Vous pensez peut-être que Lady Gaga doit sa fulgurante célébrité à son penchant à se donner en spectacle et à son exubérance. Mais pour le critique de musique Neil Strauss, elle doit une partie de son succès à Dieu. Non pas que le Tout-Puissant soit personnellement intervenu pour promouvoir la carrière de Stefani Germanotta (le vrai nom de Lady Gaga), ni celle de Justin Bieber, Aaron Rodgers ou les innombrables autres stars qui attribuent leur succès à Dieu. Mais selon Strauss, le fait d’être persuadé d’avoir été choisi par Dieu pour devenir célèbre et riche dans cette vie augmente les chances de succès pour les stars, qu’il s’agisse de chanteurs, d’acteurs ou encore d’athlètes.
Strauss appelle cela «le théisme compétitif», une «soi-disant spiritualité qui peut être accolée à toutes les religions et qui n’a rien à voir avec la morale personnelle», mais avec «la croyance que Dieu favorise leur propre succès temporel plutôt que celui de presque tous les autres.» Pour Strauss, cette croyance «est souvent ce qui différencie ceux qui ont une petite célébrité des stars planétaires». Les théistes compétitifs croient qu’ils ont été choisis. Le rappeur et producteur P Diddy déclare ainsi:
«Ma foi, c’est Dieu. Regardes avec qui je traîne. Regarde quelle est ma bande. Ma bande, c’est Dieu.»
Justin Bieber expliquait sa relation spéciale avec Dieu en novembre dernier:
«Je crois que Jésus est mort sur la croix pour mes péchés. J’ai un lien avec lui et je peux lui parler. Je sais que c’est grâce à lui que je suis là aujourd’hui, et je dois m’en rappeler.»
Mais les «musiciens qui ont le même talent mais sont un peu moins célèbres» ont l’impression que leur succès est un accident, et ils disparaissent rapidement. Strauss, qui est lui-même devenu célèbre grâce à son livre The Game: Les secrets d'un virtuose de la drague où il décrit son expérience dans la communauté de la séduction, analyse:
«Pour gérer le fardeau psychologique que représente la célébrité et les attaques qui viennent avec, ça aide d’avoir la peau dure. Et ça aide encore plus d’avoir le sentiment d’être en mission divine et d’être persuadé que Dieu marche à vos côtés quand tout le monde semble être contre vous.»
Strauss appelle cela «le théisme compétitif», une «soi-disant spiritualité qui peut être accolée à toutes les religions et qui n’a rien à voir avec la morale personnelle», mais avec «la croyance que Dieu favorise leur propre succès temporel plutôt que celui de presque tous les autres.» Pour Strauss, cette croyance «est souvent ce qui différencie ceux qui ont une petite célébrité des stars planétaires». Les théistes compétitifs croient qu’ils ont été choisis. Le rappeur et producteur P Diddy déclare ainsi:
«Ma foi, c’est Dieu. Regardes avec qui je traîne. Regarde quelle est ma bande. Ma bande, c’est Dieu.»
Justin Bieber expliquait sa relation spéciale avec Dieu en novembre dernier:
«Je crois que Jésus est mort sur la croix pour mes péchés. J’ai un lien avec lui et je peux lui parler. Je sais que c’est grâce à lui que je suis là aujourd’hui, et je dois m’en rappeler.»
Mais les «musiciens qui ont le même talent mais sont un peu moins célèbres» ont l’impression que leur succès est un accident, et ils disparaissent rapidement. Strauss, qui est lui-même devenu célèbre grâce à son livre The Game: Les secrets d'un virtuose de la drague où il décrit son expérience dans la communauté de la séduction, analyse:
«Pour gérer le fardeau psychologique que représente la célébrité et les attaques qui viennent avec, ça aide d’avoir la peau dure. Et ça aide encore plus d’avoir le sentiment d’être en mission divine et d’être persuadé que Dieu marche à vos côtés quand tout le monde semble être contre vous.»