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Et si l'Europe faisait banqueroute?

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  • #16
    Tant que je n'y suis pas, takhti rassi
    ~~~~~~~

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    • #17
      Les américains ne laisseront jamais tomber l'Europe.

      Sans oublier que je vois mal comment l'Europe peut se casser la gueule !

      Concernant l'Asie, pour le moment ça reste fragile, ils n'ont pas encore un marché interieur important. Il viendra sûrement le jour ou les américains vont laisser la place, par contre, ça ne se ferra pas dans la douceur, parce que militairement parlant, et technologiquement parlant ce ne sont pas des algériens !

      Pour l'Algérie ? elle n'a besoin de rien pour être affectée, nous sommes assez grand pour s'affecter tout seul.

      L'Algérie est classé parmi les derniers dans le classement du PNUD, donc gagner ou perdre qq places, cela ne changera rien, on couche avec la mediocrité, et nous en sommes fier, on arrive même à lui faire des enfants, je parle de la médiocrité bien sur.
      «Ceux qui sont infidèles connaissent les plaisirs de l’amour ; ceux qui sont fidèles en connaissent les tragédies..» Oscar Wilde

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      • #18
        Je ne peux pas résister à poster cet article (ancien) tiré du Libération. J'en avais ouvert un topic. Je m'excuse pour le "léger" HS...

        Rigolez bien messieurs, dames. La crise est amusante... Voici le dictionnaire désordonné de la crise grecque :

        Grèce : pays méditerranéen, peuplé de menteurs, de tricheurs, et de fonctionnaires exerçant en réalité le métier clandestin de chauffeurs de taxis.

        Effort : suppression des 13e et 14e mois de salaire. Passage de l’âge moyen de la retraite de 53 à 67 ans.

        Portugal : pays méditerranéen, qui n’a rien à voir avec la Grèce.

        Espagne : pays méditerranéen, qui n’a rien à voir avec le Portugal.

        France : pays totalement dépourvu de toute côte méditerranéenne, qui n’a rien à voir avec la Grèce, le Portugal ou l’Espagne.

        Dominos : jeu de société familier et sympathique, menaçant d’entraîner dans l’abîme le Portugal, l’Espagne, l’Irlande, mais certainement pas la France.

        Déficit : catastrophe économique de gravité variable, selon que l’on parle du déficit grec, français ou américain.

        Mensonge : manipulation des comptes publics en Grèce.

        Créativité : manipulation des comptes publics en France.

        Agences de notation : sortes de correcteurs du bac, insoupçonnables et impartiaux, rétribués par les élèves les plus riches.

        AAA+ : note éternelle de la France, inscrite dans la Constitution.

        Retraites (réforme des) : chantier bruyant et précipité, destiné à éviter à la France, le sort de la Grèce, de l'Espagne ou du Portugal, même si la France, pays totalement dépourvu de côte méditerranéenne, n'a rien à voir... (voir plus haut).

        Marchés : agresseurs économiques hystériques, dressés à attaquer les "maillons faibles", les "bêtes malades".

        Investisseurs : "marchés", quand ils sont français.

        Sortie de l'euro : hypothèse irréalisable, destinée à "donner un signal" aux "marchés".

        Panique : comportement irrationnel des «marchés», dicté par la peur, consistant à tirer sur les maillons faibles, et ayant généralement pour résultat une confortable plus-value.

        Plan de sauvetage : dispositif sophistiqué destiné à rassurer les marchés en proie à la «panique», sans jamais être mis en oeuvre.

        Prudence : stratégie politique sophistiquée consistant à aggraver un problème en retardant la définition, puis l’application du «plan de sauvetage».

        Longueur d’onde (même) : langage commun parlé par la France, l’Allemagne, la Grèce, l’Espagne, le Portugal, le Fonds monétaire international et la Banque centrale européenne.

        Merkel : dirigeante allemande particulièrement prudente, avec qui la France est «parfaitement sur la même longueur d’ondes». Parvenue à force de «prudence» à retarder au maximum la définition et l’application du «plan de sauvetage» jusqu’au moment où il est caduc, ce qui conduira à définir, puis à appliquer, un nouveau «plan de sauvetage». Dite aussi, pour ces raisons, «nouvelle dame de fer».

        Allemands : amis

        Rééchelonnement de la dette grecque : non remboursement des prêts du "plan de sauvetage" par la Grèce (pays méditerranéen peuplé de... voir plus haut. Hypothèse destinée à rassurer les "marchés" (voir plus haut) mais totalement, absolument, radicalement, définitivement exclue, sous aucun prétexte, quoi qu'il arrive.

        5% : taux auquel la France prêtera de l’argent à la Grèce. Ce taux est plus élevé que le taux auquel la France emprunte l’argent (1,5%). Cette différence s’explique par une prime de risque, destinée à compenser le risque d’un non-remboursement du prêt par la Grèce (hypothèse néanmoins absolument, radicalement, définitivement exclue, quoi qu’il arrive).

        Contribuable français : fera une bonne affaire quoi qu'il arrive.

        Spéculation : sera mise en échec, quoi qu'il arrive.

        Zone euro : sera défendue, quoi qu'il arrive.

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        • #19
          b3id echar malgré que je vie en Algérie

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          • #20
            Bachi

            L'Europe, ni les States ne feront jamais banqueroute.
            C'est eux qui décident ( qui peuvent les provoquer) de la banqueroute des autres...
            Pour l'instant, ils ont décidé de banquerouter leurs propres peuples.

            Lenasia

            Mensonge : manipulation des comptes publics en Grèce.

            Créativité : manipulation des comptes publics en France.
            Dernière modification par Tchektchouka, 09 octobre 2010, 12h34.

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