Décidément, Casablanca n’a rien appris des intempéries passées. Dès lundi 29 novembre 2010, la catastrophe a commencé à se dessiner doucement sous les yeux des responsables de l’assainissement.
La circulation était des plus déplorables à cause des pannes des feux de signalisation. Et il n’y avait personne pour régler la circulation. La situation a empiré mardi. Les boulevards étaient bloqués. L’incivisme caractérisé des conducteurs a augmenté la tension et ralenti tout le monde.
Quelqu’un devra certainement rendre des comptes. Il y a eu trop de laxisme dans ce domaine. On va certainement redire ce qu’on a toujours dit par le passé : les précipitations étaient trop importantes. Oui, c’est vrai, mais les responsables doivent prévoir ce genre de situations. L’insalubrité ne concerne pas quelques quartiers seulement.
Toute la ville est insalubre. L’image de la préfecture de police inaccessible à cause d’une bouche d’égout qui a éclaté juste devant est un spectacle regrettable. Les citoyens seraient intéressés de connaître le coût économique de ce laisser-aller.
L'observateur du Maroc
La circulation était des plus déplorables à cause des pannes des feux de signalisation. Et il n’y avait personne pour régler la circulation. La situation a empiré mardi. Les boulevards étaient bloqués. L’incivisme caractérisé des conducteurs a augmenté la tension et ralenti tout le monde.
Quelqu’un devra certainement rendre des comptes. Il y a eu trop de laxisme dans ce domaine. On va certainement redire ce qu’on a toujours dit par le passé : les précipitations étaient trop importantes. Oui, c’est vrai, mais les responsables doivent prévoir ce genre de situations. L’insalubrité ne concerne pas quelques quartiers seulement.
Toute la ville est insalubre. L’image de la préfecture de police inaccessible à cause d’une bouche d’égout qui a éclaté juste devant est un spectacle regrettable. Les citoyens seraient intéressés de connaître le coût économique de ce laisser-aller.
L'observateur du Maroc
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