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Les boites de nuits (club...)

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  • #31
    midou_casa sahbi, lah ghaleb je suis à Oran , et la photos c'était en Tunisie
    peut être prochainement inchalah
    Ce que je sais,c'est qu'un un homme agit toujours par intérêt à lui-même.

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    • #32
      jamais et je compte pas y aller c'est pas mon coin ana boite de nuit comme le jour et la nuit .
      Quand c'est beau comme dans un rêve ,c'est encore plus beau parce que ce n'est pas un rêve .

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      • #33
        LOL j'y vais dimanche
        Le notable a son bouclier fiscal , et l'esclave doit se battre avec une couverture sociale....

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        • #34
          Non pas mon truc, je ne suis pas fêtard. J'évite ce genre d'endroits. Peut être que j'irais un jour pour accompagner une personne très insistante si le club a une bonne réputation..

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          • #35
            midou_casa sahbi, lah ghaleb je suis à Oran , et la photos c'était en Tunisie
            peut être prochainement inchalah
            Ce n'est pas ce qui manque à Oran
            Alors la nouvelle tendance c'est toujours Mezghana ? (je parle pas de celle des ananiches )
            ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

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            • #36
              Ce n'est pas ce qui manque à Oran
              Alors la nouvelle tendance c'est toujours Mezghana ? (je parle pas de celle des ananiches )
              oui tjr la même , et mnt même les ananiche partent pour mezghana ,we tebrah comme dab

              et de mon coté,je ne parlais pas de rai
              Ce que je sais,c'est qu'un un homme agit toujours par intérêt à lui-même.

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              • #37
                oui tjr la même , et mnt même les ananiche partent pour mezghana ,we tebrah comme dab
                Wah el bessekri dayer hala

                et de mon coté,je ne parlais pas de rai
                Il me semble qu'il existe des boites non rai à Oran déjà il y a celle du sheraton et une autre que j'ai oublié le nom
                ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

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                • #38
                  Wah el bessekri dayer hala
                  oui tout à fait we hadi 1 , 2 ,3 ,...... 10 mlayinne ùen 3ande jamal beskri

                  awedi heblouna on "coute plus de la chanson , que du tebrah

                  Il me semble qu'il existe des boites non rai à Oran déjà il y a celle du sheraton et une autre que j'ai oublié le nom
                  l'atmosphère du sheraton , et sun housse des fois dir la musique électro

                  si y a d'autre je connais pas car autre que l'atmo ma nrouhche , même cette dernière we rarement les dj ghi chkil
                  Ce que je sais,c'est qu'un un homme agit toujours par intérêt à lui-même.

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                  • #39
                    Avant oui, mais maintenant c'est uniquement lors des vacances

                    Mais ki kounte 3la Dandani, et quand je prenais la piste, pour provoquer les autres, je faisais le grand écart et tout, j'étais sportif à l'époque

                    Qu'est ce qu'on était débile

                    Le truc c'est que je dansais et j'oubliais de draguer, j'étais trop concentré, et à 5 heures du matin, tout le monde part avec son poisson, et moi walou

                    Comme dans cette vidéo :

                    «Ceux qui sont infidèles connaissent les plaisirs de l’amour ; ceux qui sont fidèles en connaissent les tragédies..» Oscar Wilde

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                    • #40
                      En cherchant le nom de la boite sur le net j'ai trouvé cet article

                      Oran vibre au rythme de la vie nocturne et du raï
                      2008-05-09

                      Durant toute l'année, les gens qui cherchent à faire la fête viennent dans la deuxième plus grande ville d'Algérie. La corniche d'Oran regroupe des dizaines de clubs de nuit, qui offrent toujours quelque chose pour tous les goûts, tous les âges et toutes les bourses.
                      Par Nazim Fethi pour Magharebia à Alger – 09/05/08


                      Les Algériens parlent d'Oran comme d'el Bahia, "la gaie". La ville qui ne dort jamais et sourit tout le temps est fidèle à réputation. Avec ses multiples boîtes de nuit, clubs de raï et autres lieux moins connus pour passer la nuit en ville, Oran attire une clientèle venue de tous bords, dont le seul but est de faire la fête.

                      La deuxième ville d’Algérie, située à 450 kilomètres à l’ouest d’Alger, est le lieu de naissance de la musique raï dans les années 1920. Idéalement située, Oran est devenue un grand melting pot musical, créant une nouveau genre issu de la musique traditionnelle du désert, avec des influences arabes et européennes. Mais les gens viennent dans ce port méditerranéen pour plus que la musique. Oran est aussi une destination de choix pour les Algériens et les étrangers qui souhaitent passer du bon temps, se distraire et oublier le stress de la vie quotidienne.

                      Le temps est couvert alors que nous commençons notre tournée. Le ciel brumeux et quelques gouttes de pluie rendent la conduite sur la corniche oranaise encore plus dangereuse que d'habitude. C'est la nuit que la corniche prend vie, pas seulement en été, mais pendant toute l’année.

                      "Chaque soir, il y a des accidents sur cette route. Les fêtards qui conduisent en état d’ébriété, mais aussi les gens qui ne sont pas de la région et qui ne connaissent pas la dangerosité de cette route sinueuse", explique Abdelkrim, un habitué des lieux, qui nous servira de guide lors de notre tournée.

                      La corniche oranaise, longue d’une trentaine de kilomètres abrite des dizaines de boites de nuits. C’est le lieu de prédilection de tous les fêtards. De loin, les néons et autres lumières chatoyantes, aussi originales les unes que les autres, invitent les noceurs. A Ain-Turk, une bourgade située à 25 kilomètres du centre d’Oran, les boites de nuit et autres complexes touristiques se disputent l’espace.


                      "Entre une boite et une autre, il y a une boite", plaisante Abdelkrim. La circulation est dense et les places de stationnement sont quasi introuvables sur les principaux axes routiers de cette station balnéaire.

                      Ici, il y en a pour tous les goûts, pour tous les âges, et surtout pour toutes les bourses. Cela va du complexe luxueux, où les grandes stars du raï se produisent, aux boites de nuit de seconde zone, où les moins nantis peuvent passer une bonne soirée, à des prix plus ou moins raisonnables.

                      Dans les boîtes dont la clientèle est exclusivement composée de personnes venues des petites villes de l’intérieur, à l’instar de Mascara, Tiaret, Saida et les environs d’Oran, difficile de trouver un seul instrument de musique moderne. Et c'est exactement ce que les clients recherchent. Ils viennent pour écouter du raï trab (du terroir) avec les instruments traditionnels que sont la " gasba " (flutte) et le " guellal " (percussion). Ici, les chanteurs et les danseuses sont vêtus de tenues traditionnelles.

                      Dans les clubs branchés, c'est un autre monde. Les enfants de riches rivalisent en tenues vestimentaires dernier cri, et les filles arborent fièrement leurs bijoux. Là, les places s’arrachent et il faut montrer patte blanche pour y accéder.

                      Nous entrons à El Manara, situé à l’entrée de Ain Turk et surplombant la plage. Le site est réservé aux riches. "Je reçois des hommes d’affaires", nous dit fièrement le gérant du complexe, tout en nous montrant les voitures de luxe garées dans son parking.

                      "Ici, les plus grands noms du raï ont chanté", affirme-t-il avec fierté.

                      A l’intérieur, deux boites de nuit, l’une à chaque étage. Parmi la clientèle, des hommes en costumes cravates, quelques jeunes bien habillés, et beaucoup de jolies filles.

                      Ce sont elles le véritable fond de commerce du complexe, tout comme dans d'autres boites de la côte oranaise.

                      Le complexe est doté d’une trentaine de bungalows où se terminent vraisemblablement les soirées bien arrosées, mais le gérant refuse de parler de prostitution ou de travailleuses du sexe. "Les filles attirent les clients et les incitent à consommer les vins les plus chers, ce qui est très important pour le chiffre d’affaires", se contente-t-il d'affirmer.

                      Au centre-ville de Ain Turk, le "Sun house" est le lieu de prédilection des jeunes. Salim vient d'Alger pour y passer tous ses week-ends. "Je suis commerçant et chaque week-end, je viens avec ma bande de potes pour oublier le stress d’Alger et me distraire", explique-til. Il y a bien sûr des boîtes de nuit dans et aux environs d'Alger, "mais l’ambiance est différente".

                      "Ici, on se fond dans l’anonymat et on ne se soucie de rien", ajoute Salim.

                      Nabil, un jeune médecin oranais, est également un habitué des lieux : "ça permet de sortir avec les amis, de faire la fête et de recharger les batteries", affirme-t-il, tout en reconnaissant que "ce n’est pas évident pour un jeune chômeur ou un simple employé".

                      "C’est cher ici, mais c’est le prix à payer pour se sentir bien dans sa tête", admet Nabil.

                      Nous nous dirigeons vers l’Eden Palace, un nouveau complexe touristique doté d’un hôtel et de villas grand luxe - et bien gardé. Ici, la clientèle est triée sur le volet. "On ne veut pas avoir d’incidents qui nuisent à la réputation de notre établissement. Regardez dans la salle, il y a des Français, des Polonais, des Italiens, des intellectuels algériens. Tout le monde s’amuse, tout le monde passe du bon temps, dans le calme total", explique fièrement Merzouk, le responsable des soirées de l’établissement.

                      Si les fêtards souhaitent éviter cette sélection à l'entrée, il existe de nombreuses boîtes ou tout le monde peut entrer, mais qui posent d'autres problèmes. Plusieurs jeunes rencontrés à Ain Turk nous ont parlé de bagarres qui éclatent au sein des groupes à cause de l'ivresse ou des filles.

                      Mais il y a aussi tous eux qui aiment faire la fête mais n'en ont pas les moyens. Nous avons croisé des jeunes qui se contentaient de contempler le ballet des voitures de luxe qui entraient dans les boîtes de nuit.

                      Il y avait aussi ce jeune homme qui avait dépensé son salaire mensuel en une nuit et qui suppliait le gérant de lui faire un prêt pour poursuivre la soirée.
                      Mais bon il oublie bcp d'endroit culte et il se limite à la corniche et encore il ne parle même pas de Bousfer, comme il oublie : Djawhara, Dauphin, le guinguette ... etc
                      (Eden palace me semble que c le nouveau nom du sun house)
                      ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

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                      • #41
                        Mais bon il oublie bcp d'endroit culte et il se limite à la corniche et encore il ne parle même pas de Bousfer, comme il oublie : Djawhara, Dauphin, le guinguette ... etc
                        (Eden palace me semble que c le nouveau nom du sun house)
                        mais l'article dit vrais quand même ( je n'ai lu que le la moitié )
                        cha3be yhab la3be ( cheba dalila )
                        djawhara dauphin la guinguette, casino de canastel ( htabe ) la vielle marmite (nom ki dayer )
                        et oui eden palace il a son village $touristique et sun house en dépend
                        haha une fois fi alger j'ai connu une personne gali nji chez toi dini le jawhara
                        Ce que je sais,c'est qu'un un homme agit toujours par intérêt à lui-même.

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                        • #42
                          Boite de nuit n'a pas le même sens que chez nous. Ce n'est pas un bordel.

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                          • #43
                            Je suis fan de certains DJ. Donc quand la musique me plait, c'est un réel plaisir d'aller en club, ça me requinque totalement.
                            Il m'arrive même d'y aller seule quand je connais bien l'endroit et que je sais que le DJ va assurer.

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                            • #44
                              Al HamdouliAllah, khatini.

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