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Zarbote en caoutchouc (noir), on l'enlever de l'arriere des camions avec un couteau.
on posais chacun 1DA par terre et on tracé une ligne à 3 metre environ, on fait tourner la toupie pus on la prend avec la main et on la bascule sur la piece qui doit dépasser la ligne (tu prend la pièce et tu continue)
Dans la nuit noire, sur la pierre noire, une fourmi noire, ... Dieu la voit.
“La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf
On jouais aussi à la course des capsules de limonade sur le bord du trottoir, on devais faire avancer les bouchons avec des pichenettes de l'idnex sans qu'ils tombent du trotoir, y avait aussi des cases prisons , ....
Dans la nuit noire, sur la pierre noire, une fourmi noire, ... Dieu la voit.
On jouais aussi à la course des capsules de limonade sur le bord du trottoir, on devais faire avancer les bouchons avec des pichenettes de l'idnex sans qu'ils tombent du trotoir, y avait aussi des cases prisons , ....
Salut YSN, labess labess (pas sure du tout que ça s'écrive comme ça )
Moi je jouais bcp à l'extérieur en fait :Ballon prisonnier, cache cache, touche-touche d'ailleurs le dernier j'y ai jouée jusqu'à un age très avancé
@YSN : Ah Damma, c'était mon vice, mon père y jouait avec ses amis, j'ai grandi en regardant les autres jouer, à l'âge de 8 ans, j'étais imbattable, champion de la ville.
Voila, el istikhbar est fait, revenons à l'essentiel. Tout le monde jouait à Damma, chaque coin de la rue, tu t'arrête, tu regarde, si tu veux jouer, tu joue Lataye bel Mbassess, c'était obligatoire. La condition primordiale était : Le Silence, ne pas parler. Sauf que moi, ça je ne savais pas faire.
Comment voulez vous ne rien dire lorsque vous voyez "Tlata wdamma", des fois je le disais et je partais courir Et les vieux en train dire "Rouhe Jib lataye rouh".
J'avais des voisins qui m'arnaquaient, ils pariaient sur moi, "aya tarbhou ? ", yatfahmou binathoum, el mouhim, des fois c'était khamsalefe, 50 DA, vous imaginez, bezafe, mais moi je ne savais pas, on me donnait mya doros maxi.
Une fois il y'avait une bagarre générale, je faisais que gagner, une après l'autre, sauf que mon adversaire était agé chouia, et moi je ne parle pas pour faire de l'humour et détendre l'atmosphère. J'étais là "Koul, Koul, ... Tlata wa damma, ... Waldek ? .... Waldek ? .... Waldek ? ...", à la fin il a craqué, il s'est mis à m'insulter, je ne sais pourquoi.
Sauf que j'ai un oncle pété dans sa tête, il passait comme ça, et il trouve le monsieur en train de m'insulter, là c'était grave, ... il y'avait la police qui est venu, et khali meskine a passé une journée au commissariat !
«Ceux qui sont infidèles connaissent les plaisirs de l’amour ; ceux qui sont fidèles en connaissent les tragédies..»Oscar Wilde
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