Un agriculteur creusois a eu la surprise de recevoir peu avant Noël un PV pour avoir garé son tracteur rue du Faubourg Saint-Denis à Paris... à près de 400 km de son exploitation, où travaillait ce jour-là!
Trois jours avant Noël, Patrick Pilak a reçu un drôle de cadeau avant l’heure. Dans sa boîte au lettres, cet agriculteur de 49 ans a reçu un PV pour avoir garé son tracteur rue du Faubourg Saint-Denis à Paris, à plus de 400 km de son exploitation.
Pour cet agriculteur installé dans une petite exploitation de Gouzougnat,
petite ville en plein cœur de la Creuse, Patrick Pilak, il s’agit tout simplement d’une erreur administrative.
Car si sur l’amende, le procès-verbal indique qu’il aurait garé son tracteur le 1er décembre, à 10h28, ce jour-là, il était bel et bien au volant de son tracteur, mais pour travailler sur son exploitation et certainement pas dans les rues de la capitale.
Autre incohérence dans le procès-verbal : la contravention indique que le véhicule incriminé est de marque Ford. Or, "mon tracteur, c'est un Renault", explique l'agriculteur qui conteste catégoriquement l'infraction.
Patrick Pilak a rempli le bordereau de réclamation figurant au dos du PV et y a joint une petite lettre assez ironique. "J'ai écrit que si je voulais me rendre à Paris, je ne le ferais certainement pas en tracteur!", s'amuse-t-il, soulignant qu'à la vitesse de 15 km/h, il lui faudrait plus de 24 heures pour aller de Gouzougnat à Paris.
(Source AFP)
Trois jours avant Noël, Patrick Pilak a reçu un drôle de cadeau avant l’heure. Dans sa boîte au lettres, cet agriculteur de 49 ans a reçu un PV pour avoir garé son tracteur rue du Faubourg Saint-Denis à Paris, à plus de 400 km de son exploitation.
Pour cet agriculteur installé dans une petite exploitation de Gouzougnat,
petite ville en plein cœur de la Creuse, Patrick Pilak, il s’agit tout simplement d’une erreur administrative.
Car si sur l’amende, le procès-verbal indique qu’il aurait garé son tracteur le 1er décembre, à 10h28, ce jour-là, il était bel et bien au volant de son tracteur, mais pour travailler sur son exploitation et certainement pas dans les rues de la capitale.
Autre incohérence dans le procès-verbal : la contravention indique que le véhicule incriminé est de marque Ford. Or, "mon tracteur, c'est un Renault", explique l'agriculteur qui conteste catégoriquement l'infraction.
Patrick Pilak a rempli le bordereau de réclamation figurant au dos du PV et y a joint une petite lettre assez ironique. "J'ai écrit que si je voulais me rendre à Paris, je ne le ferais certainement pas en tracteur!", s'amuse-t-il, soulignant qu'à la vitesse de 15 km/h, il lui faudrait plus de 24 heures pour aller de Gouzougnat à Paris.
(Source AFP)
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