Bien, maintenant que tu comprends ce que je veux dire, si tu me dis qu’en Algérie il n’est pas si rare que des jeunes gens arrivent à traîner leurs parents pour une demande en mariage traditionnelle sans travail, ni logement, ni solution pour subvenir aux besoins du futur foyer, sans rien d’autre à proposer que d’être à la charge de la future épouse, voire de ses parents, chghel adoptez-moi messieurs dames, je veux bien te croire.
Les seuls cas de figure que j’ai vus ou dont j’ai entendu parler étaient des projets d’émigration par mariage. Autrement, jamais vu quelqu'un se pointer sans rien à proposer !
Je connais un peu les filles d’émigrés, enfin j’en connais quelques unes.
Je voulais rester sur l’image de la transaction, en aumône signifie sans aucune contrepartie, batel quoi, il fait sa demande comme il jouerait au lot, nass idirou fih mziya.
Il faut une bonne dose de désespoir pour s'affliger à soi, mais surtout à ses parents, une telle humiliation, parce que la réponse est invariablement négative, et pas toujours des plus polies.
Je voulais rester sur l’image de la transaction, en aumône signifie sans aucune contrepartie, batel quoi, il fait sa demande comme il jouerait au lot, nass idirou fih mziya.
Il faut une bonne dose de désespoir pour s'affliger à soi, mais surtout à ses parents, une telle humiliation, parce que la réponse est invariablement négative, et pas toujours des plus polies.
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