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ouai le sage on dit :si tu vas au bout du monde tu trouveras la trace de dieu ;si tu vas au fonde de toi _mème tu trouvera dieu lui mème ( c" est c amour )
trouver l" amour surtout maintenant c"est un miracle
J'ai scruté le ciel cette nuit sans me lasser
La lune m'est apparue plus belle qu'à l'accoutumé
Voilà tant d'années que tu es ainsi célébré
Mois de Ramadan, te voilà enfin annoncé !
Mon âme s'éveille, elle qui était comme fleur fanée
Quel bonheur unique, que cette période sacrée
Le souvenir de Dieu, sait nous réconforter
Je puis vous l'assurer, il faut en profiter
Ton but n'est pas nous garder affamés
Mais nous transformer, de l'intérieur nous changer
Nous élever, progresser dans sa spiritualité
Se réconcilier, et en premier pardonner
Tu nous enjoins à visiter malades et oubliés
Honorer son prochain, faire OEuvre de charité
Faîtes donc fortune, donnez sans compter !
Telle fut la parole de notre bien-aimé*
Invoquez, priez, ce mois va vite s'écouler
Se cache en lui un trésor qu'il ne faut pour rien manquer
Une nuit qui vaut mille mois, il faut l'a chercher
Une aubaine unique pour tous ensemble le glorifier
Ce mois compte des jours qui vont s'égrener
Un à un au rythme des nuits, ne rien négliger
Même pas un sourire, ni acte pour la société
Eblouir son entourage, par son exemplarité
Ce poeme choisi pour vous mes amies et amis specialement a ce qui sont toujours present dans ce topic et nous honneur de belles citations Merci a vous
C’est l’espoir dans l’immuable temps qui avance,
Qui m’avait permis de supporter ces souffrances
Demain disparaîtra ma rutilante rage,
Dans les rides qui ravageront ton visage.
Quand ton mince corps ne sera à la nature,
Qu’une grossière et blasphémante injure,
Je bénirai à genoux l’hideuse vieillesse,
Qui malgré tout, atténuera ma tristesse.
Combien je voudrai oublier tes regards vides,
Et fuir loin de ta méchanceté sordide,
Ainsi, j’oserai dans la moindre peur réagir,
Et te conter mes mauvais et tes bons souvenirs.
Quel bonheur à voir ta belle bouche édentée,
Trembler en bavant des torrents d’obscénités,
Lorsque je cracherai le pus de mon rire,
Pour te barbouiller à jamais ton joli sourire.
Bien sûr, je ne suis plus que l’ombre de moi-même ;
Mais à présent que tu me hais ou que tu m’aimes,
Cela n’a plus de prise sur mes sentiments,
Car armé d’une solide patience, je t’attends.
" Nous suivons tous des chemins différents dans la vie, mais,
peu importe où nous allons, nous apportons partout une petite parcelle de l'autre. "
"Mon âme s'éveille, elle qui était comme fleur fanée,quel bonheur unique, que cette période sacrée,le souvenir de Dieu, sait nous réconforter,je puis vous l'assurer, il faut en profiter."
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