutien. Les pilotes algériens étaient cette fois plus préparés et plus aguerris grâce à la guerre d'usure. Elle fut la seule force aérienne arabe à ne pas avoir perdu d'appareils au combat, seul un MiG-17 fut touché par un Phantom israélien. Malgré la gravité du coup, le pilote algérien réussit à faire écraser le MiG près de sa base d'attache tout en s'éjectant et en évitant de se faire capturer. Les avions algériens avaient accompli toutes leurs missions qui consistaient à attaquer les israéliens dans le Sinaï et à protéger le Caire de toute contre-offensive israélienne."Source Wikipedia
                                The Sea is Woman, the Sea is Wonder, her other name is Fate!

                                Commentaire

                                Chargement...
                                X